Nations unies, Etats-Unis | AFP | mardi 11/04/2017 - La France maintient sa demande pour l'adoption par le Conseil de sécurité d'une résolution réclamant une enquête sur l'attaque chimique imputée au régime syrien, malgré l'échec des négociations la semaine dernière, a déclaré mardi son ambassadeur à l'ONU.
Le Conseil de sécurité a examiné la semaine dernière trois projets de résolution sans jamais passer au vote, en réponse à l'attaque chimique présumée contre la localité syrienne de Khan Cheikhoun, en zone rebelle.
"Nous ne pouvons pas abandonner et nous devons essayer, de bonne foi, le mieux possible, d'avoir un texte condamnant l'attaque, et demandant une enquête approfondie", a déclaré François Delattre aux journalistes.
La France s'était jointe aux Etats-Unis et au Royaume-Uni pour demander une enquête complète sur ces faits, mais le projet de résolution s'est heurté à la menace d'un veto de la Russie.
Selon François Delattre, la France recherche maintenant "un bon texte et un bon vote".
Paris, Londres et Washington ont accusé les forces du président Bachar al-Assad d'avoir mené cette attaque le 4 avril qui a fait au moins 87 morts, dont 31 enfants.
Le Conseil de sécurité débattait encore de la réponse à donner quand les Etats-Unis ont ordonné, le 6 avril, une frappe de missiles Tomahawk sur une base aérienne de l'armée syrienne, d'où l'administration américaine affirme que l'attaques chimique a été lancée.
"Il est très important qu'il y ait une enquête complète afin que tout le monde sache, que le monde entier sache, comment ces horribles attaques chimiques se sont produites et d'où elles proviennent", a ajouté François Delattre.
Le président russe Vladimir Poutine a également appelé à une enquête approfondie par l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC) et a suggéré que le président syrien était la cible de fausses accusations.
Le ministre turc de la Santé a confirmé que les tests post-mortem sur les victimes ont montré qu'elles ont succombé à une exposition à du gaz sarin, un puissant agent neurotoxique.
Le Conseil de sécurité a examiné la semaine dernière trois projets de résolution sans jamais passer au vote, en réponse à l'attaque chimique présumée contre la localité syrienne de Khan Cheikhoun, en zone rebelle.
"Nous ne pouvons pas abandonner et nous devons essayer, de bonne foi, le mieux possible, d'avoir un texte condamnant l'attaque, et demandant une enquête approfondie", a déclaré François Delattre aux journalistes.
La France s'était jointe aux Etats-Unis et au Royaume-Uni pour demander une enquête complète sur ces faits, mais le projet de résolution s'est heurté à la menace d'un veto de la Russie.
Selon François Delattre, la France recherche maintenant "un bon texte et un bon vote".
Paris, Londres et Washington ont accusé les forces du président Bachar al-Assad d'avoir mené cette attaque le 4 avril qui a fait au moins 87 morts, dont 31 enfants.
Le Conseil de sécurité débattait encore de la réponse à donner quand les Etats-Unis ont ordonné, le 6 avril, une frappe de missiles Tomahawk sur une base aérienne de l'armée syrienne, d'où l'administration américaine affirme que l'attaques chimique a été lancée.
"Il est très important qu'il y ait une enquête complète afin que tout le monde sache, que le monde entier sache, comment ces horribles attaques chimiques se sont produites et d'où elles proviennent", a ajouté François Delattre.
Le président russe Vladimir Poutine a également appelé à une enquête approfondie par l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC) et a suggéré que le président syrien était la cible de fausses accusations.
Le ministre turc de la Santé a confirmé que les tests post-mortem sur les victimes ont montré qu'elles ont succombé à une exposition à du gaz sarin, un puissant agent neurotoxique.