Le thon pêché dans les eaux de la Polynésie Française est sain et de bonne qualité :
- les analyses régulières montrent qu’il présente une teneur en méthylmercure inférieure aux normes admises internationalement. (Une teneur élevée de méthylmercure dans le sang du fœtus et des enfants en bas âge peut induire des troubles du développement . Rappelons aussi que le poisson du large n’est pas la seule source alimentaire contenant du méthylmercure mais qu’il en est une source principale en Polynésie française) ;
- les produits de la mer apportent des éléments essentiels au bon développement du fœtus et de l’enfant, tels le sélénium, l’iode et les acides gras polyinsaturés.
Cependant, compte tenu de la forte consommation de poisson en Polynésie, il convient de rappeler les règles de prudence recommandées par l’Agence Nationale de Sécurité Sanitaire de l’Alimentation, de l’Environnement et du Travail (ANSES) et de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), s’appliquant aux femmes enceintes ou allaitantes, et aux enfants de moins de 30 mois :
- ne pas consommer les grands prédateurs du large tels que requins, marlins, espadons, saumons des dieux et grands thazards ;
- limiter la consommation de thon et de bonite à 150 g par semaine pour les femmes enceintes ou allaitantes, et à 60 g par semaine pour les enfants de moins de 30 mois ;
- continuer à consommer d’autres produits de la mer.
Le Ministère de la Santé et de l’Ecologie prévoit, en 2011, le financement d’études complémentaires pour approfondir les connaissances des effets du méthylmercure sur la santé humaine. Ces études seront menées par l’Institut Louis Malardé.
* Communiqué à l’initiative du Ministère de la Santé et de l’Ecologie, du Ministère des Ressources Maritimes, de l’Institut Louis Malardé et de l’Association Te Tia Ara
- les analyses régulières montrent qu’il présente une teneur en méthylmercure inférieure aux normes admises internationalement. (Une teneur élevée de méthylmercure dans le sang du fœtus et des enfants en bas âge peut induire des troubles du développement . Rappelons aussi que le poisson du large n’est pas la seule source alimentaire contenant du méthylmercure mais qu’il en est une source principale en Polynésie française) ;
- les produits de la mer apportent des éléments essentiels au bon développement du fœtus et de l’enfant, tels le sélénium, l’iode et les acides gras polyinsaturés.
Cependant, compte tenu de la forte consommation de poisson en Polynésie, il convient de rappeler les règles de prudence recommandées par l’Agence Nationale de Sécurité Sanitaire de l’Alimentation, de l’Environnement et du Travail (ANSES) et de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), s’appliquant aux femmes enceintes ou allaitantes, et aux enfants de moins de 30 mois :
- ne pas consommer les grands prédateurs du large tels que requins, marlins, espadons, saumons des dieux et grands thazards ;
- limiter la consommation de thon et de bonite à 150 g par semaine pour les femmes enceintes ou allaitantes, et à 60 g par semaine pour les enfants de moins de 30 mois ;
- continuer à consommer d’autres produits de la mer.
Le Ministère de la Santé et de l’Ecologie prévoit, en 2011, le financement d’études complémentaires pour approfondir les connaissances des effets du méthylmercure sur la santé humaine. Ces études seront menées par l’Institut Louis Malardé.
* Communiqué à l’initiative du Ministère de la Santé et de l’Ecologie, du Ministère des Ressources Maritimes, de l’Institut Louis Malardé et de l’Association Te Tia Ara
