· oui au travail social formé et rémunéré,
· oui à l’exploitation de nos ressources dans les archipels,
· oui à l’accompagnement des petits entrepreneurs,
· oui à la formation-emploi en apprentissage des jeunes
Certains candidats à la députation brandissent le RSA comme la solution pour aider des milliers de polynésiens à remonter la pente de la faillite.
Ils prétendent relancer l’économie en relançant la consommation.
Mais le Fenua ne souffre pas d’un manque de consommation mais plutôt d’une consommation désordonnée et peu protégée qui appauvrit les plus vulnérables d’entre nous.
Pour sortir de la crise, nous devons faire de vrais investissements sur le travail, la formation, la création d’emplois.
Ayant été élue d’un département pilote pour la mise en place du RSA, je sais que ce dispositif est très coûteux à mettre en place, qu’il ne vise qu’à corriger de manière insatisfaisante le RMI, (revenu minimum d’insertion), en grande partie responsable du déficit de la sécurité sociale et de l’assistanat en métropole. Ce mal qui fait que beaucoup gagnent à ne pas travailler et à vivre des dispositifs sociaux.
Autrement dit, ceux qui veulent mettre en place le RSA risquent de nous faire prendre 10 ans de retard supplémentaires sur l’urgence de notre développement.
Députée, je m’engage à soutenir plutôt un plan de relance polynésien auprès des instances dirigeantes de la France et de la communauté européenne.
Je suis convaincue que c’est en exploitant nos richesses, en aidant les polynésiens à devenir producteurs, en obtenant des fonds européens pour des projets de développements structurants, que nous aiderons des milliers de familles à sortir de la faillite.
Députée, je me battrai pour :
- Mettre en place un vrai plan d’aménagement du territoire pour exploiter et transformer nos ressources propres dans les archipels (Coprah carburant, pêche, agriculture bio, tourisme…)
- Mettre en place un projet de rénovation urbaine en éco-construction (Jean Louis Borloo, Président du Parti Radical qui m’a investie, est le fondateur de l’ANRU qui a rénové 400 quartiers en France soit amélioré le quotidien de 4 millions de français)
- Former, rémunérer des travailleurs sociaux de terrain pour la prévention sociale, la vie associative, la garde d’enfants, de personnes handicapées et âgées. (récupérer l’engagement de l’Etat de 2 milliards de FCP par an arrêté en 2007 sur « oubli » du territoire)
- Accroitre les moyens de l’Adie pour qu’elle puisse accompagner et financer 2 fois plus de petits chefs d’entreprises (Plus de 200 financés en 2011)
- Développer la formation en apprentissage notamment dans les métiers de la mer, de l’agriculture et les métiers manuels pour que nos jeunes trouvent plus facilement un emploi (Appel à projets des formations en apprentissage de la Caisse des dépôts et consignations, 500 millions d’euros jusqu’en 2014)
- Doubler les places en GSMA (Obtenir 400 places) et assurer une 2ème année en formation en apprentissage qualifiante pour les 400 jeunes qui sortiront du GSMA chaque année. (Appel à projet de la CDC)
· oui à l’exploitation de nos ressources dans les archipels,
· oui à l’accompagnement des petits entrepreneurs,
· oui à la formation-emploi en apprentissage des jeunes
Certains candidats à la députation brandissent le RSA comme la solution pour aider des milliers de polynésiens à remonter la pente de la faillite.
Ils prétendent relancer l’économie en relançant la consommation.
Mais le Fenua ne souffre pas d’un manque de consommation mais plutôt d’une consommation désordonnée et peu protégée qui appauvrit les plus vulnérables d’entre nous.
Pour sortir de la crise, nous devons faire de vrais investissements sur le travail, la formation, la création d’emplois.
Ayant été élue d’un département pilote pour la mise en place du RSA, je sais que ce dispositif est très coûteux à mettre en place, qu’il ne vise qu’à corriger de manière insatisfaisante le RMI, (revenu minimum d’insertion), en grande partie responsable du déficit de la sécurité sociale et de l’assistanat en métropole. Ce mal qui fait que beaucoup gagnent à ne pas travailler et à vivre des dispositifs sociaux.
Autrement dit, ceux qui veulent mettre en place le RSA risquent de nous faire prendre 10 ans de retard supplémentaires sur l’urgence de notre développement.
Députée, je m’engage à soutenir plutôt un plan de relance polynésien auprès des instances dirigeantes de la France et de la communauté européenne.
Je suis convaincue que c’est en exploitant nos richesses, en aidant les polynésiens à devenir producteurs, en obtenant des fonds européens pour des projets de développements structurants, que nous aiderons des milliers de familles à sortir de la faillite.
Députée, je me battrai pour :
- Mettre en place un vrai plan d’aménagement du territoire pour exploiter et transformer nos ressources propres dans les archipels (Coprah carburant, pêche, agriculture bio, tourisme…)
- Mettre en place un projet de rénovation urbaine en éco-construction (Jean Louis Borloo, Président du Parti Radical qui m’a investie, est le fondateur de l’ANRU qui a rénové 400 quartiers en France soit amélioré le quotidien de 4 millions de français)
- Former, rémunérer des travailleurs sociaux de terrain pour la prévention sociale, la vie associative, la garde d’enfants, de personnes handicapées et âgées. (récupérer l’engagement de l’Etat de 2 milliards de FCP par an arrêté en 2007 sur « oubli » du territoire)
- Accroitre les moyens de l’Adie pour qu’elle puisse accompagner et financer 2 fois plus de petits chefs d’entreprises (Plus de 200 financés en 2011)
- Développer la formation en apprentissage notamment dans les métiers de la mer, de l’agriculture et les métiers manuels pour que nos jeunes trouvent plus facilement un emploi (Appel à projets des formations en apprentissage de la Caisse des dépôts et consignations, 500 millions d’euros jusqu’en 2014)
- Doubler les places en GSMA (Obtenir 400 places) et assurer une 2ème année en formation en apprentissage qualifiante pour les 400 jeunes qui sortiront du GSMA chaque année. (Appel à projet de la CDC)