PAPEETE, le 23 janvier 2018. Un meeting politique est organisé mercredi soir à Vaitupa, à Faa'a. Bruno Sandras devrait annoncer qu'il mènera une liste où figureront aussi Teiva Manutahi et Heimana Garbet.
Les futurs candidats aux territoriales comment à s'activer à près d'un mois de la date de clôture des listes pour les élections territoriales.
Mercredi soir, un meeting politique est organisé à 18h30 à Vaitupa, à Faa'a. Ce rassemblement est organisé à l’initiative de plusieurs mouvements et est soutenu notamment par la branche polynésienne de la République en marche.
Selon les informations recueillies par nos confrères de Radio 1, l'ancien maire de Papara Bruno Sandras annoncera qu'il sera tête de liste.
Cette future liste sera par Teiva Manutahi, Heimana Garbet, Natacha Helme et Clarenntz Vernaudon.
Dans un communiqué, la branche polynésienne de la République en marche a présenté en quelques lignes leurs revendications : " Nous voulons en Polynésie un Etat qui soit responsable et pas seulement "accompagnateur". Nous voulons que l'égalité réelle outre-mer puisse aussi s'appliquer ici. Et s'il faut pour cela revoir le statut de la Polynésie française pour mettre en place un partage plus efficace des compétences et des responsabilités entre l'Etat, le Pays et les Communes, alors nous le reverrons."
Les futurs candidats aux territoriales comment à s'activer à près d'un mois de la date de clôture des listes pour les élections territoriales.
Mercredi soir, un meeting politique est organisé à 18h30 à Vaitupa, à Faa'a. Ce rassemblement est organisé à l’initiative de plusieurs mouvements et est soutenu notamment par la branche polynésienne de la République en marche.
Selon les informations recueillies par nos confrères de Radio 1, l'ancien maire de Papara Bruno Sandras annoncera qu'il sera tête de liste.
Cette future liste sera par Teiva Manutahi, Heimana Garbet, Natacha Helme et Clarenntz Vernaudon.
Dans un communiqué, la branche polynésienne de la République en marche a présenté en quelques lignes leurs revendications : " Nous voulons en Polynésie un Etat qui soit responsable et pas seulement "accompagnateur". Nous voulons que l'égalité réelle outre-mer puisse aussi s'appliquer ici. Et s'il faut pour cela revoir le statut de la Polynésie française pour mettre en place un partage plus efficace des compétences et des responsabilités entre l'Etat, le Pays et les Communes, alors nous le reverrons."