PARIS, 16 mai 2014 (AFP) - Les amateurs de la culture "geek" ont rendez-vous ce weekend à la Porte de Versailles à l'occasion de la deuxième édition du festival Geekopolis, où cohabitent notamment science-fiction, culture japonaise et nouvelles technologies.
"A Geekopolis, les visiteurs se retrouvent plongés dans une ville découpée en quartiers traitant chacun d'une facette de la culture +geek+. Le maître-mot pour nous, c'est l'immersion", a expliqué à l'AFP Cyril Villalonga, l'un de ses initiateurs.
La surface occupée par le festival est supérieure à celle de l'édition 2013, avec 15.000 m2, soit 3.000 m2 de plus. Les organisateurs espèrent attirer 18.000 visiteurs durant les deux jours, contre 9.000 l'an passé.
Outre des combats de catapulte et des ateliers dédiés au maniement du sabre laser, le public pourra découvrir la série phare du moment, "Game of Thrones", sous de multiples aspects. Au programme : séances de coiffure, conférences sur ses inspirations et la place des femmes dans cette oeuvre ou encore quizz.
Une troisième édition parisienne est déjà prévue l'an prochain. Une autre, à Marseille, pourrait voir le jour dans la foulée, selon M. Villalonga.
"A Geekopolis, les visiteurs se retrouvent plongés dans une ville découpée en quartiers traitant chacun d'une facette de la culture +geek+. Le maître-mot pour nous, c'est l'immersion", a expliqué à l'AFP Cyril Villalonga, l'un de ses initiateurs.
La surface occupée par le festival est supérieure à celle de l'édition 2013, avec 15.000 m2, soit 3.000 m2 de plus. Les organisateurs espèrent attirer 18.000 visiteurs durant les deux jours, contre 9.000 l'an passé.
Outre des combats de catapulte et des ateliers dédiés au maniement du sabre laser, le public pourra découvrir la série phare du moment, "Game of Thrones", sous de multiples aspects. Au programme : séances de coiffure, conférences sur ses inspirations et la place des femmes dans cette oeuvre ou encore quizz.
Une troisième édition parisienne est déjà prévue l'an prochain. Une autre, à Marseille, pourrait voir le jour dans la foulée, selon M. Villalonga.