L'association Emauta bénéficie d'une subvention annuelle de 101 millions de francs, qu'elle redistribue aux quatre établissements qui la compose, entre autre, le foyer d'hébergement "La Samaritaine" qui a pour vocation première d’accueillir les femmes majeures, avec ou sans enfants, en situation de détresse sociale.
Créée en 1996, et après avoir été locataire ci et là, il est important de souligner que La Samaritaine est propriétaire du bâtiment qu’elle occupe (financé par le contrat de ville) et du foncier (don de l’Evêché).
L’établissement fonctionne toute l’année, de jour comme de nuit, et dispose d’une capacité d’accueil de 30 personnes, femmes et enfants confondus. Pour l’heure, le foyer abrite 10 femmes et 7 enfants.
La durée du séjour varie, selon que les femmes adhèrent au règlement intérieur ou pas ; d’une heure à trois mois, avec possibilité d’une prorogation exceptionnelle.
Demeurer au foyer implique, en effet, que toutes participent activement à la vie en communauté.
L’équipe de choc, composée d’une éducatrice et cinq monitrices, est menée de front par sa très volontaire et dynamique directrice, Mme Tania TUMG.
Bien que se distinguant du centre d’hébergement Pu O Te Hau, dont la mission consiste à accueillir des femmes victimes de violences conjugales, La Samaritaine émet le souhait de travailler en plus étroite collaboration avec celui-ci, estimant que ces deux établissements sont complémentaires.
Une visite des lieux fait suite à la présentation succincte du fonctionnement de l’établissement; l’hygiène et la propreté règnent en maître.
Des bibelots et autres confections artisanales, réalisés par les femmes qui ont un jour transité par le foyer, ornent discrètement murs et plafonds.
Les dix chambres situées à l’étage sont impeccablement tenues. Une chambre dite « d’urgence » au rez-de-chaussée est exclusivement dédiée aux personnes vulnérables.
Les lieux d’aisance sont compartimentés et attribués. Il en est de même dans la laverie.
La sécurité n’est pas en reste ; des alarmes sont installées aux points stratégiques.
L’espace vert est entretenu par les pensionnaires même ; le portique sera remplacé dès qu’un généreux parrain aura été trouvé.
Créée en 1996, et après avoir été locataire ci et là, il est important de souligner que La Samaritaine est propriétaire du bâtiment qu’elle occupe (financé par le contrat de ville) et du foncier (don de l’Evêché).
L’établissement fonctionne toute l’année, de jour comme de nuit, et dispose d’une capacité d’accueil de 30 personnes, femmes et enfants confondus. Pour l’heure, le foyer abrite 10 femmes et 7 enfants.
La durée du séjour varie, selon que les femmes adhèrent au règlement intérieur ou pas ; d’une heure à trois mois, avec possibilité d’une prorogation exceptionnelle.
Demeurer au foyer implique, en effet, que toutes participent activement à la vie en communauté.
L’équipe de choc, composée d’une éducatrice et cinq monitrices, est menée de front par sa très volontaire et dynamique directrice, Mme Tania TUMG.
Bien que se distinguant du centre d’hébergement Pu O Te Hau, dont la mission consiste à accueillir des femmes victimes de violences conjugales, La Samaritaine émet le souhait de travailler en plus étroite collaboration avec celui-ci, estimant que ces deux établissements sont complémentaires.
Une visite des lieux fait suite à la présentation succincte du fonctionnement de l’établissement; l’hygiène et la propreté règnent en maître.
Des bibelots et autres confections artisanales, réalisés par les femmes qui ont un jour transité par le foyer, ornent discrètement murs et plafonds.
Les dix chambres situées à l’étage sont impeccablement tenues. Une chambre dite « d’urgence » au rez-de-chaussée est exclusivement dédiée aux personnes vulnérables.
Les lieux d’aisance sont compartimentés et attribués. Il en est de même dans la laverie.
La sécurité n’est pas en reste ; des alarmes sont installées aux points stratégiques.
L’espace vert est entretenu par les pensionnaires même ; le portique sera remplacé dès qu’un généreux parrain aura été trouvé.