Tahiti, le 25 mars 2025 - La jeunesse protestante mā’ohi de Taha’a s’est donné rendez-vous tout le week-end dernier pour échanger, faire du sport ou encore pour louer Dieu au travers de chants et de danses.
Trois cent-cinquante jeunes de Taha’a, issus des huit paroisses protestantes que compte l’île Vanille, se sont réunis le week-end dernier à Faaaha dans le cadre des rencontres de la jeunesse protestante. Celles-ci ont lieu deux fois par an, la première au mois de mars et la seconde en novembre.
Le vice-président de l’Union chrétienne des jeunes gens (UCJG) de Taha’a, Hitimana Qui, explique que le programme de ces rencontres entre jeunes débute dès le vendredi soir avec “la levée des couleurs, puis on continue la soirée avec les études bibliques et chaque paroisse présente un spectacle en fonction du thème ou d'une question donnée en rapport toujours avec la Bible. La matinée du samedi est réservée uniquement aux jeunes de moins de 30 ans, où des activités sportives toujours en lien avec une écriture biblique sont organisées. Et le samedi soir, c’est la fête car chaque paroisse présente son spectacle.”
Mais même si c’est la “fête” comme l’affirme Hitimana Qui, les choses sont quand même sérieuses car les prestations du samedi soir sont notées par un jury puisqu’il s’agit d’un concours. En novembre dernier, le thème choisi était le carnaval du monde et cette fois-ci, il s’agit du Hura Tapairu.
Pour la préparation d'un spectacle, “il faut compter entre trois semaines et un mois. Les répétitions sont assez soutenues parce qu'on n'a pas droit à l'erreur et oui, quand on vient, c’est pour gagner, il ne faut pas oublier que c’est un concours”, explique le vice-président de l’UCJG de Taha’a. Ces rencontres permettent également de “faire bouger un peu notre jeunesse”, ajoute-t-il.
Trois cent-cinquante jeunes de Taha’a, issus des huit paroisses protestantes que compte l’île Vanille, se sont réunis le week-end dernier à Faaaha dans le cadre des rencontres de la jeunesse protestante. Celles-ci ont lieu deux fois par an, la première au mois de mars et la seconde en novembre.
Le vice-président de l’Union chrétienne des jeunes gens (UCJG) de Taha’a, Hitimana Qui, explique que le programme de ces rencontres entre jeunes débute dès le vendredi soir avec “la levée des couleurs, puis on continue la soirée avec les études bibliques et chaque paroisse présente un spectacle en fonction du thème ou d'une question donnée en rapport toujours avec la Bible. La matinée du samedi est réservée uniquement aux jeunes de moins de 30 ans, où des activités sportives toujours en lien avec une écriture biblique sont organisées. Et le samedi soir, c’est la fête car chaque paroisse présente son spectacle.”
Mais même si c’est la “fête” comme l’affirme Hitimana Qui, les choses sont quand même sérieuses car les prestations du samedi soir sont notées par un jury puisqu’il s’agit d’un concours. En novembre dernier, le thème choisi était le carnaval du monde et cette fois-ci, il s’agit du Hura Tapairu.
Pour la préparation d'un spectacle, “il faut compter entre trois semaines et un mois. Les répétitions sont assez soutenues parce qu'on n'a pas droit à l'erreur et oui, quand on vient, c’est pour gagner, il ne faut pas oublier que c’est un concours”, explique le vice-président de l’UCJG de Taha’a. Ces rencontres permettent également de “faire bouger un peu notre jeunesse”, ajoute-t-il.
“Notre rôle est de ramener la jeunesse au Christ”
Pour ce rassemblement de la jeunesse protestante mā’ohi, la paroisse de Tiva, en sa qualité d’hôte, s’est occupée de l'organisation et de l’accueil des jeunes des autres paroisses participantes. “La paroisse qui nous accueille a en charge le petit déjeuner, le déjeuner et le dîner de vendredi soir à dimanche midi. Généralement, on a du ragoût ou des lentilles, ce sont à peu près les mêmes plats qui reviennent, mais ce n’est pas le plus important”, assure Hitimana Qui.
En effet, ce qui importe pour les responsables de la jeunesse, ce sont notamment “les échanges entre nos jeunes et surtout de ramener la jeunesse au Christ. C’est cela le plus important. Je suis vice-président du grand comité des huit paroisses et les questions qu’on nous posent sont : à quoi ces rencontres servent-elles et qu’est-ce qu’on fait là ? La réponse est simple : on est chrétien, ces rencontres ont un lien avec l’Église, et notre rôle est de ramener la jeunesse au Christ”.
Ces rassemblements permettent également aux responsables de l’Union chrétienne des jeunes gens de Taha’a de sensibiliser et d’occuper les jeunes pour éviter qu’ils ne tombent dans l’oisiveté ou encore dans la drogue. “On a quand même aujourd'hui une jeunesse un peu dissipée donc on essaie de les contenir et les canalyser un peu. Surtout quand on sait que la jeunesse aujourd'hui fait un peu n'importe quoi et quand on se retrouve lors de week-ends comme celui-ci, j’ai l’impression que tout le monde fait un break de tout ce qu'on a l'habitude de faire. C'est l'occasion pour nous de se réunir, de prier ensemble et aussi de s'amuser ensemble”, assure le vice-président de l’UCJG, Hitimana Qui.
Une chose le rassure, sur l’île Vanille, les paroisses sont toujours aussi remplies le dimanche.
En effet, ce qui importe pour les responsables de la jeunesse, ce sont notamment “les échanges entre nos jeunes et surtout de ramener la jeunesse au Christ. C’est cela le plus important. Je suis vice-président du grand comité des huit paroisses et les questions qu’on nous posent sont : à quoi ces rencontres servent-elles et qu’est-ce qu’on fait là ? La réponse est simple : on est chrétien, ces rencontres ont un lien avec l’Église, et notre rôle est de ramener la jeunesse au Christ”.
Ces rassemblements permettent également aux responsables de l’Union chrétienne des jeunes gens de Taha’a de sensibiliser et d’occuper les jeunes pour éviter qu’ils ne tombent dans l’oisiveté ou encore dans la drogue. “On a quand même aujourd'hui une jeunesse un peu dissipée donc on essaie de les contenir et les canalyser un peu. Surtout quand on sait que la jeunesse aujourd'hui fait un peu n'importe quoi et quand on se retrouve lors de week-ends comme celui-ci, j’ai l’impression que tout le monde fait un break de tout ce qu'on a l'habitude de faire. C'est l'occasion pour nous de se réunir, de prier ensemble et aussi de s'amuser ensemble”, assure le vice-président de l’UCJG, Hitimana Qui.
Une chose le rassure, sur l’île Vanille, les paroisses sont toujours aussi remplies le dimanche.