NEW YORK, 27 janvier 2012 (AFP) - Deux colis contenant 16 kilos de cocaïne ont été livrés par erreur la semaine dernière au siège des Nations unies à New York en provenance du Mexique, ont indiqué jeudi la police new-yorkaise et l'ONU.
Quand les deux sacs portant un logo ressemblant à celui de l'ONU sont arrivés le 16 janvier, l'alerte a été donnée et les autorités américaines notifiées.
Selon Paul J. Browne, responsable des relations publiques pour la police de New York (NYPD), les sacs contenaient 14 livres dont les pages avaient été creusées pour contenir chacun un peu plus d'un kilo de cocaïne.
L'enquête de la NYPD et de la DEA (agence américaine de lutte contre le trafic de stupéfiants) a révélé que la drogue, expédiée du Mexique, était arrivée dans un centre de tri d'une messagerie privée à Cincinnati (Ohio, nord des Etats-Unis). Les employés ayant remarqué le sigle de l'ONU -- pourtant "grossièrement imité" -- mais aucune adresse, avaient expédié le colis au siège onusien.
"Notre hypothèse de travail est que la drogue n'aurait jamais dû quitter le Mexique", a estimé le policier. Si c'est le cas, a-t-il ajouté, "quelqu'un au Mexique est sans doute dans de beaux draps pour avoir égaré une telle quantité de cocaïne".
La drogue saisie a une valeur marchande estimée à près de deux millions de dollars.
Au cours d'un point de presse, le responsable de la sécurité à l'ONU Gregory Starr a rejeté tout lien entre cet incident et les Nations unies. "Il n'y a absolument aucune indication que ceci ait quoi que ce soit à voir avec les Nations unies ni avec son personnel", a-t-il affirmé. "A mon humble avis, a-t-il ajouté, c'est l'oeuvre de trafiquants de drogue qui tentaient de faire entrer quelque chose aux Etats-Unis et leur plan doit avoir échoué".
Il ne s'agissait pas de valise diplomatique ou de sacs utilisés officiellement par l'ONU, a-t-il précisé.
Quand les deux sacs portant un logo ressemblant à celui de l'ONU sont arrivés le 16 janvier, l'alerte a été donnée et les autorités américaines notifiées.
Selon Paul J. Browne, responsable des relations publiques pour la police de New York (NYPD), les sacs contenaient 14 livres dont les pages avaient été creusées pour contenir chacun un peu plus d'un kilo de cocaïne.
L'enquête de la NYPD et de la DEA (agence américaine de lutte contre le trafic de stupéfiants) a révélé que la drogue, expédiée du Mexique, était arrivée dans un centre de tri d'une messagerie privée à Cincinnati (Ohio, nord des Etats-Unis). Les employés ayant remarqué le sigle de l'ONU -- pourtant "grossièrement imité" -- mais aucune adresse, avaient expédié le colis au siège onusien.
"Notre hypothèse de travail est que la drogue n'aurait jamais dû quitter le Mexique", a estimé le policier. Si c'est le cas, a-t-il ajouté, "quelqu'un au Mexique est sans doute dans de beaux draps pour avoir égaré une telle quantité de cocaïne".
La drogue saisie a une valeur marchande estimée à près de deux millions de dollars.
Au cours d'un point de presse, le responsable de la sécurité à l'ONU Gregory Starr a rejeté tout lien entre cet incident et les Nations unies. "Il n'y a absolument aucune indication que ceci ait quoi que ce soit à voir avec les Nations unies ni avec son personnel", a-t-il affirmé. "A mon humble avis, a-t-il ajouté, c'est l'oeuvre de trafiquants de drogue qui tentaient de faire entrer quelque chose aux Etats-Unis et leur plan doit avoir échoué".
Il ne s'agissait pas de valise diplomatique ou de sacs utilisés officiellement par l'ONU, a-t-il précisé.