Une seconde chance pour les bus de la société de transport scolaire Terehau. 6 d’entre eux repassent cet après-midi (mercredi) devant un expert de la Direction des transports terrestres, à Moorea. Depuis mercredi dernier, 8 bus sur les 13 que compte cette société étaient immobilisés pour manquements à la sécurité.
1.900 élèves étaient transportés dans ces bus chaque jour, vers l’ensemble des établissements de l’île de Moorea. Les plus pénalisés par cette immobilisation sont les élèves des collèges d’Afareaitu et de Paopao, souvent logés loin de leur établissement. Le résultat de ce nouveau contrôle technique est donc attendu avec impatience par les parents d’élèves, et par la société Terehau. Jean-Yves Pasquet, assistant de direction, affirme que ses équipes ont « bossé sur les bus jusque tard le soir » depuis mercredi dernier.
Créée en janvier 2010, cette société de transport s’estime victime d’une injustice. « ça arrive parfois qu’un bus soit recalé, mais 8 ! » s’étonne Jean-Yves Pasquet. L’assistant de direction estime que la direction de l’enseignement primaire, qui gère le transport scolaire en Polynésie, était au courant de l’âge de ses bus. « Le plus vieux bus a 18 ans, pas 39 », précise le responsable, en réaction à un article de presse. « Je ne comprends pas pourquoi on nous tire dessus à boulet rouge, en disant qu’on a du matériel hors d’usage. Ce n’est pas vrai du tout ».
Les résultats de ce nouveau contrôle technique devraient être connus en fin de journée. Au cas où les bus seraient à nouveau recalés, des bus militaires pourraient être réquisitionnés, explique le directeur de l’enseignement primaire, Christian Morhain.
1.900 élèves étaient transportés dans ces bus chaque jour, vers l’ensemble des établissements de l’île de Moorea. Les plus pénalisés par cette immobilisation sont les élèves des collèges d’Afareaitu et de Paopao, souvent logés loin de leur établissement. Le résultat de ce nouveau contrôle technique est donc attendu avec impatience par les parents d’élèves, et par la société Terehau. Jean-Yves Pasquet, assistant de direction, affirme que ses équipes ont « bossé sur les bus jusque tard le soir » depuis mercredi dernier.
Créée en janvier 2010, cette société de transport s’estime victime d’une injustice. « ça arrive parfois qu’un bus soit recalé, mais 8 ! » s’étonne Jean-Yves Pasquet. L’assistant de direction estime que la direction de l’enseignement primaire, qui gère le transport scolaire en Polynésie, était au courant de l’âge de ses bus. « Le plus vieux bus a 18 ans, pas 39 », précise le responsable, en réaction à un article de presse. « Je ne comprends pas pourquoi on nous tire dessus à boulet rouge, en disant qu’on a du matériel hors d’usage. Ce n’est pas vrai du tout ».
Les résultats de ce nouveau contrôle technique devraient être connus en fin de journée. Au cas où les bus seraient à nouveau recalés, des bus militaires pourraient être réquisitionnés, explique le directeur de l’enseignement primaire, Christian Morhain.
