Les championnats du monde de surf, organisés par l’Association internationale du surf (ISA) en collaboration avec la fédération française de surf, ont débuté samedi à Biarritz.
Ces championnats du monde amateurs annuels ont une importance particulière puisque c’est la première fois qu’ils se déroulent depuis l’annonce de l’inclusion du surf parmi les disciplines présentes aux prochains Jeux Olympiques de Tokyo 2020. Quatre titres sont en jeu, deux en individuel et deux par équipe.
A l’issue de la compétition féminine, Karelle Poppke a pu terminer à la 9e place, Marion Philippe à la 33e. Les conditions de surf ont été difficiles, la houle était au rendez-vous mais elle était accompagnée d’un vent fort qui a rendu le spot de la Grande Plage difficile à surfer, notamment au niveau du placement.
Du côté des hommes, on notera la présence de l’excellent O’neil Massin, celle d’Ariihoe Tefaafana ou encore celle du vétéran toujours en forme Hira Teriinatoofa. Ariihoe Tefaafana et Hira Teriinatoofa sont tous deux sortis victorieux de leur série grâce à un total respectif de 9.34 et 11.66. O’Neil n’est pas encore passé.
Ces championnats du monde amateurs annuels ont une importance particulière puisque c’est la première fois qu’ils se déroulent depuis l’annonce de l’inclusion du surf parmi les disciplines présentes aux prochains Jeux Olympiques de Tokyo 2020. Quatre titres sont en jeu, deux en individuel et deux par équipe.
A l’issue de la compétition féminine, Karelle Poppke a pu terminer à la 9e place, Marion Philippe à la 33e. Les conditions de surf ont été difficiles, la houle était au rendez-vous mais elle était accompagnée d’un vent fort qui a rendu le spot de la Grande Plage difficile à surfer, notamment au niveau du placement.
Du côté des hommes, on notera la présence de l’excellent O’neil Massin, celle d’Ariihoe Tefaafana ou encore celle du vétéran toujours en forme Hira Teriinatoofa. Ariihoe Tefaafana et Hira Teriinatoofa sont tous deux sortis victorieux de leur série grâce à un total respectif de 9.34 et 11.66. O’Neil n’est pas encore passé.
Michel Bourez absent, Jérémy Florès présent
On avait espéré un temps la présence de Michel Bourez, il ne figure pas dans la liste des engagés d’un round 1 exceptionnel dans l’histoire du surf de compétition, puisqu’il comporte pas moins de 44 séries.
On notera par contre la présence de Jérémy Florès aux côtés de Vincent Duvignac dans l’équipe de France, le surfeur pro réunionnais est même le porte étendard de l’équipe nationale. Nos surfeurs évoluant en WQS O’Neil Massin et Ariihoe Tefaafana sont eux au sein d’une équipe « Tahiti », ce qui n’est pas sans soulever certaines questions, notamment par rapport au Jeux Olympiques de Tokyo 2020.
On relève par ailleurs de nombreuses critiques sur la toile par rapport à l’absence des vraies pointures du sport, à savoir les surfeurs du Top 34 de la World Surf League qui sont quasiment tous absents, sauf Jérémy Florès et Wiggolly Dantas. Certains déploreraient un accord de la World Surf League avec l’ISA finalement non suivi de la réelle participation des surfeurs du Top 34.
D’autres critiquent au contraire la présence des quelques pros dans cette compétition pour amateurs.
La compétition reste un moment historique dans l’histoire du surf de compétition avec plus de 200 participants et presqu’une cinquantaine de pays présents, dont certains plutôt inattendus comme l’Afghanistan, la Russie, la Suède, le Sénégal ou la Corée. Ces championnats ont débuté par une cérémonie du mélange des sables émouvante, nos Tahitiens ayant emmené avec eux du sable de Taharu’u. SB
On avait espéré un temps la présence de Michel Bourez, il ne figure pas dans la liste des engagés d’un round 1 exceptionnel dans l’histoire du surf de compétition, puisqu’il comporte pas moins de 44 séries.
On notera par contre la présence de Jérémy Florès aux côtés de Vincent Duvignac dans l’équipe de France, le surfeur pro réunionnais est même le porte étendard de l’équipe nationale. Nos surfeurs évoluant en WQS O’Neil Massin et Ariihoe Tefaafana sont eux au sein d’une équipe « Tahiti », ce qui n’est pas sans soulever certaines questions, notamment par rapport au Jeux Olympiques de Tokyo 2020.
On relève par ailleurs de nombreuses critiques sur la toile par rapport à l’absence des vraies pointures du sport, à savoir les surfeurs du Top 34 de la World Surf League qui sont quasiment tous absents, sauf Jérémy Florès et Wiggolly Dantas. Certains déploreraient un accord de la World Surf League avec l’ISA finalement non suivi de la réelle participation des surfeurs du Top 34.
D’autres critiquent au contraire la présence des quelques pros dans cette compétition pour amateurs.
La compétition reste un moment historique dans l’histoire du surf de compétition avec plus de 200 participants et presqu’une cinquantaine de pays présents, dont certains plutôt inattendus comme l’Afghanistan, la Russie, la Suède, le Sénégal ou la Corée. Ces championnats ont débuté par une cérémonie du mélange des sables émouvante, nos Tahitiens ayant emmené avec eux du sable de Taharu’u. SB