LOS ANGELES, 20 juin 2011 (AFP) - La mythique robe blanche que portait Marilyn Monroe dans le film "Sept ans de réflexion", irrésistiblement soulevée par la grâce d'une bouche de métro, a été adjugée 4,6 millions de dollars lors d'une vente à Beverly Hills (Californie, ouest), pulvérisant les estimations.
La robe, qui tire désormais vers les tons crèmes en raison de son grand âge -- "Sept ans de réflexion", de Billy Wilder, est sorti en 1955 -- était estimée entre 1 et 2 millions de dollars. Elle a été adjugée 4,6 millions (5,52 millions avec les frais) dans le cadre de la dispersion, samedi, d'une première tranche de la collection privée de l'actrice américaine Debbie Reynolds.
"La première partie de la vente Debbie Reynolds a rapporté 22,8 millions de dollars, et la robe +du métro+ portée par Marilyn Monroe est partie pour un total de 5,52 millions de dollars -- 4,6 millions plus les frais", a précisé à l'AFP Nancy Seltzer, porte-parole de la maison d'enchères Profiles in History.
Signée du costumier américain William Travilla, la célèbre robe blanche plissée, qui a fait de Marilyn un sex-symbol et offert au septième art l'une de ses scènes les plus mythiques, était la pièce la plus prestigieuse de la vente, pendant laquelle ont été dispersées quelque 700 pièces.
Parmi celles-ci, figuraient d'autres robes de Marilyn (portées dans "Les hommes préfèrent les blondes", "La joyeuse parade" et "La rivière sans retour"), mais aussi des costumes de "Autant en emporte le vent", "La mélodie du bonheur", "Cléopâtre", "Ben-Hur", "Le magicien d'Oz", "Chantons sous la pluie", "My fair lady" ou "La main au collet".
Debbie Reynolds, 79 ans, immortalisée par "Chantons sous la pluie", a commencé à collectionner les costumes et souvenirs hollywoodiens dans les années 70, quand le studio MGM a liquidé ses actifs. Sa collection comprend plus de 3.500 costumes, 20.000 photographies, des milliers de posters originaux et des centaines d'éléments de décors.
L'actrice a longtemps caressé l'idée d'ouvrir un musée pour exposer sa collection, mais n'ayant jamais réussi à réunir les fonds, elle a finalement décidé de la mettre aux enchères.
Une deuxième vente sera organisée en décembre prochain.
rr/ple
La robe, qui tire désormais vers les tons crèmes en raison de son grand âge -- "Sept ans de réflexion", de Billy Wilder, est sorti en 1955 -- était estimée entre 1 et 2 millions de dollars. Elle a été adjugée 4,6 millions (5,52 millions avec les frais) dans le cadre de la dispersion, samedi, d'une première tranche de la collection privée de l'actrice américaine Debbie Reynolds.
"La première partie de la vente Debbie Reynolds a rapporté 22,8 millions de dollars, et la robe +du métro+ portée par Marilyn Monroe est partie pour un total de 5,52 millions de dollars -- 4,6 millions plus les frais", a précisé à l'AFP Nancy Seltzer, porte-parole de la maison d'enchères Profiles in History.
Signée du costumier américain William Travilla, la célèbre robe blanche plissée, qui a fait de Marilyn un sex-symbol et offert au septième art l'une de ses scènes les plus mythiques, était la pièce la plus prestigieuse de la vente, pendant laquelle ont été dispersées quelque 700 pièces.
Parmi celles-ci, figuraient d'autres robes de Marilyn (portées dans "Les hommes préfèrent les blondes", "La joyeuse parade" et "La rivière sans retour"), mais aussi des costumes de "Autant en emporte le vent", "La mélodie du bonheur", "Cléopâtre", "Ben-Hur", "Le magicien d'Oz", "Chantons sous la pluie", "My fair lady" ou "La main au collet".
Debbie Reynolds, 79 ans, immortalisée par "Chantons sous la pluie", a commencé à collectionner les costumes et souvenirs hollywoodiens dans les années 70, quand le studio MGM a liquidé ses actifs. Sa collection comprend plus de 3.500 costumes, 20.000 photographies, des milliers de posters originaux et des centaines d'éléments de décors.
L'actrice a longtemps caressé l'idée d'ouvrir un musée pour exposer sa collection, mais n'ayant jamais réussi à réunir les fonds, elle a finalement décidé de la mettre aux enchères.
Une deuxième vente sera organisée en décembre prochain.
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