Dans le Silence des albatros, Eric Beauvilain raconte ses voyages dans l'océan Atlantique et le Pacifique.
PAPEETE, le 22 janvier 2016. Dans Le Silence des albatros, Eric Beauvilain raconte ses voyages à bord de son voilier. Pendant 12 ans, il a bourlingué à travers le monde. Plus de 20 ans après, son passage aux Marquises reste gravé dans sa mémoire.
Comme beaucoup d'enfants, Eric Beauvilain rêvait de voyager. A l'âge de 8 ans, il se voyait partir à la voile à travers les océans. Adolescent, il décide de construire son propre voilier. A 24 ans, il largue les amarres pour la première fois.
Pendant 12 ans, son bateau, l'Albatros, va lui permettre de vivre et des aventures extraordinaires et de belles rencontres à travers les océans Atlantique et Pacifique. Eric Beauvilain débarquera ainsi aux Marquises, à Tahiti, Bora Bora et Tubuai. C'était en 1992. Plus de vingt ans après, le navigateur se souvient encore de son arrivée dans la baie des Vierges, à Fatu Hiva. "La baie des Vierges est la plus belle qu'il m'ait été donnée de voir", écrit-il dans Le Silence des albatros. "Ce qui la rend unique c'est, je pense, l'architecture de son environnement", explique aujourd'hui Eric Beauvilain, toujours aussi marqué par cette beauté. "D'autant plus qu'arrivant de trois semaines de traversée, les yeux étant habitués aux couleurs et à la platitude de la mer et du ciel, arriver à Fatu Hiva est une formidable transition. Bien sûr, l'arrivée dans d'autres lieux -je pense à la Patagonie notamment-peut être aussi saisissant, mais il y a un petit quelque chose dans la baie des Vierges qu'il n'y a pas ailleurs. Cela vient certainement des couleurs qui sont comme nulle part ailleurs."
Le navigateur raconte aussi dans son livre une partie de football à Hanavave avec des habitants. "A Fatu Hiva, les contacts étaient -je me souviens à l'époque en 1992- extrêmement faciles, les habitants accueillaient les arrivants avec une spontanéité incroyable et on se sentait tout de suite à l'aise au milieu de ces gens", raconte-t-il.
Aujourd'hui, Eric Beauvilain navigue moins mais son bateau lui continue ses pérégrinations avec son nouveau propriétaire en Nouvelle-Calédonie.
Comme beaucoup d'enfants, Eric Beauvilain rêvait de voyager. A l'âge de 8 ans, il se voyait partir à la voile à travers les océans. Adolescent, il décide de construire son propre voilier. A 24 ans, il largue les amarres pour la première fois.
Pendant 12 ans, son bateau, l'Albatros, va lui permettre de vivre et des aventures extraordinaires et de belles rencontres à travers les océans Atlantique et Pacifique. Eric Beauvilain débarquera ainsi aux Marquises, à Tahiti, Bora Bora et Tubuai. C'était en 1992. Plus de vingt ans après, le navigateur se souvient encore de son arrivée dans la baie des Vierges, à Fatu Hiva. "La baie des Vierges est la plus belle qu'il m'ait été donnée de voir", écrit-il dans Le Silence des albatros. "Ce qui la rend unique c'est, je pense, l'architecture de son environnement", explique aujourd'hui Eric Beauvilain, toujours aussi marqué par cette beauté. "D'autant plus qu'arrivant de trois semaines de traversée, les yeux étant habitués aux couleurs et à la platitude de la mer et du ciel, arriver à Fatu Hiva est une formidable transition. Bien sûr, l'arrivée dans d'autres lieux -je pense à la Patagonie notamment-peut être aussi saisissant, mais il y a un petit quelque chose dans la baie des Vierges qu'il n'y a pas ailleurs. Cela vient certainement des couleurs qui sont comme nulle part ailleurs."
Le navigateur raconte aussi dans son livre une partie de football à Hanavave avec des habitants. "A Fatu Hiva, les contacts étaient -je me souviens à l'époque en 1992- extrêmement faciles, les habitants accueillaient les arrivants avec une spontanéité incroyable et on se sentait tout de suite à l'aise au milieu de ces gens", raconte-t-il.
Aujourd'hui, Eric Beauvilain navigue moins mais son bateau lui continue ses pérégrinations avec son nouveau propriétaire en Nouvelle-Calédonie.