La 2e épreuve du championnat du monde de surf qui en compte 11, a repris ce jeudi 31 mars après trois jours d’attente. Michel Bourez, rappelons-le, a terminé l’année 2015 à la 21e place suite à une année compliquée marquée par plusieurs blessures. Il avait à cœur de réaffirmer sa place dans le top 10 de ce championnat du monde qu’il avait terminé à la 5e place en 2014.
Il a démarré 2016 par une 13e place à l’issue du Quiksilver Pro. Après une victoire de série, il avait du s’incliner au round 3 face à John John Florence, un des meilleurs surfeurs actuellement. Michel devait donc monter d’un cran ses résultats pour espérer réintégrer le top 10. Il surfe en « front side » à Bell’s beach, c’est à dire face à la vague.
Il a démarré le round 1 sans remporter sa série et a du passer par le round 2 de repêchages pour se qualifier pour le round 3. Lors du round 3, il a pu sortir Kelly Slater le multiple champion du monde de 44 ans pourtant en forme puisqu’il va scorer la meilleure vague de la série, un 8.37. Michel s’imposera grâce à un total sur deux vagues de 14.83 contre 13.70 pour Kelly Slater.
Il a démarré 2016 par une 13e place à l’issue du Quiksilver Pro. Après une victoire de série, il avait du s’incliner au round 3 face à John John Florence, un des meilleurs surfeurs actuellement. Michel devait donc monter d’un cran ses résultats pour espérer réintégrer le top 10. Il surfe en « front side » à Bell’s beach, c’est à dire face à la vague.
Il a démarré le round 1 sans remporter sa série et a du passer par le round 2 de repêchages pour se qualifier pour le round 3. Lors du round 3, il a pu sortir Kelly Slater le multiple champion du monde de 44 ans pourtant en forme puisqu’il va scorer la meilleure vague de la série, un 8.37. Michel s’imposera grâce à un total sur deux vagues de 14.83 contre 13.70 pour Kelly Slater.
Après trois jours d’attente, la compétition a repris ce jeudi matin sur un spot « glassy », proposant de belles vagues d’environ deux mètres. Michel Bourez, qui a ce stade était assuré d’une 9e place, était confronté à deux « rookies », deux nouveaux sur le tour : le Brésilien Caio Ibelli, tombeur de John John Florence au round 3 et Davey Cathels qui a pu éliminer le champion du monde 2014 Gabriel Medina au round 3.
Lors de cette série de 30 minutes, c’est Michel Bourez qui va prendre la première vague, notée 4.83 grâce à un bon roller radical suivi d’une prise de vitesse puis d’un « off the lip » parfaitement exécuté. Davey Cathels va ensuite prendre la tête de la série grâce à une vague notée 6.00 puis c’est au tour de Caio Ibelli, qui surfe face à la vague, d’attaquer avec force la lèvre de Bell’s Beach, obtenant une excellente note, un 8.00 sur 10.
Alors que nous sommes à la moitié du temps règlementaire, Michel Bourez va s’élancer sur une belle vague de deux mètres environ. La vague sera grosse mais moins tubulaire que la précédente et sera donc difficile à négocier. Avec un « timing » parfait, Michel va placer plusieurs « rollers » radicaux dont un très haut sur la lèvre de la vague.
Il obtient ainsi une note de 8.53 qui restera la meilleure note de la série. Le spot se montrera capricieux puisqu’aucune vague correcte ne sera prise par les deux adversaires de Michel, il se qualifie directement pour les quarts de finale avec un total de 13.36 sur 20 contre 8.00 pour Caio Ibelli qui n’a pris qu’une seule vague et 6.43 pour Davey Cathels qui est dans le même cas. Il envoie ses deux adversaires vers le round 5 de repêchages.
Lors de cette série de 30 minutes, c’est Michel Bourez qui va prendre la première vague, notée 4.83 grâce à un bon roller radical suivi d’une prise de vitesse puis d’un « off the lip » parfaitement exécuté. Davey Cathels va ensuite prendre la tête de la série grâce à une vague notée 6.00 puis c’est au tour de Caio Ibelli, qui surfe face à la vague, d’attaquer avec force la lèvre de Bell’s Beach, obtenant une excellente note, un 8.00 sur 10.
Alors que nous sommes à la moitié du temps règlementaire, Michel Bourez va s’élancer sur une belle vague de deux mètres environ. La vague sera grosse mais moins tubulaire que la précédente et sera donc difficile à négocier. Avec un « timing » parfait, Michel va placer plusieurs « rollers » radicaux dont un très haut sur la lèvre de la vague.
Il obtient ainsi une note de 8.53 qui restera la meilleure note de la série. Le spot se montrera capricieux puisqu’aucune vague correcte ne sera prise par les deux adversaires de Michel, il se qualifie directement pour les quarts de finale avec un total de 13.36 sur 20 contre 8.00 pour Caio Ibelli qui n’a pris qu’une seule vague et 6.43 pour Davey Cathels qui est dans le même cas. Il envoie ses deux adversaires vers le round 5 de repêchages.