MAHINA, LE 20 septembre 2014 - La lutte sur sable se développe de plus en plus. ‘Surfant’ sur l’engouement pour le jiu jitsu brésilien, le Vénus Judo Club de Mahina a proposé ce premier concours de lutte sur sable ce samedi à Mahina. Malgré une participation timide, Bernard Di Rollo l’organisateur est satisfait de la journée.
Le ‘beach wrestling’ a tout pour réussir à Tahiti : une passion des jeunes pour les sports de combat en général ainsi que les plages pour s’y adonner. A l’image du beachsoccer pour le football, la lutte sur sable est la version ‘fun’ de la lutte classique. Elle se développe également en France à l’image de la tournée estivale qui a eu lieu sur les plages métropolitaines comme celles de Nice ou Boulogne sur mer.
David Meitai était également présent. Notre Mister Tahiti et Mister France est passionné de sports de combat et s’entraîne à la presqu’île. Il s’impose même dans la catégorie des "plus de 90 kg". En – de 90 kg, c’est Tua Motahi du club Vénus qui termine premier alors qu’en – de 80 kg c’est Yvan Shan de Vénus également, qui remporte le combat final.
Le ‘beach wrestling’ a tout pour réussir à Tahiti : une passion des jeunes pour les sports de combat en général ainsi que les plages pour s’y adonner. A l’image du beachsoccer pour le football, la lutte sur sable est la version ‘fun’ de la lutte classique. Elle se développe également en France à l’image de la tournée estivale qui a eu lieu sur les plages métropolitaines comme celles de Nice ou Boulogne sur mer.
David Meitai était également présent. Notre Mister Tahiti et Mister France est passionné de sports de combat et s’entraîne à la presqu’île. Il s’impose même dans la catégorie des "plus de 90 kg". En – de 90 kg, c’est Tua Motahi du club Vénus qui termine premier alors qu’en – de 80 kg c’est Yvan Shan de Vénus également, qui remporte le combat final.
Bernard Di Rollo, du Venus Judo Club (organisateur) :
"Une journée mitigée : je suis content pour l’ambiance ‘fun’ des combats sur plage mais il n’y avait pas assez de combattants à mon goût. On connaît un peu le principe sur les première compétitions de jiu jitsu brésilien que l’on a organisé il y a un an : sur la première les gens viennent voir, ils n’osent pas participer. On espère faire mieux lors de la prochaine journée qui se passera au PK 18 sur la côte ouest, ‘hors de nos murs’ de Mahina. On espère que les clubs de la côte ouest seront un peu plus présents".
La date est déjà fixée ?
Bernard Di Rollo : Oui, car il faut réserver les sites. Le 7 décembre à Punaauia et le 28 février 2015 à Taharu’u, à Papara.
Quelle est la particularité du combat sur le sable ?
Bernard Di Rollo : C’est un dérivé de la lutte, c’est donc la fédération de lutte qui était organisatrice de cet événement là. C’est un peu comme le foot pour le beachsoccer, c’est plus ludique, plus fun, avec des règles très simples. C’est vite adaptable pour un judoka ou un pratiquant de jiu jitsu, tout le monde peut s’y confronter. Pour le public c’est gratuit, c’est facile à comprendre, contrairement à d’autres disciplines où parfois il ne se passe pas grand-chose. C’est rapide, au bout de 20 secondes parfois on a le résultat, les gens sont contents.
Un résumé des règles ?
Bernard Di Rollo : On peut gagner soit en faisant tomber son adversaire, soit en le poussant hors de la zone de 6 mètres. Si l’adversaire tombe sur une zone autre que le dos, on marque un point, il en faut deux pour gagner donc cela va vite. Si le combattant tombe sur le dos, le combat est définitivement perdu. On avait quand même une 40aine de compétiteurs aujourd’hui, toutes catégories confondues. On a débuté avec les jeunes ce matin. On a manqué de filles, je fais un appel aux filles, je sais qu’il y a des combattantes, il ne faut pas être timides et ne pas hésiter à participer.
Où en est-on pour l’affiliation du jiu jitsu brésilien ?
Bernard Di Rollo : Le jiu jitsu brésilien est aujourd’hui sous l’égide de la fédé de judo mais une demande a été faite par la fédé de lutte pour reprendre le BJJ et je pense que la fédé de judo a donné son accord. Les règles et la pratique sont effectivement plus proches. Cela ne me dérange pas, au contraire je suis artisan de cette demande-là, il faut savoir laisser voler de ses propres ailes une discipline qui connaît un essor à Tahiti. Je prends beaucoup de plaisir à aider Hiro Lemaire dans la construction de cette jeune fédération de lutte, je fais les deux car je trouve que l’on ne fait pas assez dans l’une comme dans l’autre, cela me convient de faire un peu plus de compétitions, de rencontres.
"Une journée mitigée : je suis content pour l’ambiance ‘fun’ des combats sur plage mais il n’y avait pas assez de combattants à mon goût. On connaît un peu le principe sur les première compétitions de jiu jitsu brésilien que l’on a organisé il y a un an : sur la première les gens viennent voir, ils n’osent pas participer. On espère faire mieux lors de la prochaine journée qui se passera au PK 18 sur la côte ouest, ‘hors de nos murs’ de Mahina. On espère que les clubs de la côte ouest seront un peu plus présents".
La date est déjà fixée ?
Bernard Di Rollo : Oui, car il faut réserver les sites. Le 7 décembre à Punaauia et le 28 février 2015 à Taharu’u, à Papara.
Quelle est la particularité du combat sur le sable ?
Bernard Di Rollo : C’est un dérivé de la lutte, c’est donc la fédération de lutte qui était organisatrice de cet événement là. C’est un peu comme le foot pour le beachsoccer, c’est plus ludique, plus fun, avec des règles très simples. C’est vite adaptable pour un judoka ou un pratiquant de jiu jitsu, tout le monde peut s’y confronter. Pour le public c’est gratuit, c’est facile à comprendre, contrairement à d’autres disciplines où parfois il ne se passe pas grand-chose. C’est rapide, au bout de 20 secondes parfois on a le résultat, les gens sont contents.
Un résumé des règles ?
Bernard Di Rollo : On peut gagner soit en faisant tomber son adversaire, soit en le poussant hors de la zone de 6 mètres. Si l’adversaire tombe sur une zone autre que le dos, on marque un point, il en faut deux pour gagner donc cela va vite. Si le combattant tombe sur le dos, le combat est définitivement perdu. On avait quand même une 40aine de compétiteurs aujourd’hui, toutes catégories confondues. On a débuté avec les jeunes ce matin. On a manqué de filles, je fais un appel aux filles, je sais qu’il y a des combattantes, il ne faut pas être timides et ne pas hésiter à participer.
Où en est-on pour l’affiliation du jiu jitsu brésilien ?
Bernard Di Rollo : Le jiu jitsu brésilien est aujourd’hui sous l’égide de la fédé de judo mais une demande a été faite par la fédé de lutte pour reprendre le BJJ et je pense que la fédé de judo a donné son accord. Les règles et la pratique sont effectivement plus proches. Cela ne me dérange pas, au contraire je suis artisan de cette demande-là, il faut savoir laisser voler de ses propres ailes une discipline qui connaît un essor à Tahiti. Je prends beaucoup de plaisir à aider Hiro Lemaire dans la construction de cette jeune fédération de lutte, je fais les deux car je trouve que l’on ne fait pas assez dans l’une comme dans l’autre, cela me convient de faire un peu plus de compétitions, de rencontres.
Tumaui Nordman de la ‘team predator submission’, vainqueur en open :
Content de ta prestation ?
Tumaui Nordman : Je suis satisfait surtout de la journée que le Venus Judo Club à organisé aujourd’hui. C’est dommage qu’il n’y ait pas eu plus de clubs participants. Il n’y avait que deux clubs : le Vénus Judo Club de Mahina et nous, le club de Taravao. Il n’y a pas toutes ces activités-là à la Presqu’île, on ne devait être que quatre à venir, finalement c’est tout le club qui est venu.
Comment expliques-tu ce peu de participants ?
Tumaui Nordman : J’en ai aucune idée. Peut être que c’est parce que c’était la première compétition de ‘beach wrestling’, je pense que les gens n’étaient peut être pas intéressés, mais nous on est venu de notre ‘trou’ à la Presqu’île, on était intéressés.
Quelle est la particularité du combat sur le sable ?
Tumaui Nordman : On va dire que c’est plutôt pour le loisir, pour le ‘fun’. La texture du sol est différente mais ça va, la chute ne fait pas mal mais on peut dire que j’ai ‘bouffé’ du sable aujourd’hui !
Comment s’est passée ta finale open ?
Tumaui Nordman : C’était un judoka qui avait l’air très puissant et très technique, je ne pensais pas l’avoir si facilement, enfin je veux dire qu’il soit ainsi à ma portée. Je l’ai poussé et fait sortir plusieurs fois du cercle.
Tu as des objectifs ?
Tumaui Nordman : Je suis dans le ‘jiu jitsu brésilien. Mon objectif est de réussir à m’entraîner davantage pour me perfectionner. Je reviens d’Australie où j’ai réussi à être vice-champion du monde lors de l’Australian Champion Cup.
Content de ta prestation ?
Tumaui Nordman : Je suis satisfait surtout de la journée que le Venus Judo Club à organisé aujourd’hui. C’est dommage qu’il n’y ait pas eu plus de clubs participants. Il n’y avait que deux clubs : le Vénus Judo Club de Mahina et nous, le club de Taravao. Il n’y a pas toutes ces activités-là à la Presqu’île, on ne devait être que quatre à venir, finalement c’est tout le club qui est venu.
Comment expliques-tu ce peu de participants ?
Tumaui Nordman : J’en ai aucune idée. Peut être que c’est parce que c’était la première compétition de ‘beach wrestling’, je pense que les gens n’étaient peut être pas intéressés, mais nous on est venu de notre ‘trou’ à la Presqu’île, on était intéressés.
Quelle est la particularité du combat sur le sable ?
Tumaui Nordman : On va dire que c’est plutôt pour le loisir, pour le ‘fun’. La texture du sol est différente mais ça va, la chute ne fait pas mal mais on peut dire que j’ai ‘bouffé’ du sable aujourd’hui !
Comment s’est passée ta finale open ?
Tumaui Nordman : C’était un judoka qui avait l’air très puissant et très technique, je ne pensais pas l’avoir si facilement, enfin je veux dire qu’il soit ainsi à ma portée. Je l’ai poussé et fait sortir plusieurs fois du cercle.
Tu as des objectifs ?
Tumaui Nordman : Je suis dans le ‘jiu jitsu brésilien. Mon objectif est de réussir à m’entraîner davantage pour me perfectionner. Je reviens d’Australie où j’ai réussi à être vice-champion du monde lors de l’Australian Champion Cup.
Walter Tching et David Meitai étaient présents