OAKLAND (Etats-Unis), 2 jan 2013 (AFP) - Un juge américain a rejeté mercredi une plainte du groupe informatique Apple, qui accusait le distributeur en ligne Amazon de publicité mensongère parce qu'il appelait "appstore" son magasin d'applications mobiles.
"Apple n'a pas réussi à établir qu'Amazon avait fait de fausses descriptions qui ont effectivement trompé ou eu tendance à tromper un segment important de son public", a indiqué la juge Phyllis Hamilton dans sa décision.
Apple avait lancé en 2008 son "App Store", où sont disponibles ses applications, de petits logiciels pour ses téléphones iPhone, ses tablettes iPad et ses baladeurs iPod touch.
Amazon avait ouvert fin 2011 son propre "Appstore" où il vend des applications adaptées à sa tablette Kindle Fire et aux engins mobiles opérant avec le système d'exploitation de Google, Android.
Apple avait porté plainte contre Amazon pour publicité mensongère et violation de marque.
Les autorités américaines sont toujours en train d'examiner une demande du groupe à la pomme pour faire breveter le nom "App Store" afin d'en obtenir l'usage exclusif. Le géant des logiciels Microsoft s'est notamment opposé à cette demande.
"Apple n'a pas réussi à établir qu'Amazon avait fait de fausses descriptions qui ont effectivement trompé ou eu tendance à tromper un segment important de son public", a indiqué la juge Phyllis Hamilton dans sa décision.
Apple avait lancé en 2008 son "App Store", où sont disponibles ses applications, de petits logiciels pour ses téléphones iPhone, ses tablettes iPad et ses baladeurs iPod touch.
Amazon avait ouvert fin 2011 son propre "Appstore" où il vend des applications adaptées à sa tablette Kindle Fire et aux engins mobiles opérant avec le système d'exploitation de Google, Android.
Apple avait porté plainte contre Amazon pour publicité mensongère et violation de marque.
Les autorités américaines sont toujours en train d'examiner une demande du groupe à la pomme pour faire breveter le nom "App Store" afin d'en obtenir l'usage exclusif. Le géant des logiciels Microsoft s'est notamment opposé à cette demande.