Vers 9h30 du matin;
Le collectif te tau No te hau qui se mobilise contre la hausse du carburant n'a pas réussi à réunir la foule espérée ce samedi 11 août. " C'est Samedi", "il fait un grand soleil", "il y a un rendez-vous sportif important à la TV à 11 heures avec les JO", les raisons sont nombreuses pour expliquer le manque de mobilisation, tente de nous expliquer un membre du collectif. " Beaucoup de gens nous ont dit qu'ils nous soutenaient, qu'ils étaient de tout coeur avec nous, mais qu'ils ne pouvaient pas venir", continue-t-il encore. Toujours est-il que vers 10 heures du matin, une centaine de personnes seulement avaient rejoint la place Tarahoi.
Un peu plus tard, pour la marche, on atteignait péniblement les 1000 personnes.
Si les revendications contre la vie chère peuvent paraître légitimes, cette fois, le collectif n'a pas réussi à mobiliser le grand public. Les syndicats ni les politiques n'ont souhaité rejoindre le mouvement...trop de disparités, des motivations dispersées et parfois très différentes, peut-être, au sein même du groupe. La mise en examen récente du leader Franck Tehaamatai aura également joué en défaveur de la démarche, lui faisant perdre probablement une partie de sa crédibilité.
De nombreux facteurs auront donc pénalisé cette réunion, mais les organisateurs ne baissent pas les bras et veulent continuer leur combat, obtenir une révision du coût des carburants.
Un peu plus tard, pour la marche, on atteignait péniblement les 1000 personnes.
Si les revendications contre la vie chère peuvent paraître légitimes, cette fois, le collectif n'a pas réussi à mobiliser le grand public. Les syndicats ni les politiques n'ont souhaité rejoindre le mouvement...trop de disparités, des motivations dispersées et parfois très différentes, peut-être, au sein même du groupe. La mise en examen récente du leader Franck Tehaamatai aura également joué en défaveur de la démarche, lui faisant perdre probablement une partie de sa crédibilité.
De nombreux facteurs auront donc pénalisé cette réunion, mais les organisateurs ne baissent pas les bras et veulent continuer leur combat, obtenir une révision du coût des carburants.
10h30