San Francisco, Etats-Unis | AFP | mardi 30/08/2016 - Twitter tente d'attirer davantage de créateurs de vidéo en leur offrant une partie de ses recettes publicitaires, une initiative également susceptible d'améliorer les contenus et l'attractivité de sa plateforme face à des rivaux plus populaires comme YouTube ou Facebook.
Dans un message publié mardi sur un de ses blogs officiels, Twitter annonce élargir un programme baptisé Amplify, qui était jusqu'ici proposé seulement à quelques médias, afin de "fournir aux créateurs de toutes tailles la capacité de monétiser leur contenu de plusieurs manières et de générer des revenus à grande échelle".
Les créateurs pourront choisir d'ajouter de la publicité par défaut à toutes leurs vidéos, ou décider au cas par cas.
Ces spots publicitaires seront diffusés avant les vidéos concernées, et les recettes ainsi générées partagées entre le créateur de la vidéo et le réseau social.
Ce dernier ne détaille pas les modalités exactes du partage, affirmant juste proposer un des meilleurs du secteur. D'après le site d'informations Re/Code, il ne conserverait que 30% des recettes et laisserait les 70% restants aux créateurs, un ratio plus intéressant que celui à 45-50 proposé par YouTube, la filiale de vidéo en ligne de Google (groupe Alphabet).
Les créateurs ne seront en outre pas obligés de publier les vidéos concernées exclusivement sur Twitter.
La vidéo est un créneau sur lequel les réseaux sociaux et beaucoup d'autres services en ligne misent actuellement énormément pour se développer, mais où Twitter, en dépit d'importants efforts ces derniers mois, est encore loin d'avoir l'échelle de YouTube ou Facebook.
Or le réseau social subit une pression croissante des investisseurs pour améliorer son attractivité et élargir son audience, qui stagne depuis plusieurs trimestres: il revendiquait fin juin 313 millions d'abonnés, soit seulement 3 millions de plus que trois mois plus tôt.
Dans un message publié mardi sur un de ses blogs officiels, Twitter annonce élargir un programme baptisé Amplify, qui était jusqu'ici proposé seulement à quelques médias, afin de "fournir aux créateurs de toutes tailles la capacité de monétiser leur contenu de plusieurs manières et de générer des revenus à grande échelle".
Les créateurs pourront choisir d'ajouter de la publicité par défaut à toutes leurs vidéos, ou décider au cas par cas.
Ces spots publicitaires seront diffusés avant les vidéos concernées, et les recettes ainsi générées partagées entre le créateur de la vidéo et le réseau social.
Ce dernier ne détaille pas les modalités exactes du partage, affirmant juste proposer un des meilleurs du secteur. D'après le site d'informations Re/Code, il ne conserverait que 30% des recettes et laisserait les 70% restants aux créateurs, un ratio plus intéressant que celui à 45-50 proposé par YouTube, la filiale de vidéo en ligne de Google (groupe Alphabet).
Les créateurs ne seront en outre pas obligés de publier les vidéos concernées exclusivement sur Twitter.
La vidéo est un créneau sur lequel les réseaux sociaux et beaucoup d'autres services en ligne misent actuellement énormément pour se développer, mais où Twitter, en dépit d'importants efforts ces derniers mois, est encore loin d'avoir l'échelle de YouTube ou Facebook.
Or le réseau social subit une pression croissante des investisseurs pour améliorer son attractivité et élargir son audience, qui stagne depuis plusieurs trimestres: il revendiquait fin juin 313 millions d'abonnés, soit seulement 3 millions de plus que trois mois plus tôt.