le 30 juillet dernier, Madame Marie Luce Penchard s'est rendue sur le futur site du village des jeux du pacifique 2011 où elle posé la 1ère pierre du complexe qui accueillera les athlètes des prochains jeux du pacifique 2011.
L’assemblée générale du Conseil des Jeux se tiendra jeudi et vendredi en présence d’une délégation du gouvernement de Papouasie-Nouvelle-Guinée, pays organisateur des Jeux de 2015.
Lors de leur séjour, les délégations visiteront quelques sites sportifs à Koné, en province Nord, à Lifou, aux Iles Loyauté, ou encore à Boulari, commune située à 80 kilomètres au nord de Nouméa.
Plus de 5000 sportifs et personnels techniques originaires de 22 pays insulaires d’Océanie, hors Australie et Nouvelle-Zélande, sont attendus dans l’archipel. Pour cet événement, qui fêtera en 2011 son cinquantième anniversaire, la Nouvelle-Calédonie a investi quelque 126 millions d’euros dans la construction ou la rénovation d’infrastructures sportives.
"Afin que ces Jeux ne soient pas ceux de Nouméa, mais de l’ensemble du pays, les compétitions seront décentralisées", explique Pascale Bastien-Thiry, la présidente de NC2011. Trente-sept sites, répartis sur dix communes de l’ensemble du territoire, accueilleront les sportifs océaniens.
Vingt-sept disciplines sont inscrites au programme: 12 obligatoires, parmi lesquelles le va’a (pirogue polynésienne), et 15 optionnelles. Pour la première fois, quatre épreuves de handisport seront organisées pendant les quinze jours de compétition.
Pour héberger les athlètes, un village a été construit sur le site de l’université qui, une fois les Jeux terminés, deviendra une résidence universitaire de 500 unités de logement alors que le campus n’en compte aujourd’hui qu’une quarantaine pour 2800 étudiants.
La Nouvelle-Calédonie a déjà accueilli deux fois les Jeux du Pacifique, en 1966 et 1987. Mais cette année-là, une dizaine de pays avaient répondu à l’ordre de boycott lancé par le Front de libération national kanak et socialiste (FLNKS) et n’y avaient pas participé.
Avec 65.000 licenciés sportifs pour 260.000 habitants, la Nouvelle-Calédonie est le grand favori de cette compétition qu’elle a déjà remportée 11 fois en treize éditions.
ap/pga/chc
Lors de leur séjour, les délégations visiteront quelques sites sportifs à Koné, en province Nord, à Lifou, aux Iles Loyauté, ou encore à Boulari, commune située à 80 kilomètres au nord de Nouméa.
Plus de 5000 sportifs et personnels techniques originaires de 22 pays insulaires d’Océanie, hors Australie et Nouvelle-Zélande, sont attendus dans l’archipel. Pour cet événement, qui fêtera en 2011 son cinquantième anniversaire, la Nouvelle-Calédonie a investi quelque 126 millions d’euros dans la construction ou la rénovation d’infrastructures sportives.
"Afin que ces Jeux ne soient pas ceux de Nouméa, mais de l’ensemble du pays, les compétitions seront décentralisées", explique Pascale Bastien-Thiry, la présidente de NC2011. Trente-sept sites, répartis sur dix communes de l’ensemble du territoire, accueilleront les sportifs océaniens.
Vingt-sept disciplines sont inscrites au programme: 12 obligatoires, parmi lesquelles le va’a (pirogue polynésienne), et 15 optionnelles. Pour la première fois, quatre épreuves de handisport seront organisées pendant les quinze jours de compétition.
Pour héberger les athlètes, un village a été construit sur le site de l’université qui, une fois les Jeux terminés, deviendra une résidence universitaire de 500 unités de logement alors que le campus n’en compte aujourd’hui qu’une quarantaine pour 2800 étudiants.
La Nouvelle-Calédonie a déjà accueilli deux fois les Jeux du Pacifique, en 1966 et 1987. Mais cette année-là, une dizaine de pays avaient répondu à l’ordre de boycott lancé par le Front de libération national kanak et socialiste (FLNKS) et n’y avaient pas participé.
Avec 65.000 licenciés sportifs pour 260.000 habitants, la Nouvelle-Calédonie est le grand favori de cette compétition qu’elle a déjà remportée 11 fois en treize éditions.
ap/pga/chc
