Le groupe TO TATOU AI’A s’oppose vigoureusement au projet du Parti socialiste, révélé dans Les Nouvelles de ce jour, visant à la légalisation du cannabis ou « paka ».
Cette idée, activement soutenu par la représentante Sabrina BIRK, relève d’une stratégie profondément démagogique et ne peut, raisonnablement aboutir.
Il a été démontré, par de nombreuses études scientifiques, que le « paka » était très nocif pour la santé humaine, et plus particulièrement pour le développement intellectuel des jeunes : enfants, adolescents. Les ravages sur les fœtus lorsque les mères consomment du « paka » sont également indéniables.
Au-delà de ces problèmes de santé publique, d’addiction et de séquelles à long terme, ce genre de commerce, même légalisé, a toujours tendance à soutenir le financement et la structuration d’autres trafics portant sur des drogues beaucoup plus dures.
C’est ainsi que la Hollande, jugée pendant longtemps comme un pays progressiste en la matière, envisage de repénaliser le cannabis, tant cette légalisation n’a fait qu’accroître le développement de réseaux mafieux derrière les façades des coffee-shop.
Contrairement à ce qu’à pu déclarer M. Temaru ces derniers mois, et contrairement au lobbyisme actif de Mme BIRK, notre groupe considère que cette option, qui ne relève d’ailleurs pas de la compétence du pays, est absolument contraire à toute volonté de développement économique et d’épanouissement de notre jeunesse.
Il nous apparaît bien plus utile de soutenir le développement de l’agriculture locale, le travail sur les produits de notre terroir : taros, urus, fe’i… Voilà qui donnera un travail digne et honorable à notre jeunesse qui souffre de cette crise économique et sociale.
« Plantez, plantez » comme on peut l’entendre dans cet hémicycle, voilà un discours plus utile que le « fumez, fumez » que certains souhaiteraient nous proposer aujourd’hui.
Cette idée, activement soutenu par la représentante Sabrina BIRK, relève d’une stratégie profondément démagogique et ne peut, raisonnablement aboutir.
Il a été démontré, par de nombreuses études scientifiques, que le « paka » était très nocif pour la santé humaine, et plus particulièrement pour le développement intellectuel des jeunes : enfants, adolescents. Les ravages sur les fœtus lorsque les mères consomment du « paka » sont également indéniables.
Au-delà de ces problèmes de santé publique, d’addiction et de séquelles à long terme, ce genre de commerce, même légalisé, a toujours tendance à soutenir le financement et la structuration d’autres trafics portant sur des drogues beaucoup plus dures.
C’est ainsi que la Hollande, jugée pendant longtemps comme un pays progressiste en la matière, envisage de repénaliser le cannabis, tant cette légalisation n’a fait qu’accroître le développement de réseaux mafieux derrière les façades des coffee-shop.
Contrairement à ce qu’à pu déclarer M. Temaru ces derniers mois, et contrairement au lobbyisme actif de Mme BIRK, notre groupe considère que cette option, qui ne relève d’ailleurs pas de la compétence du pays, est absolument contraire à toute volonté de développement économique et d’épanouissement de notre jeunesse.
Il nous apparaît bien plus utile de soutenir le développement de l’agriculture locale, le travail sur les produits de notre terroir : taros, urus, fe’i… Voilà qui donnera un travail digne et honorable à notre jeunesse qui souffre de cette crise économique et sociale.
« Plantez, plantez » comme on peut l’entendre dans cet hémicycle, voilà un discours plus utile que le « fumez, fumez » que certains souhaiteraient nous proposer aujourd’hui.
