Le ministre des Ressources marines, des Mines et de la Recherche, Tearii Alpha s’est entretenu vendredi matin à Paris avec le directeur des Sciences de la terre au Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), Michel Diament. Le ministre a exposé la volonté du gouvernement polynésien de créer un pôle d’excellence sur les géosciences et les sciences océanologiques dans notre pays.
« Nous souhaitons positionner la Polynésie française comme une référence internationale dans ce domaine » a indiqué Tearii Alpha au sortir de la réunion. Dans cet esprit, le ministre envisage l’implantation d’une plate-forme internationale de recherche, en partenariat avec le CNRS. Michel Diament a accueilli très favorablement cette proposition et assuré le ministre de leur intérêt à participer à la réalisation de ce projet, dans un espace maritime dynamique et prometteur en potentialités.
Le CNRS : principal organisme de recherche en France
Etablissement public à caractère scientifique et technologique, le CNRS est placé sous la tutelle du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche. Principal organisme de recherche en France, il regroupe près de 34 000 personnes et exerce son activité dans tous les champs de la connaissance, en s’appuyant sur plus de 1100 unités de recherche et de service.
Le CNRS contribue en outre à plus de 70% des publications nationales en sciences de la matière et de la vie, dont plus de la moitié résulte de collaborations avec au moins un laboratoire étranger. L’établissement jouit par ailleurs d’un rayonnement industriel considérable et développe une large coopération internationale.
Construire une « économie bleue innovante »
L’implantation d’une unité mixte internationale avec le réseau du CNRS en Polynésie française – ce serait une première dans l’outre-mer français – constituerait un atout important pour atteindre les objectifs de la politique maritime intégrée de la Polynésie française, qui s’inscrit parfaitement dans les lignes directrices des ambitions de la France dans le bassin océanique du Pacifique.
Le meilleur des savoirs et des expertises dans le domaine océanologique ainsi regroupés dans notre pays, à la vocation maritime considérable, permettrait d’anticiper et de construire à moyen terme une véritable « économie bleue innovante ». Cet axe de développement sera également présenté au ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche en début de semaine.
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« Nous souhaitons positionner la Polynésie française comme une référence internationale dans ce domaine » a indiqué Tearii Alpha au sortir de la réunion. Dans cet esprit, le ministre envisage l’implantation d’une plate-forme internationale de recherche, en partenariat avec le CNRS. Michel Diament a accueilli très favorablement cette proposition et assuré le ministre de leur intérêt à participer à la réalisation de ce projet, dans un espace maritime dynamique et prometteur en potentialités.
Le CNRS : principal organisme de recherche en France
Etablissement public à caractère scientifique et technologique, le CNRS est placé sous la tutelle du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche. Principal organisme de recherche en France, il regroupe près de 34 000 personnes et exerce son activité dans tous les champs de la connaissance, en s’appuyant sur plus de 1100 unités de recherche et de service.
Le CNRS contribue en outre à plus de 70% des publications nationales en sciences de la matière et de la vie, dont plus de la moitié résulte de collaborations avec au moins un laboratoire étranger. L’établissement jouit par ailleurs d’un rayonnement industriel considérable et développe une large coopération internationale.
Construire une « économie bleue innovante »
L’implantation d’une unité mixte internationale avec le réseau du CNRS en Polynésie française – ce serait une première dans l’outre-mer français – constituerait un atout important pour atteindre les objectifs de la politique maritime intégrée de la Polynésie française, qui s’inscrit parfaitement dans les lignes directrices des ambitions de la France dans le bassin océanique du Pacifique.
Le meilleur des savoirs et des expertises dans le domaine océanologique ainsi regroupés dans notre pays, à la vocation maritime considérable, permettrait d’anticiper et de construire à moyen terme une véritable « économie bleue innovante ». Cet axe de développement sera également présenté au ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche en début de semaine.
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