Sydney, AUSTRALIE | AFP | lundi 18/07/2016 - L'ancien Premier ministre australien Kevin Rudd a annoncé lundi qu'il souhaitait briguer la succession du secrétaire général de l'ONU, demandant à Canberra de soutenir sa candidature.
M. Rudd, qui parle le mandarin, dirige à New York la Asia Society Policy Institute. Il fut le chef du gouvernement travailliste australien de 2007 à 2010, puis de nouveau en 2013 pour quelques mois.
La liste des candidats à la succession de Ban Ki-moon s'allonge de jour en jour. Parmi les noms en tête des pronostics figurent la ministre argentine des Affaires étrangères Susana Malcorra, l'ancienne Première ministre de la Nouvelle-Zélande Helen Clark ainsi qu'Antonio Guterres, ex-Premier ministre du Portugal et ancien Haut commissaire de l'ONU aux réfugiés (HCR).
Les candidats doivent avoir reçu l'aval de leur gouvernement.
La ministre australienne des Affaires étrangères Julie Bishop a déclaré lundi que M. Rudd avait officiellement demandé au gouvernement de le soutenir, et que celui-ci étudiait la demande.
"Kevin Rudd a demandé que le gouvernement australien le nomme, et comme je l'ai dit à plusieurs reprises, c'est une question qui relève du gouvernement", a-t-elle dit à Sky News.
Le conseil de sécurité de l'ONU commencera à voter le 21 juillet à bulletins secrets pour choisir le nouveau secrétaire général.
Les 15 membres du Conseil devraient tomber d'accord d'ici octobre sur un candidat, qu'ils présenteront à l'Assemblée afin qu'elle entérine ce choix. Le successeur de Ban Ki-moon doit prendre ses fonctions au 1er janvier prochain.
Depuis 70 ans, le choix du patron de l'ONU fait l'objet de tractations à huis clos. Cette fois-ci, l'Assemblée a imposé un processus un peu plus transparent: lettre de candidature, CV, profession de foi et, enfin, grand oral.
mp/mfc/ev/cro
M. Rudd, qui parle le mandarin, dirige à New York la Asia Society Policy Institute. Il fut le chef du gouvernement travailliste australien de 2007 à 2010, puis de nouveau en 2013 pour quelques mois.
La liste des candidats à la succession de Ban Ki-moon s'allonge de jour en jour. Parmi les noms en tête des pronostics figurent la ministre argentine des Affaires étrangères Susana Malcorra, l'ancienne Première ministre de la Nouvelle-Zélande Helen Clark ainsi qu'Antonio Guterres, ex-Premier ministre du Portugal et ancien Haut commissaire de l'ONU aux réfugiés (HCR).
Les candidats doivent avoir reçu l'aval de leur gouvernement.
La ministre australienne des Affaires étrangères Julie Bishop a déclaré lundi que M. Rudd avait officiellement demandé au gouvernement de le soutenir, et que celui-ci étudiait la demande.
"Kevin Rudd a demandé que le gouvernement australien le nomme, et comme je l'ai dit à plusieurs reprises, c'est une question qui relève du gouvernement", a-t-elle dit à Sky News.
Le conseil de sécurité de l'ONU commencera à voter le 21 juillet à bulletins secrets pour choisir le nouveau secrétaire général.
Les 15 membres du Conseil devraient tomber d'accord d'ici octobre sur un candidat, qu'ils présenteront à l'Assemblée afin qu'elle entérine ce choix. Le successeur de Ban Ki-moon doit prendre ses fonctions au 1er janvier prochain.
Depuis 70 ans, le choix du patron de l'ONU fait l'objet de tractations à huis clos. Cette fois-ci, l'Assemblée a imposé un processus un peu plus transparent: lettre de candidature, CV, profession de foi et, enfin, grand oral.
mp/mfc/ev/cro