A l’invitation du Gie Poe O Rikitea, madame Raymonde RAOULX a visité la seconde vente aux enchères internationale de perles de l’année installée depuis dimanche 7 août dans un salon de l’hôtel Sofitel Maeva Beach. Mise sur pied par cinq GIE de producteurs de perles des Tuamotu et des Gambier, cette vente valorise la récolte d’une quarantaine de perliculteurs. En mutualisant leurs moyens, ils démontrent que les professionnels sont les plus compétents en matière de commercialisation de leurs produits, malgré l’absence de subvention du Pays pour l’organisation de cette manifestation.
Guidée par monsieur Georges MATAOA, représentant de l’un des deux syndicats de producteurs de perles siégeant au CESC, madame RAOULX a pu constater l’engouement des nombreux acheteurs venus se réapprovisionner en perles noires de Tahiti. En effet, pas moins d’une quarantaine d’acheteurs, dont une trentaine de compagnies étrangères, s’intéressent de très près aux 392 lots mis en vente d’une valeur globale de près de 450 millions de francs pacifiques. Parmi ces compagnies étrangères on compte des japonais, des américains, des chinois de Hong Kong, des canadiens, des hawaiiens et des métropolitains.
En termes de résultats, la vente aux enchères a enregistré un chiffre d’affaires de plus de 126 millions de francs pacifiques pendant la journée de dimanche. Sur les deux premières journées cumulées, le chiffre d’affaires global s’élève à plus de 300 millions de francs pacifiques, représentant une recette fiscale d’environ 20 millions de francs pour le Pays. La meilleure vente à la pièce a été réalisée par une perle semi-ronde de 18mm de classe C issue d’une ferme de Rikitea. C’est une belle pièce de collection de couleur rouge aux reflets verts foncés.
Par sa visite, la Présidente de la quatrième institution du Pays a souhaité afficher son soutien et celui de l’institution qu’elle représente, à tous les perliculteurs polynésiens dont le secteur d’activité, l’un des rares secteurs exportateurs du Pays, est en grande difficulté depuis plusieurs années. La filière de la perle est en crise. Cette vente aux enchères représente une bouffée d’oxygène pour les perliculteurs.
En 2010, le CESC avait rendu un avis favorable au projet de « loi du pays » portant définition des produits de l’activité de la perliculture en Polynésie française et fixation des règles relatives à la classification, au transport, à la commercialisation et aux formalités d’exportation de la perle de culture de Tahiti, des ouvrages et des articles de bijouterie en comportant. Ce texte, qui n’a pas encore été adopté par l’Assemblée de la Polynésie française, vise notamment à élargir les dispositifs de contrôle de qualité pour les rendre obligatoires pour l’ensemble de la production perlière destinée à la commercialisation sur le marché intérieur ainsi qu’à l’export. Cette mission de contrôle reste dévolue au Service de la perliculture.
Guidée par monsieur Georges MATAOA, représentant de l’un des deux syndicats de producteurs de perles siégeant au CESC, madame RAOULX a pu constater l’engouement des nombreux acheteurs venus se réapprovisionner en perles noires de Tahiti. En effet, pas moins d’une quarantaine d’acheteurs, dont une trentaine de compagnies étrangères, s’intéressent de très près aux 392 lots mis en vente d’une valeur globale de près de 450 millions de francs pacifiques. Parmi ces compagnies étrangères on compte des japonais, des américains, des chinois de Hong Kong, des canadiens, des hawaiiens et des métropolitains.
En termes de résultats, la vente aux enchères a enregistré un chiffre d’affaires de plus de 126 millions de francs pacifiques pendant la journée de dimanche. Sur les deux premières journées cumulées, le chiffre d’affaires global s’élève à plus de 300 millions de francs pacifiques, représentant une recette fiscale d’environ 20 millions de francs pour le Pays. La meilleure vente à la pièce a été réalisée par une perle semi-ronde de 18mm de classe C issue d’une ferme de Rikitea. C’est une belle pièce de collection de couleur rouge aux reflets verts foncés.
Par sa visite, la Présidente de la quatrième institution du Pays a souhaité afficher son soutien et celui de l’institution qu’elle représente, à tous les perliculteurs polynésiens dont le secteur d’activité, l’un des rares secteurs exportateurs du Pays, est en grande difficulté depuis plusieurs années. La filière de la perle est en crise. Cette vente aux enchères représente une bouffée d’oxygène pour les perliculteurs.
En 2010, le CESC avait rendu un avis favorable au projet de « loi du pays » portant définition des produits de l’activité de la perliculture en Polynésie française et fixation des règles relatives à la classification, au transport, à la commercialisation et aux formalités d’exportation de la perle de culture de Tahiti, des ouvrages et des articles de bijouterie en comportant. Ce texte, qui n’a pas encore été adopté par l’Assemblée de la Polynésie française, vise notamment à élargir les dispositifs de contrôle de qualité pour les rendre obligatoires pour l’ensemble de la production perlière destinée à la commercialisation sur le marché intérieur ainsi qu’à l’export. Cette mission de contrôle reste dévolue au Service de la perliculture.