New York, Etats-Unis | AFP | vendredi 24/04/2015 - Les deux premiers câblo-opérateurs américains Comcast et Time Warner Cable (TWC), ont indiqué vendredi qu'ils renonçaient à leur fusion, annoncée il y a plus d'un an mais qui se heurtait aux réticences des régulateurs.
"Aujourd'hui, nous passons à autre chose", a commenté dans un communiqué le PDG de Comcast, Brian Roberts. "Nous avions structuré cette transaction de telle sorte que si le gouvernement n'était pas d'accord, nous pouvions nous retirer", rappelle-t-il.
TWC a confirmé dans un communiqué séparé que la rupture s'était faite par consentement mutuel.
Le projet prévoyait que Comcast, numéro un du marché, rachète le numéro deux TWC pour quelque 45 milliards de dollars (67 milliards avec la reprise de dette). Elle devait toutefois obtenir l'aval du régulateur du secteur des télécoms (FCC) et de la division antitrust du département de la Justice (DoJ).
La FCC et le DoJ se sont immédiatement félicités, dans deux communiqués séparés, d'une décision selon eux favorables aux consommateurs.
"C'est une victoire non seulement pour le département de la Justice, mais aussi pour les fournisseurs de contenus et les services de streaming (musique ou vidéo en ligne sans téléchargement préalable NDLR) qui travaillent pour offrir des produits innovants aux consommateurs à travers l'Amérique et le monde", a commenté le ministre de la Justice, Eric Holder.
"Aujourd'hui, nous passons à autre chose", a commenté dans un communiqué le PDG de Comcast, Brian Roberts. "Nous avions structuré cette transaction de telle sorte que si le gouvernement n'était pas d'accord, nous pouvions nous retirer", rappelle-t-il.
TWC a confirmé dans un communiqué séparé que la rupture s'était faite par consentement mutuel.
Le projet prévoyait que Comcast, numéro un du marché, rachète le numéro deux TWC pour quelque 45 milliards de dollars (67 milliards avec la reprise de dette). Elle devait toutefois obtenir l'aval du régulateur du secteur des télécoms (FCC) et de la division antitrust du département de la Justice (DoJ).
La FCC et le DoJ se sont immédiatement félicités, dans deux communiqués séparés, d'une décision selon eux favorables aux consommateurs.
"C'est une victoire non seulement pour le département de la Justice, mais aussi pour les fournisseurs de contenus et les services de streaming (musique ou vidéo en ligne sans téléchargement préalable NDLR) qui travaillent pour offrir des produits innovants aux consommateurs à travers l'Amérique et le monde", a commenté le ministre de la Justice, Eric Holder.