Confiant. Interrogé sur les nouveaux contrôles au scanner mis en place sur le Tour de France pour éviter toute suspicion de moteur électrique dans les vélos, Alberto Contador a estimé que cela était "bien" et constituait une "garantie" d'équité. "Mais je n'y accorde pas beaucoup d'importance parce que je pense que personne n'utilise de moteur", a-t-il ensuite affirmé.
Mondial. Arrivé avec près d'une demi-heure de retard à sa conférence de presse prévue à 15h00, Alberto Contador a terminé sa conférence de presse peu avant 16h00. "On va arrêter là parce qu'ensuite on va tous aller regarder le match Pays-Bas - Brésil !" a-t-il lancé aux journalistes hilares qui ne l'ont pas retenu. Les Pays-Bas, vainqueur (2-1) des Auriverde, ne retrouveront l'Espagne, équipe de coeur de Contador, qu'éventuellement en finale.
Offensif. Le champion du monde australien Cadel Evans s'attend à un Tour très serré et probablement offensif. "Cette année, il y a beaucoup de coureurs capables de finir sur le podium ou même de gagner, dans des équipes différentes. Ca rend la course plus intéressante. Il y aura plus d'équipes qui voudront attaquer et ça rend le Tour plus ouvert", a déclaré l'Australien en conférence de presse. Le coureur s'est réjoui que lui et d'autres membres de son équipe BMC arrivent sur le Tour "en bonne forme au bon moment".
Au plus tôt. Mark Cavendish, vainqueur de six étapes l'an passé, a placé Tyler Farrar en principal adversaire dans sa conquête du maillot vert. Sans omettre de citer les deux derniers lauréats du classement par points, Oscar Freire et Thor Hushvod. Le Britannique, satisfait de sa préparation, s'est fixé pour but de gagner le plus tôt possible une étape. "L'an dernier, a-t-il ajouté, je n'avais encore jamais terminé le Tour. Cette fois, je sais que je peux aller jusqu'à Paris et donc, le maillot vert est un objectif pour moi".
Soutien. Après avoir reconnu vendredi matin le parcours du prologue, Lance Armstrong a rendu visite dans l'après-midi aux cancéreux de l'hôpital Erasme de Rotterdam. Le septuple vainqueur du Tour de France y finance via sa fondation Livestrong un programme de recherche.
Prolongation. Joaquin Rodriguez, qui a rejoint en début de saison l'équipe Katusha, a prolongé de deux ans son engagement en faveur de la formation russe. Le grimpeur catalan, qui est âgé de 31 ans, a gagné cette année le Tour de Catalogne et a pris la deuxième place de la Flèche Wallonne.
Cinquième. Rotterdam est la cinquième ville néerlandaise à accueillir un départ du Tour de France. La première avait été Amsterdam en 1954, suivie de Scheveningen (1973), Leiden (1978) et 's-Hertogenbosch (1996).
Cadeaux aux rescapés. Les coureurs qui arriveront sur les Champs-Elysées se verront remettre la bannière à leur effigie affichée sur le Bompjes, une grande avenue de Rotterdam. Cette initiative de la ville de confectionner et afficher des bannières aux visages des 198 partants est très appréciée d'ASO, organisateur du Tour de France, et devrait être reconduite dans les années à venir.
Pression. La caravane publicitaire parcourra avant le peloton les 3641,9 kilomètres de la Grande Boucle. Pour s'assurer de la sécurité des spectaculaires véhicules chargés jusqu'à la gueule de produits à distribuer au public, ASO a rendu obligatoire la pesée des véhicules afin de déterminer la pression des pneus adaptée. Pour cela, une marque de pneumatiques, sponsor depuis plusieurs années du Tour de France, a créé un "char pesée". La pression n'est pas que sur les coureurs du Tour de France ou dans les verres des supporters de football néerlandais...
Mondial. Arrivé avec près d'une demi-heure de retard à sa conférence de presse prévue à 15h00, Alberto Contador a terminé sa conférence de presse peu avant 16h00. "On va arrêter là parce qu'ensuite on va tous aller regarder le match Pays-Bas - Brésil !" a-t-il lancé aux journalistes hilares qui ne l'ont pas retenu. Les Pays-Bas, vainqueur (2-1) des Auriverde, ne retrouveront l'Espagne, équipe de coeur de Contador, qu'éventuellement en finale.
Offensif. Le champion du monde australien Cadel Evans s'attend à un Tour très serré et probablement offensif. "Cette année, il y a beaucoup de coureurs capables de finir sur le podium ou même de gagner, dans des équipes différentes. Ca rend la course plus intéressante. Il y aura plus d'équipes qui voudront attaquer et ça rend le Tour plus ouvert", a déclaré l'Australien en conférence de presse. Le coureur s'est réjoui que lui et d'autres membres de son équipe BMC arrivent sur le Tour "en bonne forme au bon moment".
Au plus tôt. Mark Cavendish, vainqueur de six étapes l'an passé, a placé Tyler Farrar en principal adversaire dans sa conquête du maillot vert. Sans omettre de citer les deux derniers lauréats du classement par points, Oscar Freire et Thor Hushvod. Le Britannique, satisfait de sa préparation, s'est fixé pour but de gagner le plus tôt possible une étape. "L'an dernier, a-t-il ajouté, je n'avais encore jamais terminé le Tour. Cette fois, je sais que je peux aller jusqu'à Paris et donc, le maillot vert est un objectif pour moi".
Soutien. Après avoir reconnu vendredi matin le parcours du prologue, Lance Armstrong a rendu visite dans l'après-midi aux cancéreux de l'hôpital Erasme de Rotterdam. Le septuple vainqueur du Tour de France y finance via sa fondation Livestrong un programme de recherche.
Prolongation. Joaquin Rodriguez, qui a rejoint en début de saison l'équipe Katusha, a prolongé de deux ans son engagement en faveur de la formation russe. Le grimpeur catalan, qui est âgé de 31 ans, a gagné cette année le Tour de Catalogne et a pris la deuxième place de la Flèche Wallonne.
Cinquième. Rotterdam est la cinquième ville néerlandaise à accueillir un départ du Tour de France. La première avait été Amsterdam en 1954, suivie de Scheveningen (1973), Leiden (1978) et 's-Hertogenbosch (1996).
Cadeaux aux rescapés. Les coureurs qui arriveront sur les Champs-Elysées se verront remettre la bannière à leur effigie affichée sur le Bompjes, une grande avenue de Rotterdam. Cette initiative de la ville de confectionner et afficher des bannières aux visages des 198 partants est très appréciée d'ASO, organisateur du Tour de France, et devrait être reconduite dans les années à venir.
Pression. La caravane publicitaire parcourra avant le peloton les 3641,9 kilomètres de la Grande Boucle. Pour s'assurer de la sécurité des spectaculaires véhicules chargés jusqu'à la gueule de produits à distribuer au public, ASO a rendu obligatoire la pesée des véhicules afin de déterminer la pression des pneus adaptée. Pour cela, une marque de pneumatiques, sponsor depuis plusieurs années du Tour de France, a créé un "char pesée". La pression n'est pas que sur les coureurs du Tour de France ou dans les verres des supporters de football néerlandais...
