TAHITI, le 18 mai 2021 - Ce samedi à la Maison de la culture, Virginie et Tamara du magazine Firifiri vont animer un atelier pour les jeunes lecteurs. L’occasion de découvrir le magazine, de l’apprécier et d’en parler.
C’est le quatrième numéro du magazine Firifiri qui sort et qui sera présenté ce samedi à la Maison de la culture. Firifiri est un magazine pour les enfants entre 4 et 8 ans. Il a été imaginé par une équipe de trois personnes, trois amies : Mickey Moto qui dessine et donne une identité visuelle aux petites personnages, Tamara Barff qui est chargée de la partie reo et culture polynésienne et Virginie Monbrison qui rédige et conçoit les histoires.
Fou rire et plaisir
Dans le magazine il y a : des histoires, des jeux, des comptines, des blagues, des coloriages. "On veut que la lecture soit un plaisir", dit Virginie. Lire doit rimer découvrir, fou rire, plaisir, grandir. Certains personnages reviennent à chaque numéro. Et notamment Nui, Sayfong et Kohai la surfeuse. "Ce sont des personnages qu’on a voulu attachants, malicieux."
Il a aussi une légende venue d’ailleurs, une bande-dessinée (tout ce qu’il faut pour répondre aux envies d’un grand nombre de lecteurs), un agenda, une rencontre faite par un jeune talent. Dans le dernier numéro, Naïa rencontre Teora, un peintre âgé de 12 ans !
Samedi, Virginie et Tamara vont présenter le magazine. Virginie va conter une, peut-être deux histoires en fonction du public. Elle insiste : "Ce ne sera pas de la lecture, je vais raconter l’histoire". Elle commencera par celle d’un petit singe qui cherche sa maison, c’est une histoire extraite de l’un des numéros du magazine.
Un temps de parole libre
Ensuite, les enfants seront invités à parler et à dessiner la maison qu’ils imaginent pour le petit singe. Selon Virginie, "quand on est petit et qu’on écoute une histoire on engrange pas mal d’émotions". Engranger c’est mettre en réserve, accumuler. En parlant ensuite on libère ces émotions, celles qui sont nées à l’écoute de l’histoire ou bien celles qui remontent. "On fait un temps de parole libre" pendant l’atelier.
Pour l’équipe du magazine, ces temps d’échanges permettent aussi de découvrir ce que les lecteurs et leurs parents pensent du tout jeune magazine. C’est important car cela permet ensuite d’ajuster et adapter le contenu proposé.
C’est le quatrième numéro du magazine Firifiri qui sort et qui sera présenté ce samedi à la Maison de la culture. Firifiri est un magazine pour les enfants entre 4 et 8 ans. Il a été imaginé par une équipe de trois personnes, trois amies : Mickey Moto qui dessine et donne une identité visuelle aux petites personnages, Tamara Barff qui est chargée de la partie reo et culture polynésienne et Virginie Monbrison qui rédige et conçoit les histoires.
Fou rire et plaisir
Dans le magazine il y a : des histoires, des jeux, des comptines, des blagues, des coloriages. "On veut que la lecture soit un plaisir", dit Virginie. Lire doit rimer découvrir, fou rire, plaisir, grandir. Certains personnages reviennent à chaque numéro. Et notamment Nui, Sayfong et Kohai la surfeuse. "Ce sont des personnages qu’on a voulu attachants, malicieux."
Il a aussi une légende venue d’ailleurs, une bande-dessinée (tout ce qu’il faut pour répondre aux envies d’un grand nombre de lecteurs), un agenda, une rencontre faite par un jeune talent. Dans le dernier numéro, Naïa rencontre Teora, un peintre âgé de 12 ans !
Samedi, Virginie et Tamara vont présenter le magazine. Virginie va conter une, peut-être deux histoires en fonction du public. Elle insiste : "Ce ne sera pas de la lecture, je vais raconter l’histoire". Elle commencera par celle d’un petit singe qui cherche sa maison, c’est une histoire extraite de l’un des numéros du magazine.
Un temps de parole libre
Ensuite, les enfants seront invités à parler et à dessiner la maison qu’ils imaginent pour le petit singe. Selon Virginie, "quand on est petit et qu’on écoute une histoire on engrange pas mal d’émotions". Engranger c’est mettre en réserve, accumuler. En parlant ensuite on libère ces émotions, celles qui sont nées à l’écoute de l’histoire ou bien celles qui remontent. "On fait un temps de parole libre" pendant l’atelier.
Pour l’équipe du magazine, ces temps d’échanges permettent aussi de découvrir ce que les lecteurs et leurs parents pensent du tout jeune magazine. C’est important car cela permet ensuite d’ajuster et adapter le contenu proposé.
Pratique
Le samedi 22 mai de 9h30 à 10h30 à la bibliothèque des enfants.
Entrée libre, dans le respect des mesures sanitaires.
Cette animation s’adresse aux tout-petits de 5/6 ans.
Le samedi 22 mai de 9h30 à 10h30 à la bibliothèque des enfants.
Entrée libre, dans le respect des mesures sanitaires.
Cette animation s’adresse aux tout-petits de 5/6 ans.
Agenda
Les comptineurs de Tahiti jusqu’au 23 mai au Petit théâtre de la Maison de la culture. Tarif : 2 000 Fcfp, gratuit pour les moins de 1 an.
L’heure du conte : conte japonais : Le grand-père qui faisait fleurir les arbres dit par Léonore Caneri le mercredi 26 mai à 14h30. Entrée libre.
Les comptineurs de Tahiti jusqu’au 23 mai au Petit théâtre de la Maison de la culture. Tarif : 2 000 Fcfp, gratuit pour les moins de 1 an.
L’heure du conte : conte japonais : Le grand-père qui faisait fleurir les arbres dit par Léonore Caneri le mercredi 26 mai à 14h30. Entrée libre.