PAPEETE, le 26 septembre 2018. La ministre de la Famille et des solidarités, Isabelle Sachet, a réuni, lundi, pour la deuxième fois, avec le ministre de la Santé, Jacques Raynal, plusieurs intervenants spécialisés dans la prise en charge des personnes en situation d’errance afin de valider ensemble le parcours de réinsertion et les structures appropriées pour ces populations en difficulté.
En plus du Père Christophe, bien connu pour ses engagements auprès de ce public et de Christian Jonc, responsable de la circonscription d’action sociale de Papeete, étaient présents les représentants de la Fédération « Emauta pour redonner l’espoir », l’association Te Torea, le Secours Catholique, la Croix-Rouge, auxquels s’est associée la fondation Face.
Les objectifs annoncés de cette rencontre étaient de définir le type de structures en matière d’hébergement et le parcours de réinsertion adapté, en s’appuyant sur leur recensement et leurs propositions. Après un tableau général sur les conditions de vie et les spécificités de cette population, et à partir des expériences de terrain de chacun, les interlocuteurs réunis ont identifié et défini ensemble les diverses étapes clés en vue d’améliorer la prise en charge globale de cette population :
- Un Centre de jour adapté, où la dimension humaine est privilégiée et la priorité portée sur l’accueil, la possibilité de se laver, de laver ses vêtements et qui permet une première orientation du SDF vers une structure appropriée.
- Un Centre d’Hébergement d’Urgence (CHU) qui permet un accueil en urgence pour la nuit, un bain, un repas chaud et un petit-déjeuner le lendemain.
- Un Centre d’Hébergement et de Réinsertion Sociale (CHRS) pour l’accompagnement et la réinsertion des personnes, notamment en terme de réinsertion sociale et professionnelle.
- Un Village communautaire qui serait un lieu de consolidation, s’apparentant aux communautés d’Emmaüs, qui offrirait aux publics désocialisés des activités agricoles, d’artisanat ou de recyclage, à titre d’exemple.
Les sites potentiels d’implantation des différentes structures envisagées ont été évoqués. Tous les intervenants, soucieux de construire un dispositif efficace et pérenne,
En plus du Père Christophe, bien connu pour ses engagements auprès de ce public et de Christian Jonc, responsable de la circonscription d’action sociale de Papeete, étaient présents les représentants de la Fédération « Emauta pour redonner l’espoir », l’association Te Torea, le Secours Catholique, la Croix-Rouge, auxquels s’est associée la fondation Face.
Les objectifs annoncés de cette rencontre étaient de définir le type de structures en matière d’hébergement et le parcours de réinsertion adapté, en s’appuyant sur leur recensement et leurs propositions. Après un tableau général sur les conditions de vie et les spécificités de cette population, et à partir des expériences de terrain de chacun, les interlocuteurs réunis ont identifié et défini ensemble les diverses étapes clés en vue d’améliorer la prise en charge globale de cette population :
- Un Centre de jour adapté, où la dimension humaine est privilégiée et la priorité portée sur l’accueil, la possibilité de se laver, de laver ses vêtements et qui permet une première orientation du SDF vers une structure appropriée.
- Un Centre d’Hébergement d’Urgence (CHU) qui permet un accueil en urgence pour la nuit, un bain, un repas chaud et un petit-déjeuner le lendemain.
- Un Centre d’Hébergement et de Réinsertion Sociale (CHRS) pour l’accompagnement et la réinsertion des personnes, notamment en terme de réinsertion sociale et professionnelle.
- Un Village communautaire qui serait un lieu de consolidation, s’apparentant aux communautés d’Emmaüs, qui offrirait aux publics désocialisés des activités agricoles, d’artisanat ou de recyclage, à titre d’exemple.
Les sites potentiels d’implantation des différentes structures envisagées ont été évoqués. Tous les intervenants, soucieux de construire un dispositif efficace et pérenne,