Tahiti, le 25 avril 2023 – L'exposition du concours annuelle de photographie des étudiants de l'INSPE se tiendra vendredi matin dans les locaux de l'institut au-dessus de l'UPF. Cette année, les 56 étudiants en master 1, vont proposer onze photos, inspirées des textes liées à la culture polynésienne et du Pacifique.
L'exposition du concours annuel de photographie des étudiants de l'INSPE (Institut national supérieur du professorat et de l’éducation) se tiendra ce vendredi, de 7 h30 à 13 heures, dans les locaux de l'institut, situés au-dessus de l'UPF. En effet, comme chaque année depuis six ans, les 56 élèves de master 1 vont se prêter à ce concours qui est presque devenu un incontournable du cursus. Par équipe, ils vont donc exposer onze photographies. Comme d'habitude, les règles sont les mêmes puisqu'il faudra avant tout s'inspirer d'ouvrage provenant de Polynésie ou du Pacifique étudiés en cours. “Les photos doivent s'inspirer des ouvrages autochtones de Tahiti, de l'Océanie ou de ceux qui ont écrit dessus. En effet, nous choisissons un extrait d'un texte que nous avons étudié en cours et nous devons ensuite réaliser une photo en adéquation avec ce passage-là pour l'illustrer”, détaille Rosine Maruhi, étudiante et co-organisatrice de l'événement avec une de ses camarades et deux professeurs référents. “C'est un projet qui débute au mois de novembre et qui se déroule tout au long des enseignements en langue et civilisation polynésienne. Mais les élèves doivent également fournir un travail personnel en raison du manque de cours. Pour la réalisation des photos, un membre du pôle numérique est venu aider pour donner des conseils et aider sur la prise de vue” ajoute Heidi Brindgold, une de professeure qui organise le concours.
Danses, chants et théâtre
Lors de l'exposition, les élèves devront donc expliquer leur démarche intellectuelle pour arriver au résultat final. “Nous devons également traduire le texte qui nous a inspiré, qui est en français ou en anglais selon l'œuvre choisi, en tahitien. Ça rentre dans les cours de tahitien de notre master” explique Rosine. Afin d'agrémenter leur présentation, les étudiants pourront aussi proposer, toujours autour de leur thème, “les années précédentes, on a eu du théâtre, des danses, des chants et des 'orero....” énumére la professeur référente. Pour elle, ce concours, en plus de permettre à ses élèves de s'approprier les auteurs du Pacifique, est un bon moyen de “fédérer autour d'un événement et d'assurer une bonne cohésion entre les promotions”. A la suite de l'exposition, trois prix seront décernés, celui du jury, composé de professeurs de l'UPF et de la présidente du Fifo, Miriama Bono, celui du public et enfin la récompense coup de cœur, qui sera donnée par le comité organisateur. Rendez-vous donc vendredi matin dans les locaux de l'INSPE pour découvrir les productions photos des étudiants qui seront, après le concours, affichés à la bibliothèque universitaire.
L'exposition du concours annuel de photographie des étudiants de l'INSPE (Institut national supérieur du professorat et de l’éducation) se tiendra ce vendredi, de 7 h30 à 13 heures, dans les locaux de l'institut, situés au-dessus de l'UPF. En effet, comme chaque année depuis six ans, les 56 élèves de master 1 vont se prêter à ce concours qui est presque devenu un incontournable du cursus. Par équipe, ils vont donc exposer onze photographies. Comme d'habitude, les règles sont les mêmes puisqu'il faudra avant tout s'inspirer d'ouvrage provenant de Polynésie ou du Pacifique étudiés en cours. “Les photos doivent s'inspirer des ouvrages autochtones de Tahiti, de l'Océanie ou de ceux qui ont écrit dessus. En effet, nous choisissons un extrait d'un texte que nous avons étudié en cours et nous devons ensuite réaliser une photo en adéquation avec ce passage-là pour l'illustrer”, détaille Rosine Maruhi, étudiante et co-organisatrice de l'événement avec une de ses camarades et deux professeurs référents. “C'est un projet qui débute au mois de novembre et qui se déroule tout au long des enseignements en langue et civilisation polynésienne. Mais les élèves doivent également fournir un travail personnel en raison du manque de cours. Pour la réalisation des photos, un membre du pôle numérique est venu aider pour donner des conseils et aider sur la prise de vue” ajoute Heidi Brindgold, une de professeure qui organise le concours.
Danses, chants et théâtre
Lors de l'exposition, les élèves devront donc expliquer leur démarche intellectuelle pour arriver au résultat final. “Nous devons également traduire le texte qui nous a inspiré, qui est en français ou en anglais selon l'œuvre choisi, en tahitien. Ça rentre dans les cours de tahitien de notre master” explique Rosine. Afin d'agrémenter leur présentation, les étudiants pourront aussi proposer, toujours autour de leur thème, “les années précédentes, on a eu du théâtre, des danses, des chants et des 'orero....” énumére la professeur référente. Pour elle, ce concours, en plus de permettre à ses élèves de s'approprier les auteurs du Pacifique, est un bon moyen de “fédérer autour d'un événement et d'assurer une bonne cohésion entre les promotions”. A la suite de l'exposition, trois prix seront décernés, celui du jury, composé de professeurs de l'UPF et de la présidente du Fifo, Miriama Bono, celui du public et enfin la récompense coup de cœur, qui sera donnée par le comité organisateur. Rendez-vous donc vendredi matin dans les locaux de l'INSPE pour découvrir les productions photos des étudiants qui seront, après le concours, affichés à la bibliothèque universitaire.