PARIS, 29 septembre 2014 (AFP) - Ren Zhengfei, fondateur du géant chinois des télécommunications Huawei, a annoncé lundi un plan d'investissement de 1,5 milliard d'euros en France, selon le site internet du journal Les Echos.
Ren Zhengfei, qui a rencontré le Premier ministre Manuel Valls à Paris lundi matin, a spécifié que ce plan serait essentiellement ciblé sur son activité de smartphones et sur trois ans.
"Ce plan, dont l'élaboration s'est faite en partenariat avec l'AFII (Agence Française pour les Investissements Internationaux), s'articule en deux volets: l'un concerne les achats de la filiale française (environ 472 millions d'euros), l'autre ceux du groupe lui-même (un peu plus d'un milliard d'euros)", selon Les Echos.
Huawei qui cherche à augmenter le nombre de ses fournisseurs européens, travaille déjà avec des grands groupes français, comme STMicro, chez qui il se fournit en composants pour ses smartphones, rappelle Les Echos, en soulignant que Huawei veut intensifier ses relations avec les PME et start-up du secteur en France.
Le géant chinois pense pouvoir créer indirectement 2.000 emplois en France. Il prévoit aussi de multiplier par deux ses propres effectifs en France d'ici à 2018 en embauchant 650 salariés de plus.
Le 12 septembre, le géant chinois avait inauguré son nouveau centre de R&D européen "Chipset et électronique embarquée" à Sophia-Antipolis, à Nice, qui doit passer de 20 à 30 chercheurs.
En région parisienne, Huawei va recruter, outre des mathématiciens, plusieurs dizaines de spécialistes du design, afin que les smartphones de la marque "soient reconnaissables du premier coup d'oeil", avait alors annoncé François Quentin, président de Huawei France.
Fin juillet, Huawei se trouvait au troisième rang mondial pour les ventes de smartphones avec un quasi doublement de ses ventes en un an, à 20,3 millions d'unités, s'adjugeant 6,9% des parts de marché derrière Apple (11,9%) et Samsung (25,2%), tous deux en recul, selon le cabinet IDC.
Le groupe a enregistré un chiffre d'affaires en Europe de 5,2 milliards d'euros en 2013, et prévoit d'y employer au total 13.000 personnes d'ici 2017.
Ren Zhengfei, qui a rencontré le Premier ministre Manuel Valls à Paris lundi matin, a spécifié que ce plan serait essentiellement ciblé sur son activité de smartphones et sur trois ans.
"Ce plan, dont l'élaboration s'est faite en partenariat avec l'AFII (Agence Française pour les Investissements Internationaux), s'articule en deux volets: l'un concerne les achats de la filiale française (environ 472 millions d'euros), l'autre ceux du groupe lui-même (un peu plus d'un milliard d'euros)", selon Les Echos.
Huawei qui cherche à augmenter le nombre de ses fournisseurs européens, travaille déjà avec des grands groupes français, comme STMicro, chez qui il se fournit en composants pour ses smartphones, rappelle Les Echos, en soulignant que Huawei veut intensifier ses relations avec les PME et start-up du secteur en France.
Le géant chinois pense pouvoir créer indirectement 2.000 emplois en France. Il prévoit aussi de multiplier par deux ses propres effectifs en France d'ici à 2018 en embauchant 650 salariés de plus.
Le 12 septembre, le géant chinois avait inauguré son nouveau centre de R&D européen "Chipset et électronique embarquée" à Sophia-Antipolis, à Nice, qui doit passer de 20 à 30 chercheurs.
En région parisienne, Huawei va recruter, outre des mathématiciens, plusieurs dizaines de spécialistes du design, afin que les smartphones de la marque "soient reconnaissables du premier coup d'oeil", avait alors annoncé François Quentin, président de Huawei France.
Fin juillet, Huawei se trouvait au troisième rang mondial pour les ventes de smartphones avec un quasi doublement de ses ventes en un an, à 20,3 millions d'unités, s'adjugeant 6,9% des parts de marché derrière Apple (11,9%) et Samsung (25,2%), tous deux en recul, selon le cabinet IDC.
Le groupe a enregistré un chiffre d'affaires en Europe de 5,2 milliards d'euros en 2013, et prévoit d'y employer au total 13.000 personnes d'ici 2017.
