La Déléguée de la Polynésie française, Maeva Salmon a reçu jeudi matin le Général Dominique Artur, nommé en août dernier, commandant du Service Militaire Adapté (SMA).
Ce dernier souhaitait notamment connaître les besoins du Pays en matière de formation, au moment où le SMA s’apprête à enrichir son offre.
« Nous avons évoqué les particularités du SMA en Polynésie mais surtout le tissu économique local et les secteurs d’activité offrant le plus de perspectives d’emploi. J’ai notamment insisté sur les métiers des technologies vertes et de l’économie numérique » a indiqué Maeva Salmon au sortir de la réunion.
D’autres rencontres sont prévues avec le Général Artur. Elles seront élargies au secteur privé.
« Le but est d’établir un partenariat direct avec les entreprises pourvoyeuses d’emplois et de mieux déterminer leurs besoins » a précisé la Déléguée.
Maeva Salmon a par ailleurs rappelé à son interlocuteur toute l’importance du SMA aux yeux du gouvernement de la Polynésie française.
Redimensionnement des SMA en Outre-Mer
« C’est un marchepied pour accéder à un cycle d’enseignement et rentrer dans la vie active, pour une population bien souvent en situation d’échec » a-t-elle estimé.
Il est vrai que ce dispositif offre des perspectives d’insertions réelles aux jeunes volontaires stagiaires qui décident de suivre la formation. Ainsi, 72% d’entre eux regagnent le monde de l’emploi.
Actuellement le SMA accueille 250 jeunes en Polynésie française. A moyen terme il devrait en recevoir près de six cents.
Cet objectif figure dans le projet de redimensionnement des groupements ultramarins que le Général Artur remettra à Marie-Luce Penchard dans les prochains mois.
Le SMA propose aux jeunes gens défavorisés un cursus de 12 mois visant à faciliter leur insertion sociale et professionnelle.
Ce programme de formation repose sur l’acquisition de pré-acquis dans les domaines du savoir-être (éducation comportementale et civique), du savoir (remise à niveau scolaire) et du savoir-faire (formation pré-professionnelle). Un certificat d’aptitude personnelle à l’insertion (CAPI) est délivré en fin de session.
Implanté en Polynésie française depuis 20 ans, le SMA fête en 2011 ses 50 ans d’existence.
Ce dernier souhaitait notamment connaître les besoins du Pays en matière de formation, au moment où le SMA s’apprête à enrichir son offre.
« Nous avons évoqué les particularités du SMA en Polynésie mais surtout le tissu économique local et les secteurs d’activité offrant le plus de perspectives d’emploi. J’ai notamment insisté sur les métiers des technologies vertes et de l’économie numérique » a indiqué Maeva Salmon au sortir de la réunion.
D’autres rencontres sont prévues avec le Général Artur. Elles seront élargies au secteur privé.
« Le but est d’établir un partenariat direct avec les entreprises pourvoyeuses d’emplois et de mieux déterminer leurs besoins » a précisé la Déléguée.
Maeva Salmon a par ailleurs rappelé à son interlocuteur toute l’importance du SMA aux yeux du gouvernement de la Polynésie française.
Redimensionnement des SMA en Outre-Mer
« C’est un marchepied pour accéder à un cycle d’enseignement et rentrer dans la vie active, pour une population bien souvent en situation d’échec » a-t-elle estimé.
Il est vrai que ce dispositif offre des perspectives d’insertions réelles aux jeunes volontaires stagiaires qui décident de suivre la formation. Ainsi, 72% d’entre eux regagnent le monde de l’emploi.
Actuellement le SMA accueille 250 jeunes en Polynésie française. A moyen terme il devrait en recevoir près de six cents.
Cet objectif figure dans le projet de redimensionnement des groupements ultramarins que le Général Artur remettra à Marie-Luce Penchard dans les prochains mois.
Le SMA propose aux jeunes gens défavorisés un cursus de 12 mois visant à faciliter leur insertion sociale et professionnelle.
Ce programme de formation repose sur l’acquisition de pré-acquis dans les domaines du savoir-être (éducation comportementale et civique), du savoir (remise à niveau scolaire) et du savoir-faire (formation pré-professionnelle). Un certificat d’aptitude personnelle à l’insertion (CAPI) est délivré en fin de session.
Implanté en Polynésie française depuis 20 ans, le SMA fête en 2011 ses 50 ans d’existence.
