![Un homme profère des menaces de mort à l’encontre d’une patrouille de gendarmes Un homme profère des menaces de mort à l’encontre d’une patrouille de gendarmes](https://www.tahiti-infos.com/photo/art/default/3753680-5583000.jpg?v=1328134647)
Les faits remontent à dimanche. En fin de journée, la gendarmerie est appelée par un homme qui menace de se suicider en s’immolant. Une patrouille est dépêchée sur place à Afaahiti.
Arrivés sur les lieux, les gendarmes se trouvent face à un homme de 30 ans agressif et menaçant.
Ils tentent de le calmer mais l'individu les provoque et les menace de mort en répétant à plusieurs reprises : "vous avez trois minutes pour dégager, sinon, je prends mon 357 Magnum et je vous tire dessus".
Les militaires se retirent pour attendre l’arrivée des renforts. Mais au lieu de se calmer à la vue d’une seconde équipe, l’homme devient de plus agressif et leur demande : "vous êtes combien et je commence par lequel".
Interpellé, l’excité a été conduit au centre hospitalier de Taravao. Il a été placé en garde à vue. Il sera jugé le 3 mai pour menaces de mort sur personnes dépositaires de l'autorité publique.
Déjà condamnée à une peine de 6 mois d'emprisonnement ferme en novembre par la cour d’appel de Papeete pour violences volontaires sur conjoint, l'intéressé a été incarcéré à la prison de Nuutania.
Arrivés sur les lieux, les gendarmes se trouvent face à un homme de 30 ans agressif et menaçant.
Ils tentent de le calmer mais l'individu les provoque et les menace de mort en répétant à plusieurs reprises : "vous avez trois minutes pour dégager, sinon, je prends mon 357 Magnum et je vous tire dessus".
Les militaires se retirent pour attendre l’arrivée des renforts. Mais au lieu de se calmer à la vue d’une seconde équipe, l’homme devient de plus agressif et leur demande : "vous êtes combien et je commence par lequel".
Interpellé, l’excité a été conduit au centre hospitalier de Taravao. Il a été placé en garde à vue. Il sera jugé le 3 mai pour menaces de mort sur personnes dépositaires de l'autorité publique.
Déjà condamnée à une peine de 6 mois d'emprisonnement ferme en novembre par la cour d’appel de Papeete pour violences volontaires sur conjoint, l'intéressé a été incarcéré à la prison de Nuutania.