C’est officiel, Sandra Lévy-Agami brigue le poste de député de deuxième circonscription. Forte de son bilan à l’assemblée de la Polynésie française, elle assure avoir les compétences et les atouts nécessaires pour occuper ces fonctions. Si le développement de l’emploi en Polynésie fait partie de ses priorités, son cheval de bataille sera le problème du foncier à résoudre.
« Je me rends compte que beaucoup de clefs sont entre les mains de l’Etat et que les députés n’ont jamais fait avancer ce dossier. Je crois qu’il est temps de mettre quelqu’un de capable pour régler ce problème du foncier sachant qu’il a été réglé en Corse et en Nouvelle Calédonie ».
Ainsi elle propose que soient débloqués des fonds spécifiques pour aider les ayants droits à sortir de l’indivision. C’est ce qui a été fait en Corse. « En Polynésie cela fait 30 ans que l’on achète des terrains pour y construire des logements sociaux pour mettre des personnes pourtant propriétaires de terre en indivision. C’est entre 400m à 1 M de frcs par an qui sont utilisés » s’insurge-t-elle. Et de rajouter qu’iI faut également modifier le code civil en permettant le partage par souche.
Pour Sandra Lévy-Agami, le député vote les moyens au niveau de la France et il a accès à toutes les informations à tous les mécanismes mis en place. Il est donc une force de proposition. « Un lien entre les élus locaux et nationaux » ajoute-t-elle. Mais c’est également un poste à plein temps c’est pourquoi si elle est élue, elle démissionnera de son siège à l’APF.
Concernant une possible alliance, elle n’y est pas opposée. Cette élection est d’ailleurs selon elle le moment pour la relève de se placer sur l’échiquier politique local. Ceci pourrait donc mener vers une alliance pour les prochaines élections territoriales. « Mais surtout pas un nouveau To Tatau Ai’a. une alliance avec des jeunes qui partagent les mêmes valeurs, qui travaillent et qui n’ont pas à rougir de ce qu’ils ont fait »
« Je me rends compte que beaucoup de clefs sont entre les mains de l’Etat et que les députés n’ont jamais fait avancer ce dossier. Je crois qu’il est temps de mettre quelqu’un de capable pour régler ce problème du foncier sachant qu’il a été réglé en Corse et en Nouvelle Calédonie ».
Ainsi elle propose que soient débloqués des fonds spécifiques pour aider les ayants droits à sortir de l’indivision. C’est ce qui a été fait en Corse. « En Polynésie cela fait 30 ans que l’on achète des terrains pour y construire des logements sociaux pour mettre des personnes pourtant propriétaires de terre en indivision. C’est entre 400m à 1 M de frcs par an qui sont utilisés » s’insurge-t-elle. Et de rajouter qu’iI faut également modifier le code civil en permettant le partage par souche.
Pour Sandra Lévy-Agami, le député vote les moyens au niveau de la France et il a accès à toutes les informations à tous les mécanismes mis en place. Il est donc une force de proposition. « Un lien entre les élus locaux et nationaux » ajoute-t-elle. Mais c’est également un poste à plein temps c’est pourquoi si elle est élue, elle démissionnera de son siège à l’APF.
Concernant une possible alliance, elle n’y est pas opposée. Cette élection est d’ailleurs selon elle le moment pour la relève de se placer sur l’échiquier politique local. Ceci pourrait donc mener vers une alliance pour les prochaines élections territoriales. « Mais surtout pas un nouveau To Tatau Ai’a. une alliance avec des jeunes qui partagent les mêmes valeurs, qui travaillent et qui n’ont pas à rougir de ce qu’ils ont fait »
