PORT-MORESBY, lundi 25 juillet 2011 (Flash d'Océanie) – Un séisme de magnitude mesurée à 6,2 sur l’échelle ouverte de Richter s’est produit lundi 25 juillet 2011 à 10h50 (locales, GMT+10) sur les côtes de l’île de Nouvelle-Irlande (Nord-est de l’île principale), rapporte l’institut géophysique américain USGS, basé à Denver (Colorado).
L’épicentre de cette secousse a été localisé à une profondeur de 34,5 kilomètres en-dessous du niveau de la mer, à 73 kilomètres au Sud de la localité de Kavieng (île de Nouvelle-Irlande), soit 200 kilomètres au Nord-ouest de la ville de Rabaul (île voisine de Nouvelle-Bretagne), dans une zone à forte sismicité.
(Localisation et visualisation de cet événement sismique via Google Maps à l’adresse suivante : http://maps.google.com/maps?q=-3.2134+150.6716(M6.2+-+NEW+IRELAND+REGION%2C+PAPUA+NEW+GUINEA+-+2011+July+25++00%3A50%3A50+UTC)&ll=-3.2134,150.6716&spn=2,2&f=d&t=h&hl=e).2+-+NEW+IRELAND+REGION%2C+PAPUA+NEW+GUINEA+-+2011+July+25++00%3A50%3A50+UTC)&ll=-3.2134,150.6716&spn=2,2&f=d&t=h&hl=e)
Aucun dégât, ni blessé n’a été immédiatement signalé.
Le centre d’alerte aux tsunamis pour le Pacifique (Pacific Tsunami Warning Centre, PTWC, basé à Pearl Harbour, Hawaii) n’a pas émis de bulletin concernant cet événement sismique.
Dans la même zone, le 21 mars 2010, un puissant séisme de magnitude 6,6 s’est produit dans la province insulaire toute proche de Nouvelle-Irlande.
Dans la même région, les derniers séismes significatifs ont été enregistrés mi-juin 2011 : le jeudi 16 juin 2011, une secousse était mesurée à 6,6 sur l’échelle de Richter sur les côtes de l’île de Nouvelle-Bretagne.
L’épicentre de cette secousse avait été localisé à une profondeur de 21,5 kilomètres en-dessous du niveau de la mer, à 115 kilomètres à l’Est-sud-est de la localité de Kimbé sur la côte Sud de cette île (577 kilomètres à Nord-est de la capitale Port-Moresby).
Aucun dégât, ni blessé n’avait été immédiatement signalé, mais le centre d’alerte aux tsunamis pour le Pacifique avait toutefois émis un bulletin à titre informatif, à la suite de ce séisme, en précisant que selon les informations disponibles, il n’était pas de nature à déclencher un tsunami destructeur d’ampleur régionale.
Le 2 décembre 2010, un précédent séisme sur cette même île avait été mesuré à 6,9 sur l’échelle ouverte de Richter.
Cette secousse tellurique s’était elle aussi produite sur terre, à 13h12 locales (GMT+10), à trente cinq kilomètres à l’Est-nord-est de la localité de Kandrian (Centre-sud de l’île).
L’épicentre avait été localisé à une profondeur de 32 kilomètres en-dessous du niveau de la mer.
Nouvelle-Bretagne : un récent séisme de magnitude 7
Sur l’île toute proche de Nouvelle-Bretagne, un puissant séisme de magnitude mesurée à 7 sur l’échelle ouverte de Richter s’était aussi produit le jeudi 5 août 2010.
L’épicentre de cette secousse sismique avait été localisé sur l’île, à 75 kilomètres à l’Est-sud-est de la ville de Kimbé (centre de la côte Sud de l’île), soit 565 kilomètres au Nord-est de la capitale Port-Moresby, à une profondeur de 54 kilomètres.
Dans tous les cas, aucun dégât, ni blessé n’a été immédiatement signalé et aucune alerte au tsunami n’a été lancée.
L’île aux volcans toute proche
Le chef-lieu de la Nouvelle-Bretagne, la ville de Rabaul, est notoirement flanqué de deux volcans en activité épisodique, le Vulcain et le Tavurvur.
Le plus important réveil de ces deux cônes, en 1994, avait quasi-totalement enseveli la ville sous une épaisse couche de cendres et de pluies acides.
D’autres regains d’activité avaient eu lieu plus récemment, en mars 2008, en septembre 2008, puis en janvier 2009, avec là aussi à la clé une épaisse couche de cendres volcaniques sur la ville et de forte perturbations au trafic aérien de toute la zone ainsi que des complications respiratoires pour les personnes prédisposées.
Toutes les îles de cette région constituent ce qu’il est convenu d’appeler la « ceinture de feu du Pacifique », zone à très forte sismicité et à haute concentration de volcans actifs, qui englobe aussi bien les îles de la Mélanésie (Papouasie-Nouvelle-Guinée, îles Salomon, Vanuatu) que celles, plus au Nord, de la Micronésie (Marianne du Nord, Guam), au Sud, une zone polynésienne incluant la Nouvelle-Zélande et Tonga et plus à l’Est, la région d’Hawaii.
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L’épicentre de cette secousse a été localisé à une profondeur de 34,5 kilomètres en-dessous du niveau de la mer, à 73 kilomètres au Sud de la localité de Kavieng (île de Nouvelle-Irlande), soit 200 kilomètres au Nord-ouest de la ville de Rabaul (île voisine de Nouvelle-Bretagne), dans une zone à forte sismicité.
(Localisation et visualisation de cet événement sismique via Google Maps à l’adresse suivante : http://maps.google.com/maps?q=-3.2134+150.6716(M6.2+-+NEW+IRELAND+REGION%2C+PAPUA+NEW+GUINEA+-+2011+July+25++00%3A50%3A50+UTC)&ll=-3.2134,150.6716&spn=2,2&f=d&t=h&hl=e).2+-+NEW+IRELAND+REGION%2C+PAPUA+NEW+GUINEA+-+2011+July+25++00%3A50%3A50+UTC)&ll=-3.2134,150.6716&spn=2,2&f=d&t=h&hl=e)
Aucun dégât, ni blessé n’a été immédiatement signalé.
Le centre d’alerte aux tsunamis pour le Pacifique (Pacific Tsunami Warning Centre, PTWC, basé à Pearl Harbour, Hawaii) n’a pas émis de bulletin concernant cet événement sismique.
Dans la même zone, le 21 mars 2010, un puissant séisme de magnitude 6,6 s’est produit dans la province insulaire toute proche de Nouvelle-Irlande.
Dans la même région, les derniers séismes significatifs ont été enregistrés mi-juin 2011 : le jeudi 16 juin 2011, une secousse était mesurée à 6,6 sur l’échelle de Richter sur les côtes de l’île de Nouvelle-Bretagne.
L’épicentre de cette secousse avait été localisé à une profondeur de 21,5 kilomètres en-dessous du niveau de la mer, à 115 kilomètres à l’Est-sud-est de la localité de Kimbé sur la côte Sud de cette île (577 kilomètres à Nord-est de la capitale Port-Moresby).
Aucun dégât, ni blessé n’avait été immédiatement signalé, mais le centre d’alerte aux tsunamis pour le Pacifique avait toutefois émis un bulletin à titre informatif, à la suite de ce séisme, en précisant que selon les informations disponibles, il n’était pas de nature à déclencher un tsunami destructeur d’ampleur régionale.
Le 2 décembre 2010, un précédent séisme sur cette même île avait été mesuré à 6,9 sur l’échelle ouverte de Richter.
Cette secousse tellurique s’était elle aussi produite sur terre, à 13h12 locales (GMT+10), à trente cinq kilomètres à l’Est-nord-est de la localité de Kandrian (Centre-sud de l’île).
L’épicentre avait été localisé à une profondeur de 32 kilomètres en-dessous du niveau de la mer.
Nouvelle-Bretagne : un récent séisme de magnitude 7
Sur l’île toute proche de Nouvelle-Bretagne, un puissant séisme de magnitude mesurée à 7 sur l’échelle ouverte de Richter s’était aussi produit le jeudi 5 août 2010.
L’épicentre de cette secousse sismique avait été localisé sur l’île, à 75 kilomètres à l’Est-sud-est de la ville de Kimbé (centre de la côte Sud de l’île), soit 565 kilomètres au Nord-est de la capitale Port-Moresby, à une profondeur de 54 kilomètres.
Dans tous les cas, aucun dégât, ni blessé n’a été immédiatement signalé et aucune alerte au tsunami n’a été lancée.
L’île aux volcans toute proche
Le chef-lieu de la Nouvelle-Bretagne, la ville de Rabaul, est notoirement flanqué de deux volcans en activité épisodique, le Vulcain et le Tavurvur.
Le plus important réveil de ces deux cônes, en 1994, avait quasi-totalement enseveli la ville sous une épaisse couche de cendres et de pluies acides.
D’autres regains d’activité avaient eu lieu plus récemment, en mars 2008, en septembre 2008, puis en janvier 2009, avec là aussi à la clé une épaisse couche de cendres volcaniques sur la ville et de forte perturbations au trafic aérien de toute la zone ainsi que des complications respiratoires pour les personnes prédisposées.
Toutes les îles de cette région constituent ce qu’il est convenu d’appeler la « ceinture de feu du Pacifique », zone à très forte sismicité et à haute concentration de volcans actifs, qui englobe aussi bien les îles de la Mélanésie (Papouasie-Nouvelle-Guinée, îles Salomon, Vanuatu) que celles, plus au Nord, de la Micronésie (Marianne du Nord, Guam), au Sud, une zone polynésienne incluant la Nouvelle-Zélande et Tonga et plus à l’Est, la région d’Hawaii.
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