Sète, France | AFP | mardi 06/09/2016 - D'éminents juristes, ethnologues, économistes et chercheurs se penchent du 8 au 10 septembre sur la notion de "bonheur sociétal" lors des troisièmes "Assises internationales du bonheur" au Théâtre de la mer à Sète (Hérault).
Organisé à l'initiative de l'Observatoire international du bonheur (OIB), créé par des juristes et dont le siège est à Montpellier, cet évènement ouvert à tous permettra de faire découvrir différentes actions et réflexions sur le bonheur sociétal en France et à l'étranger.
"Nous devons agir", explique le président de l'OIB, le bâtonnier Patrice Tachon, "pour que le bonheur sociétal soit reconnu comme un concept juridique et une norme de droit". "C’est par l’introduction de cette notion dans le vocabulaire des Etats et des organisations internationales que nous contribuerons à changer l’avenir", assure-t-il.
L'OIB considère que "les crises financières et économiques soulignent l’urgence d’élaborer des référentiels éthiques, juridiques et économiques sains pour une bonne gouvernance".
Manuela Carmena Castrillo, ancienne avocate et juge espagnole, élue maire de Madrid en 2015 et issue du mouvement des Indignés, devrait évoquer lors de ces assises les liens entre bonheur et politiques publiques.
L'ethnologue et tibétologue Françoise Pommaret devrait parler du Bonheur national brut (BNB) du Bhoutan. La chercheuse québécoise Vivian Labrie selon laquelle c'est "rarement la bonne heure pour les plus pauvres", expliquera sa vision du "droit au bien-vivre pour sortir d'une vision +austéritaire+".
Abdoullah Cissé, avocat à Dakar, rappellera que "le bonheur sociétal doit être choisi dans le respect de la culture de chacun".
Ces assises se termineront samedi par la publication d'une résolution commune
Organisé à l'initiative de l'Observatoire international du bonheur (OIB), créé par des juristes et dont le siège est à Montpellier, cet évènement ouvert à tous permettra de faire découvrir différentes actions et réflexions sur le bonheur sociétal en France et à l'étranger.
"Nous devons agir", explique le président de l'OIB, le bâtonnier Patrice Tachon, "pour que le bonheur sociétal soit reconnu comme un concept juridique et une norme de droit". "C’est par l’introduction de cette notion dans le vocabulaire des Etats et des organisations internationales que nous contribuerons à changer l’avenir", assure-t-il.
L'OIB considère que "les crises financières et économiques soulignent l’urgence d’élaborer des référentiels éthiques, juridiques et économiques sains pour une bonne gouvernance".
Manuela Carmena Castrillo, ancienne avocate et juge espagnole, élue maire de Madrid en 2015 et issue du mouvement des Indignés, devrait évoquer lors de ces assises les liens entre bonheur et politiques publiques.
L'ethnologue et tibétologue Françoise Pommaret devrait parler du Bonheur national brut (BNB) du Bhoutan. La chercheuse québécoise Vivian Labrie selon laquelle c'est "rarement la bonne heure pour les plus pauvres", expliquera sa vision du "droit au bien-vivre pour sortir d'une vision +austéritaire+".
Abdoullah Cissé, avocat à Dakar, rappellera que "le bonheur sociétal doit être choisi dans le respect de la culture de chacun".
Ces assises se termineront samedi par la publication d'une résolution commune