Le marae Taputapuātea était un centre politique et religieux dans le monde polynésiens avant l'arrivée des européens
PAPEETE, 20 mai 2015 - Un dossier sera présenté en juin prochain à la Commission des biens français en vue d’une labellisation par l’Unesco, dès janvier 2016, du marae Taputapuātea dans la catégorie Paysages culturels uniques.
Le Comité de pilotage des dossiers Unesco de la Polynésie française du 26 novembre 2014 a décidé de saisir l’opportunité proposée par les instances françaises de présenter le dossier de candidature au Patrimoine Mondial du site de Taputapuātea en janvier 2016. Une soutenance préalable du dossier de candidature devra être faite devant le Comité des biens français, le 23 juin prochain à Paris.
Une demande de labellisation pourrait être soumise ensuite dès janvier 2016 à L’Unesco, dans la catégorie Paysages culturels uniques. "La Polynésie serait le premier pays à avoir un site labellisé dans cette catégorie", a souligné mercredi Heremoana Maamaatuaiahutapu, le ministre de la Culture et du Patrimoine. "Un tel classement permettra d’accroître un peu plus notre visibilité au plan international", assure-t-il aussi en estimant que ce référencement à l’Unesco est susceptible de générer une augmentation de 30% du flux de visiteurs du site.
Le dossier de classement de certains sites de l’archipel des Marquises ne devrait pas faire l’objet d’une présentation à l’Unesco avant 2022.
Le Comité de pilotage des dossiers Unesco de la Polynésie française du 26 novembre 2014 a décidé de saisir l’opportunité proposée par les instances françaises de présenter le dossier de candidature au Patrimoine Mondial du site de Taputapuātea en janvier 2016. Une soutenance préalable du dossier de candidature devra être faite devant le Comité des biens français, le 23 juin prochain à Paris.
Une demande de labellisation pourrait être soumise ensuite dès janvier 2016 à L’Unesco, dans la catégorie Paysages culturels uniques. "La Polynésie serait le premier pays à avoir un site labellisé dans cette catégorie", a souligné mercredi Heremoana Maamaatuaiahutapu, le ministre de la Culture et du Patrimoine. "Un tel classement permettra d’accroître un peu plus notre visibilité au plan international", assure-t-il aussi en estimant que ce référencement à l’Unesco est susceptible de générer une augmentation de 30% du flux de visiteurs du site.
Le dossier de classement de certains sites de l’archipel des Marquises ne devrait pas faire l’objet d’une présentation à l’Unesco avant 2022.
