photo d'archives
Après une première rencontre, le 30 mars dernier, avec les représentants des six départements ministériels (Emploi, Santé, Education, Solidarité, Jeunesse et Culture), visant à définir les thématiques ainsi que les objectifs que le Pays pourrait proposer dans ce cadre, cette nouvelle séance de travail a permis d’aller plus au fond des choses.
En effet, l’exercice fastidieux mais non moins important assigné ce jour aux participants consistait à passer en revue chacune des fiches d’actions élaborées par les ministères, soit vingt-six pour «favoriser la réussite, le bien-être et le développement humain dans les quartiers prioritaires» et neuf autres afin «d’améliorer la qualité de l’habitat et du cadre de vie des quartiers». Charge à eux ensuite de ne retenir que celles qui auront recueilli l’adhésion de tous avant de les soumettre au conseil des ministres.
Parallèlement, les représentants des différents ministères ont souligné la nécessité de redéfinir les quartiers entrant dans le CUCS, estimant leur nombre actuel (177) trop important pour pouvoir intervenir efficacement, et d’établir des diagnostics plus précis sur les dysfonctionnements pouvant exister dans ces zones dites «prioritaires».
Enfin, une fois arrêtées les propositions du Pays, le vice-président a rappelé qu’elles devront faire l’objet de discussions avec les autres partenaires que sont les neuf communes concernées, le syndicat mixte en charge du CUCS présidé par Roméo Legayic ainsi que l’Etat, principal bailleur de fonds
En effet, l’exercice fastidieux mais non moins important assigné ce jour aux participants consistait à passer en revue chacune des fiches d’actions élaborées par les ministères, soit vingt-six pour «favoriser la réussite, le bien-être et le développement humain dans les quartiers prioritaires» et neuf autres afin «d’améliorer la qualité de l’habitat et du cadre de vie des quartiers». Charge à eux ensuite de ne retenir que celles qui auront recueilli l’adhésion de tous avant de les soumettre au conseil des ministres.
Parallèlement, les représentants des différents ministères ont souligné la nécessité de redéfinir les quartiers entrant dans le CUCS, estimant leur nombre actuel (177) trop important pour pouvoir intervenir efficacement, et d’établir des diagnostics plus précis sur les dysfonctionnements pouvant exister dans ces zones dites «prioritaires».
Enfin, une fois arrêtées les propositions du Pays, le vice-président a rappelé qu’elles devront faire l’objet de discussions avec les autres partenaires que sont les neuf communes concernées, le syndicat mixte en charge du CUCS présidé par Roméo Legayic ainsi que l’Etat, principal bailleur de fonds