Youzhny, tête de série N.11, rencontrera le Britannique David Murray (N.4) ou le Tchèque Tomas Berdych (N.15)
Tsonga (N.10), une nouvelle fois trahi par son corps, a dû renoncer au bout d'une demi-heure de jeu.
Victime d'une contracture au fessier au cours de son match contre le Néerlandais Thiemo De Bakker au tour précédent, il s'était alors fait une violence inouie pour arracher la victoire, malgré la souffrance.
Dimanche, tétanisé par une douleur qui "l'empêchait de poser le pied par terre", le N.1 français a dû jeter l'éponge après le premier set.
Ce coup dur n'est qu'un épisode supplémentaire dans le décourageant feuilleton de ses pépins physiques.
En fait, Tsonga est un miraculé. Affligé d'une hernie discale, il semblait presque perdu pour le sport professionnel. C'est au prix d'une opération, d'une longue rééducation et, déjà, grâce à une ardente conviction, qu'il a pu faire ses vrais débuts sur le circuit en 2007, à l'âge déjà avancé de 22 ans.
Mais ses ennuis étaient loin d'être terminés. Quelques mois après son fabuleux parcours jusqu'en finale de l'Open d'Australie en 2008, il repassait entre les mains des chirugiens pour se faire retirer un ménisque déchiré. Conséquence: pas de Roland-Garros ni de Wimbledon lors d'une saison qu'il allait pourtant terminer au Masters !
Et encore ne parle-t-on pas des matches que Tsonga a disputés sans être à 100% de ses possibilités sont innombrables.
Le Français va maintenant passer des examens pour en savoir plus sur la gravité du mal, en espérant que sa préparation à Wimbledon, qui commence dans trois semaines, ne sera pas compromise.
Tsonga (N.10), une nouvelle fois trahi par son corps, a dû renoncer au bout d'une demi-heure de jeu.
Victime d'une contracture au fessier au cours de son match contre le Néerlandais Thiemo De Bakker au tour précédent, il s'était alors fait une violence inouie pour arracher la victoire, malgré la souffrance.
Dimanche, tétanisé par une douleur qui "l'empêchait de poser le pied par terre", le N.1 français a dû jeter l'éponge après le premier set.
Ce coup dur n'est qu'un épisode supplémentaire dans le décourageant feuilleton de ses pépins physiques.
En fait, Tsonga est un miraculé. Affligé d'une hernie discale, il semblait presque perdu pour le sport professionnel. C'est au prix d'une opération, d'une longue rééducation et, déjà, grâce à une ardente conviction, qu'il a pu faire ses vrais débuts sur le circuit en 2007, à l'âge déjà avancé de 22 ans.
Mais ses ennuis étaient loin d'être terminés. Quelques mois après son fabuleux parcours jusqu'en finale de l'Open d'Australie en 2008, il repassait entre les mains des chirugiens pour se faire retirer un ménisque déchiré. Conséquence: pas de Roland-Garros ni de Wimbledon lors d'une saison qu'il allait pourtant terminer au Masters !
Et encore ne parle-t-on pas des matches que Tsonga a disputés sans être à 100% de ses possibilités sont innombrables.
Le Français va maintenant passer des examens pour en savoir plus sur la gravité du mal, en espérant que sa préparation à Wimbledon, qui commence dans trois semaines, ne sera pas compromise.