SAN FRANCISCO, 6 avril 2011 (AFP) - Une start-up américaine a lancé mardi un site gratuit qui vise à détecter les éléments compromettants sur les profils Facebook, au moment où les entreprises s'appuient de plus en plus sur les réseaux sociaux pour obtenir des éléments sur des candidats à l'embauche.
Ce site, Reppler.com, scanne le profil Facebook des candidats à l'embauche et fournit en quelques secondes un rapport en quatre catégories: "l'impression que vous donnez", "les contenus inadaptés", "les informations" et "les risques en termes de vie privée et de sécurité".
Le site met ainsi en exergue les photos ou les messages postés sur Facebook qui risquent de donner une mauvaise image de l'internaute ainsi que les informations qu'il ferait mieux de garder secrètes. Il donne aussi une note sur l'apparence générale du profil.
Le site analyse aussi la tonalité des messages de l'utilisateur, pour savoir par exemple s'il semble souvent en colère ou mécontent. Il pointe l'heure à laquelle les messages sont envoyés pour vérifier s'ils sont compatibles avec une vie de bureau. Il repère les termes peu flatteurs comme les insultes, ou les mots "alcool" et "drogue".
"Les gens sont inquiets de la perception générale que le monde extérieur a d'eux", affirme Vlad Gorelik, qui a travaillé pour l'entreprise de sécurité en ligne AVG Technologies avant de monter Reppler dans la Silicon Valley.
"Ils s'inquiètent à propos de la sécurité, de la vie privée et de l'impact sur leur vie professionnelle des informations qu'ils partagent sur les réseaux sociaux", avance-t-il. "Si on travaille dans un bar, les références à l'alcool sont parfaitement normales. Si on travaille pour un cabinet d'avocats classique, cela l'est beaucoup moins", souligne-t-il.
gc-sj/bar]mail:
Ce site, Reppler.com, scanne le profil Facebook des candidats à l'embauche et fournit en quelques secondes un rapport en quatre catégories: "l'impression que vous donnez", "les contenus inadaptés", "les informations" et "les risques en termes de vie privée et de sécurité".
Le site met ainsi en exergue les photos ou les messages postés sur Facebook qui risquent de donner une mauvaise image de l'internaute ainsi que les informations qu'il ferait mieux de garder secrètes. Il donne aussi une note sur l'apparence générale du profil.
Le site analyse aussi la tonalité des messages de l'utilisateur, pour savoir par exemple s'il semble souvent en colère ou mécontent. Il pointe l'heure à laquelle les messages sont envoyés pour vérifier s'ils sont compatibles avec une vie de bureau. Il repère les termes peu flatteurs comme les insultes, ou les mots "alcool" et "drogue".
"Les gens sont inquiets de la perception générale que le monde extérieur a d'eux", affirme Vlad Gorelik, qui a travaillé pour l'entreprise de sécurité en ligne AVG Technologies avant de monter Reppler dans la Silicon Valley.
"Ils s'inquiètent à propos de la sécurité, de la vie privée et de l'impact sur leur vie professionnelle des informations qu'ils partagent sur les réseaux sociaux", avance-t-il. "Si on travaille dans un bar, les références à l'alcool sont parfaitement normales. Si on travaille pour un cabinet d'avocats classique, cela l'est beaucoup moins", souligne-t-il.
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