C'est la quatrième production animale en valeur de Polynésie française avec un revenu brut estimé à plus de 64 millions de Fcfp en 2009 (2,9 % du revenu brut des productions animales) pour une quantité de 145 tonnes (dont 135 tonnes contrôlées).
Le taux de couverture est en régression constante et ne représente plus que 2% de la consommation.
Les 7.225 tonnes de viande bovine importée incluent environ 1.850 tonnes destinées à la conserverie.
L’élevage de bovins à viande est pratiqué par environ 200 éleveurs qui détiennent un cheptel de l’ordre de 5.500 à 6.000 têtes (dont 50 à 60% de reproducteurs).
L'élevage bovin ne présente plus un enjeu économique depuis bien longtemps. Cependant, malgré les disponibilités réduites en surfaces suffisantes pour assurer un revenu décent, l'impact social de cette activité et sa répartition géographique homogène sur l'ensemble du territoire en font un facteur de stabilité des populations rurales.
Pour cela, un système de soutien à la production originale a été mis en place afin de stopper le déclin du cheptel engagé depuis l'installation du C.E.P. Celui-ci a porté ses fruits depuis trente ans puisque le cheptel s'est stabilisé mais il n'en reste pas moins que cet équilibre est fragile.
Par ailleurs, il faut reconnaître que les bovins sont un élément important de l'entretien du paysage. Dans un pays comme la Polynésie dont la vocation touristique est évidente, ce fait est non négligeable.
Comme le soutien à la viande bovine n’avait pas évolué depuis 1997, il a été proposé de réévaluer la dotation prévue à cet effet à hauteur de 37 millions de Fcfp et le gouvernement a inscrit au budget voté par l’Assemblée de la Polynésie française cette augmentation de la prime de soutien de la viande bovine afin de relancer la production.
Pour fixer l’augmentation du reversement, un coefficient multiplicateur de 30% a été appliqué à chaque catégorie, ce qui donne le résultat suivant exprimé en Fcfp par kilo de viande:
Le taux de couverture est en régression constante et ne représente plus que 2% de la consommation.
Les 7.225 tonnes de viande bovine importée incluent environ 1.850 tonnes destinées à la conserverie.
L’élevage de bovins à viande est pratiqué par environ 200 éleveurs qui détiennent un cheptel de l’ordre de 5.500 à 6.000 têtes (dont 50 à 60% de reproducteurs).
L'élevage bovin ne présente plus un enjeu économique depuis bien longtemps. Cependant, malgré les disponibilités réduites en surfaces suffisantes pour assurer un revenu décent, l'impact social de cette activité et sa répartition géographique homogène sur l'ensemble du territoire en font un facteur de stabilité des populations rurales.
Pour cela, un système de soutien à la production originale a été mis en place afin de stopper le déclin du cheptel engagé depuis l'installation du C.E.P. Celui-ci a porté ses fruits depuis trente ans puisque le cheptel s'est stabilisé mais il n'en reste pas moins que cet équilibre est fragile.
Par ailleurs, il faut reconnaître que les bovins sont un élément important de l'entretien du paysage. Dans un pays comme la Polynésie dont la vocation touristique est évidente, ce fait est non négligeable.
Comme le soutien à la viande bovine n’avait pas évolué depuis 1997, il a été proposé de réévaluer la dotation prévue à cet effet à hauteur de 37 millions de Fcfp et le gouvernement a inscrit au budget voté par l’Assemblée de la Polynésie française cette augmentation de la prime de soutien de la viande bovine afin de relancer la production.
Pour fixer l’augmentation du reversement, un coefficient multiplicateur de 30% a été appliqué à chaque catégorie, ce qui donne le résultat suivant exprimé en Fcfp par kilo de viande: