Un Quiksilver Pro en demi-teinte
La 2e étape du championnat du monde, qui en compte 11, a débuté en Australie sur la spot de Bell’s Beach, une longue droite un peu molle qui n’a jamais bien réussi à notre Spartan Michel Bourez. Il a pu cette fois-ci bien démarrer la compétition puisqu’il s’est brillamment qualifié pour le round 4, une round non éliminatoire. Il obtiendra au minimum une 9e place à l’issue de la compétition.
Michel Bourez avait débuté la saison avec un résultat mitigé lors de la première étape. Il avait pu remporté sa série du round 1 lors du Quiksilver Pro se déroulant sur la Gold Coast australienne, ce qui lui avait permis de se qualifier pour le round 3 directement. Malheureusement pour lui et ses fans, il s’était fait sortir au round 3 par John John Florence, un round toujours délicat à négocier se jouant en élimination directe un-contre-un.
Michel Bourez a donc débuté la 2e étape australienne du World Tour à la 13e place du classement mondial.
La 2e étape du championnat du monde, qui en compte 11, a débuté en Australie sur la spot de Bell’s Beach, une longue droite un peu molle qui n’a jamais bien réussi à notre Spartan Michel Bourez. Il a pu cette fois-ci bien démarrer la compétition puisqu’il s’est brillamment qualifié pour le round 4, une round non éliminatoire. Il obtiendra au minimum une 9e place à l’issue de la compétition.
Michel Bourez avait débuté la saison avec un résultat mitigé lors de la première étape. Il avait pu remporté sa série du round 1 lors du Quiksilver Pro se déroulant sur la Gold Coast australienne, ce qui lui avait permis de se qualifier pour le round 3 directement. Malheureusement pour lui et ses fans, il s’était fait sortir au round 3 par John John Florence, un round toujours délicat à négocier se jouant en élimination directe un-contre-un.
Michel Bourez a donc débuté la 2e étape australienne du World Tour à la 13e place du classement mondial.
Bell’s Beach ne lui a jamais vraiment réussi
Lors de cette deuxième étape, il ne gagne pas sa série du round 1, terminant 3e avec 9.00 derrière Adriano De Souza 11.23 et Tim Stevenson 10.60. Il passe en repêchage contre Keanu Asing, le rookie Hawaiien qui l’avait éliminé l’année dernière au même stade. Cette fois-ci, il prend sa revanche de très belle manière puisqu’il obtient un 9.50 qui, couplé avec une vague notée 7.27, lui permet d’obtenir un total de 16.77 contre 13 .23 pour le Hawaiien, qui sort de la compétition.
Il accède ainsi au round 3 mais se retrouve face à Kelly Slater, qui a fait un résultat moyen lors de la première étape et qui doit, lui aussi, montrer qu’il est bien là. Michel Bourez, qui surfe dos à la vague, réussit de bons rollers et des cut backs radicaux, il obtient un 8.00. Kelly Slater parvient à reprendre l’avantage avec la manière puisqu’il obtient la meilleure note de la série, un 8.37 obtenu grâce à des rollers front side impressionnants.
Le 8.37 de Kelly est couplé avec un 5.33 ce qui lui donne l’avantage mais Michel va réussir, dans les dernières minutes de la série, à obtenir une vague notée 6.83 qui lui permet de reprendre la tête et de s’imposer 14.83 contre 13.70. C’est le soulagement. Kelly Slater, n’est pas content car, malgré son âge, la forme est là mais l’océan, comme en 2015, semble être contre lui.
Lors de cette deuxième étape, il ne gagne pas sa série du round 1, terminant 3e avec 9.00 derrière Adriano De Souza 11.23 et Tim Stevenson 10.60. Il passe en repêchage contre Keanu Asing, le rookie Hawaiien qui l’avait éliminé l’année dernière au même stade. Cette fois-ci, il prend sa revanche de très belle manière puisqu’il obtient un 9.50 qui, couplé avec une vague notée 7.27, lui permet d’obtenir un total de 16.77 contre 13 .23 pour le Hawaiien, qui sort de la compétition.
Il accède ainsi au round 3 mais se retrouve face à Kelly Slater, qui a fait un résultat moyen lors de la première étape et qui doit, lui aussi, montrer qu’il est bien là. Michel Bourez, qui surfe dos à la vague, réussit de bons rollers et des cut backs radicaux, il obtient un 8.00. Kelly Slater parvient à reprendre l’avantage avec la manière puisqu’il obtient la meilleure note de la série, un 8.37 obtenu grâce à des rollers front side impressionnants.
Le 8.37 de Kelly est couplé avec un 5.33 ce qui lui donne l’avantage mais Michel va réussir, dans les dernières minutes de la série, à obtenir une vague notée 6.83 qui lui permet de reprendre la tête et de s’imposer 14.83 contre 13.70. C’est le soulagement. Kelly Slater, n’est pas content car, malgré son âge, la forme est là mais l’océan, comme en 2015, semble être contre lui.
Une victoire méritée
Notre Spartan en tous cas, obtient une victoire amplement méritée. Il se retrouvera au round 4 contre le rookie Brésilien Caio Ibelli, qui a éliminé de justesse au round 3 John John Florence, et Davey Cathels, un nouveau sur le World Tour.
Le round 3 a été synonyme de défaite pour plusieurs surfeurs au dessus de Michel Bourez au classement, ce qui est bon pour lui : Adriano De Souza, éliminé par Mason Ho, Joel Parkinson éliminé par Connor Coffin, Gabriel Medina éliminé par Davey Cathels ou encore John John Florence et Kelly Slater.
Seul le vice-champion du monde 2015 Mick Fanning semble être au top de sa forme, lui qui avait annoncé ne vouloir participer qu’à quelques épreuves en 2016, suite à une année 2015 trop riche en émotions avec l’attaque de requin blanc dont il a été victime et le décès de son frère en fin d’année pendant le Pipeline Master. Matt Wilkinson semble également décidé à passer à la vitesse supérieure cette année. SB
Notre Spartan en tous cas, obtient une victoire amplement méritée. Il se retrouvera au round 4 contre le rookie Brésilien Caio Ibelli, qui a éliminé de justesse au round 3 John John Florence, et Davey Cathels, un nouveau sur le World Tour.
Le round 3 a été synonyme de défaite pour plusieurs surfeurs au dessus de Michel Bourez au classement, ce qui est bon pour lui : Adriano De Souza, éliminé par Mason Ho, Joel Parkinson éliminé par Connor Coffin, Gabriel Medina éliminé par Davey Cathels ou encore John John Florence et Kelly Slater.
Seul le vice-champion du monde 2015 Mick Fanning semble être au top de sa forme, lui qui avait annoncé ne vouloir participer qu’à quelques épreuves en 2016, suite à une année 2015 trop riche en émotions avec l’attaque de requin blanc dont il a été victime et le décès de son frère en fin d’année pendant le Pipeline Master. Matt Wilkinson semble également décidé à passer à la vitesse supérieure cette année. SB