PAPEETE, jeudi 25 avril 2013. Les choses sont allés très vite finalement pour les 232 salariés de Vini issus des trois ex filiales de l’OPT. Alors que la fusion était signée samedi, le 20 avril dernier, certains salariés n’avaient pas encore trouvé leur place dans l’organisation de la nouvelle société. Au cours des derniers jours, la commission paritaire mise en place pour traiter ces cas résiduels a réussi à caser tout le monde. «Hier (mercredi) les 33 personnes qui n’avaient pas encore pu être reclassées ont reçu leur nouveau contrat de travail. Désormais personnel et direction sont en place en mode opératoire» annonçait ce jeudi le président de la SAS Vini, Léon Tefau en marge d’une conférence de presse annonçant le déploiement dans les prochains mois de la technologie 4G sur Tahiti.
La commission paritaire composée à nombre égal de membres de la direction et des salariés avait jusqu’au 31 mai 2013 pour régler le cas de ces personnels sans poste, mais la mission a pu être remplie en trois jours seulement. La situation de la trentaine de personnes en contrat à durée déterminée, issues des trois ex filiales de l’OPT, est moins rose. A la fin de leurs contrats, ils n’auront pas d’avenir assuré dans la SAS Vini. «Si des postes se libèrent on pourra en proposer à ces CDD à la fin de leur mission» avançait prudemment le président Léon Tefau qui admet entre les lignes sa position délicate en cas de changement de majorité au gouvernement de Polynésie le 5 mai prochain. «J’espère que cette fusion va perdurer dans le temps» indiquait-il.
La commission paritaire composée à nombre égal de membres de la direction et des salariés avait jusqu’au 31 mai 2013 pour régler le cas de ces personnels sans poste, mais la mission a pu être remplie en trois jours seulement. La situation de la trentaine de personnes en contrat à durée déterminée, issues des trois ex filiales de l’OPT, est moins rose. A la fin de leurs contrats, ils n’auront pas d’avenir assuré dans la SAS Vini. «Si des postes se libèrent on pourra en proposer à ces CDD à la fin de leur mission» avançait prudemment le président Léon Tefau qui admet entre les lignes sa position délicate en cas de changement de majorité au gouvernement de Polynésie le 5 mai prochain. «J’espère que cette fusion va perdurer dans le temps» indiquait-il.
