PAPEETE, le 4 juillet 2019 - « Paripari Fenua », c’est le thème qu’a retenu la troupe de Tamari’i Teahupo’o pour sa participation au Heiva i Tahiti 2019, dans la catégorie « tārava tahiti ». Plusieurs sites historiques de la Presqu’île seront ainsi mis en avant, tels que la grotte de Vai Poiri, le marie Matahihae ou encore la passe de Vai’au. Le groupe sera conduit par Tematuanui Raveino.
Trois ans plus tard, Tamari’i Teahupo’o revient sur la scène de To’atā, dans la catégorie « tārava tahiti ».
Cette année, la troupe fera l’éloge de la Presqu’île, et de ses sites historiques, tels que les montagnes de Roniu ou Matotea, les pointes de Fare Nui Ātea ou Tiria, ou encore la grotte de Vai Poiri. Des endroits qui ne sont pas forcément connus de tous. « Normalement un paripari, c’est comme un chant qu’on est en train de louer pour citer tous les endroits de Teahupoo, tous les quartiers, les rivières, les passes, les montagnes. Tout cela se situe dans le tārava, le rū’au et le ‘ūtē. On intègre tous ces noms et la plupart des lieux cités se trouvent au Fenua ‘aihere. On a, en même temps, intégré quelques personnes qui faisaient partie des histoires de Teahupoo d’antan, comme Patea, le père de Tirioto, Viritua amant de Tirioto, enrôlé par le roi pour être son esclave et enfin Paìtu, descendant de la famille du Guerrier Vehiatua i te mataì », raconte Evelyne Whitman, auteur de la troupe.
Autre point intéressant de la troupe, la jeunesse qui s’intéresse réellement aux hīmene, « puisque c’est un groupe issu de la paroisse de Teahupoo, nous avons décidé de mettre en valeur la jeunesse de notre commune. Il faut dire que c’est la jeunesse, l’avenir de demain », indique Evelyne Whitman.
« Paripari Fenua » ou l’éloge de la terre, Teahupoo nous invitera ce soir à mieux connaitre ce petit bout de Tahiti qui essaye tant bien que mal à conserver son authenticité.
Trois ans plus tard, Tamari’i Teahupo’o revient sur la scène de To’atā, dans la catégorie « tārava tahiti ».
Cette année, la troupe fera l’éloge de la Presqu’île, et de ses sites historiques, tels que les montagnes de Roniu ou Matotea, les pointes de Fare Nui Ātea ou Tiria, ou encore la grotte de Vai Poiri. Des endroits qui ne sont pas forcément connus de tous. « Normalement un paripari, c’est comme un chant qu’on est en train de louer pour citer tous les endroits de Teahupoo, tous les quartiers, les rivières, les passes, les montagnes. Tout cela se situe dans le tārava, le rū’au et le ‘ūtē. On intègre tous ces noms et la plupart des lieux cités se trouvent au Fenua ‘aihere. On a, en même temps, intégré quelques personnes qui faisaient partie des histoires de Teahupoo d’antan, comme Patea, le père de Tirioto, Viritua amant de Tirioto, enrôlé par le roi pour être son esclave et enfin Paìtu, descendant de la famille du Guerrier Vehiatua i te mataì », raconte Evelyne Whitman, auteur de la troupe.
Autre point intéressant de la troupe, la jeunesse qui s’intéresse réellement aux hīmene, « puisque c’est un groupe issu de la paroisse de Teahupoo, nous avons décidé de mettre en valeur la jeunesse de notre commune. Il faut dire que c’est la jeunesse, l’avenir de demain », indique Evelyne Whitman.
« Paripari Fenua » ou l’éloge de la terre, Teahupoo nous invitera ce soir à mieux connaitre ce petit bout de Tahiti qui essaye tant bien que mal à conserver son authenticité.