Pour faire suite aux interrogations du député Moetai Brotherson, le gouvernement tient à préciser que le Tahiti Nui 1 a été affrété par ses soins pour le déplacement à Makatea.
Ce déplacement s’est fait dans la plus totale transparence, en présence de la presse qui a eu accès aux mêmes informations que le gouvernement et qui en a rendu compte en pleine indépendance.
Moetai Brotherson est de parti pris. Le gouvernement, pour sa part, a souhaité être pleinement informé du projet porté par Colin Randall, de l’état actuel de l’île et des conditions et conséquences de mise en œuvre de nouvelles extractions.
Il a souhaité également entendre les positions des habitants de l’île qui seraient les premiers concernés en cas de reprise des extractions.
Il appartient en effet à l’exécutif de prendre, le moment venu, une décision éclairée, et non sous la pression de quelque lobby. Une enquête publique sera prochainement lancée et chacun pourra s’exprimer.
En tout état de cause, si l’autorisation d’extraction devait être donnée, elle se ferait selon un cahier des charges établi par le Pays, puisque cela est de sa compétence.
Il est donc pour le moins étonnant que le député indépendantiste veuille interpeller le ministre national de la transition écologique qui n’a aucune compétence en la matière. Visiblement, Moetai Brotherson souffre du « syndrome de Stockholm », si souvent dénoncé par son camp.
Ce déplacement s’est fait dans la plus totale transparence, en présence de la presse qui a eu accès aux mêmes informations que le gouvernement et qui en a rendu compte en pleine indépendance.
Moetai Brotherson est de parti pris. Le gouvernement, pour sa part, a souhaité être pleinement informé du projet porté par Colin Randall, de l’état actuel de l’île et des conditions et conséquences de mise en œuvre de nouvelles extractions.
Il a souhaité également entendre les positions des habitants de l’île qui seraient les premiers concernés en cas de reprise des extractions.
Il appartient en effet à l’exécutif de prendre, le moment venu, une décision éclairée, et non sous la pression de quelque lobby. Une enquête publique sera prochainement lancée et chacun pourra s’exprimer.
En tout état de cause, si l’autorisation d’extraction devait être donnée, elle se ferait selon un cahier des charges établi par le Pays, puisque cela est de sa compétence.
Il est donc pour le moins étonnant que le député indépendantiste veuille interpeller le ministre national de la transition écologique qui n’a aucune compétence en la matière. Visiblement, Moetai Brotherson souffre du « syndrome de Stockholm », si souvent dénoncé par son camp.