MAHINA, le 16 août 2019 - Le dispensaire de Mahina était en travaux depuis un mois et demi. La municipalité a décidé de rénover la toiture et l’étanchéité du bâtiment. Dix millions de Fcfp ont été alloués par l’équipe municipale sur fonds propres. Petite nouveauté, une salle est dédiée aux mamans et à leurs enfants.
La mairie de Mahina a dépensé 10 millions de Fcfp pour la rénovation du dispensaire communal, vieux de 40 ans.
Durant le mois de juillet, des travaux de rénovation de la toiture et de l’étanchéité du bâtiment ont été réalisés.
Le dispensaire de Mahina accueillait jusque-là un millier de personnes par mois, issues, pour la plupart, des quartiers prioritaires de la commune. « Notre commune est particulièrement touchée par la tuberculose ou la dengue. Il y a même des consultations psychiatriques et des examens gynécologiques », souligne Damas Teuira, tāvana de la commune.
Les mamans n’ont pas été oubliées, puisqu’une salle pour la petite enfance a été créée, à l’arrière du bâtiment. Cet espace représentera l’antenne du Centre pour la protection infantile (CPI). « Avant, les consultations du CPI se faisaient à la pharmacie du dispensaire », indique le tāvana.
Autres travaux entrepris, l’extension de la buanderie, la peinture ou encore le rafraichissement du bâtiment.
La mairie de Mahina a dépensé 10 millions de Fcfp pour la rénovation du dispensaire communal, vieux de 40 ans.
Durant le mois de juillet, des travaux de rénovation de la toiture et de l’étanchéité du bâtiment ont été réalisés.
Le dispensaire de Mahina accueillait jusque-là un millier de personnes par mois, issues, pour la plupart, des quartiers prioritaires de la commune. « Notre commune est particulièrement touchée par la tuberculose ou la dengue. Il y a même des consultations psychiatriques et des examens gynécologiques », souligne Damas Teuira, tāvana de la commune.
Les mamans n’ont pas été oubliées, puisqu’une salle pour la petite enfance a été créée, à l’arrière du bâtiment. Cet espace représentera l’antenne du Centre pour la protection infantile (CPI). « Avant, les consultations du CPI se faisaient à la pharmacie du dispensaire », indique le tāvana.
Autres travaux entrepris, l’extension de la buanderie, la peinture ou encore le rafraichissement du bâtiment.