La Rentrée Solennelle de l’UPF a eu lieu cette année le 27 septembre 2012, dans le Grand amphithéâtre A1
Elle débutait par un discours du président de l’Université de la Polynésie française, le professeur Eric Conte, qui présentait les grandes échéances de l’année et les défis de l’UPF à venir, en particulier le passage aux Responsabilités et Compétences Elargies à partir du 1er janvier 2013, grande réforme qui va bouleverser le mode de fonctionnement de l’université.
Fidèle à sa tradition d’insertion professionnelle, L’UPF a célébré ensuite la réussite de ses étudiants via la cérémonie du parrainage des majors de promotion.
Enfin, le professeur Christian Jost, Directeur du département Lettres, Langues et Sciences Humaines et professeur de géographie,a présenté une leçon inaugurale sur le thème :
« Clipperton, l'île de La Passion : richesse ignorée ou héritage inutile ? »
Elle débutait par un discours du président de l’Université de la Polynésie française, le professeur Eric Conte, qui présentait les grandes échéances de l’année et les défis de l’UPF à venir, en particulier le passage aux Responsabilités et Compétences Elargies à partir du 1er janvier 2013, grande réforme qui va bouleverser le mode de fonctionnement de l’université.
Fidèle à sa tradition d’insertion professionnelle, L’UPF a célébré ensuite la réussite de ses étudiants via la cérémonie du parrainage des majors de promotion.
Enfin, le professeur Christian Jost, Directeur du département Lettres, Langues et Sciences Humaines et professeur de géographie,a présenté une leçon inaugurale sur le thème :
« Clipperton, l'île de La Passion : richesse ignorée ou héritage inutile ? »
L’UPF tient à féliciter les lauréats de l’année 2011/2012 pour leur excellent résultat :
- Christel DELOBETTE, major de la licence de droit
- Asia HAMMILL, major de la licence d’économie-gestion
- Alexandra LE GAYIC, major de la licence d’histoire
- Herearii SOUMING, major de la licence de géographie
- Jonathan BOUQUET, major de la licence d’informatique
- Maeva PURAGA, major de la licence de reo mao’hi
- Sofia SUTARIK, major de la licence de langues étrangères appliquées (anglais-espagnol)
- Barbara MEUEL, major de la licence d’anglais
- Jérémie SILVESTRO, major de la licence de lettres
- Jessica LIENARD, major de la licence de physiques
- Jenny RAOUL, major de la licence de sciences de la vie et de la terre
- Pascal LEFEVRE, major de la licence de mathématiques
- Asia HAMMILL, major de la licence d’économie-gestion
- Alexandra LE GAYIC, major de la licence d’histoire
- Herearii SOUMING, major de la licence de géographie
- Jonathan BOUQUET, major de la licence d’informatique
- Maeva PURAGA, major de la licence de reo mao’hi
- Sofia SUTARIK, major de la licence de langues étrangères appliquées (anglais-espagnol)
- Barbara MEUEL, major de la licence d’anglais
- Jérémie SILVESTRO, major de la licence de lettres
- Jessica LIENARD, major de la licence de physiques
- Jenny RAOUL, major de la licence de sciences de la vie et de la terre
- Pascal LEFEVRE, major de la licence de mathématiques
Réactions de Major:
Alexandra Le Gayic, Major de la licence de géographie
Que vas-tu faire de l’aide financière de l’entreprise qui te parraine ?
Cela va m'aider pour mon installation à Paris.
Quels sont tes projets pour 2012/2013 ?
Je continue en Master 1 de Démographie à l'Institut de Démographie de l'Université de Paris 1 Panthéon-Sorbonne.
Quelle profession envisages-tu ?
Chargée d'étude.
Quels sont tes hobbies ?
La lecture, le yoga, le paddle, le cinéma.
Quels sont tes impressions sur le dispositif du parrainage ?
C'est bien que nos entreprises s’intéressent à l'avenir de nos étudiants.
Comment vois tu l’avenir ?
J'ai confiance en l'avenir car quand on a l'envie, la formation et de la persévérance, on peut s'en sortir, faire ce que l'on aime. Si on ne trouve pas de travail, il faut alors le créer.
Quels souvenirs garderas-tu de l’UPF ?
Un très bon souvenir, des enseignements de qualité. Une petite université qui permet un meilleur suivi individuel, une plus grande proximité avec les professeurs, quand on a des difficultés, par exemple, c'est très important.
Que vas-tu faire de l’aide financière de l’entreprise qui te parraine ?
Cela va m'aider pour mon installation à Paris.
Quels sont tes projets pour 2012/2013 ?
Je continue en Master 1 de Démographie à l'Institut de Démographie de l'Université de Paris 1 Panthéon-Sorbonne.
Quelle profession envisages-tu ?
Chargée d'étude.
Quels sont tes hobbies ?
La lecture, le yoga, le paddle, le cinéma.
Quels sont tes impressions sur le dispositif du parrainage ?
C'est bien que nos entreprises s’intéressent à l'avenir de nos étudiants.
Comment vois tu l’avenir ?
J'ai confiance en l'avenir car quand on a l'envie, la formation et de la persévérance, on peut s'en sortir, faire ce que l'on aime. Si on ne trouve pas de travail, il faut alors le créer.
Quels souvenirs garderas-tu de l’UPF ?
Un très bon souvenir, des enseignements de qualité. Une petite université qui permet un meilleur suivi individuel, une plus grande proximité avec les professeurs, quand on a des difficultés, par exemple, c'est très important.
Jérémie Silvestro,
Major de la licence de lettres
Que vas-tufaire de l’aide financière de l’entreprise qui te
parraine ?
Pour la poursuite de mes études en master, mon choix s'est arrêté sur Paris IV. L'installation et le coût de la vie étant quelque peu plus délicats à gérer dans la capitale, cette aide sera la bienvenue : elle me permettra, en plus d'alléger mon budget, de jouir de la pléthore de prestations culturelles qui rendent Paris si attrayante pour qui s'y installe, tout désireux qu'il serait de se cultiver et de cultiver une vie intérieure riche.
Quels sont tes projets pour 2012/2013 ?
Partir étudier à Paris, c'est pour moi l'occasion de m'ouvrir, de découvrir et de m'enrichir dans une ville au confluent de (presque) tout ! Au-delà de la réussite de ma première année en master recherche de littérature comparée à la Sorbonne, ma priorité est surtout de m'épanouir aussi bien dans mes études que personnellement en suivant un cursus qui me plaît, en profitant de la richesse colossale de Paris en termes d'accès à la culture.
Quelle profession envisages-tu ?
La première année de master achevée, je souhaite préparer l'agrégation de lettres pour enseigner dans le secondaire. Je n'exclus pas pour autant les autres débouchés auxquels conduit une solide formation en lettres, mais que l'on néglige souvent, par exemple les « littéraires » embauchés pour redonner du sens aux messages que véhiculent les grandes entreprises...
Quels sont tes hobbies ?
Je n'ai pas envie de dire la lecture, c’est tellement convenu comme réponse... J'aime le théâtre comme j'aime la science-fiction bon marché ou l'audace des surréalistes... De manière générale, j'aime voir l'imagination d'un auteur se déployer et former un tout cohérent. Puis voir de ce dernier émerger certains liens qui peuvent le rattacher à d'autres univers et les faire entrer en résonance. Sinon... j'aime bien la course à pieds, certains jeux vidéo (ceux avec des histoires intéressantes), la musique instrumentale, la belote et le tarot, écrire, voyager dans les australes pour vivre avec ma famille le quotidien des îles et réentendre parler tahitien.
Quelles sont tes impressions sur le dispositif du parrainage ?
C'est un plus non négligeable de recevoir de si loin une aide de la part d'une entreprise locale ! C’est motivant et ça me donne de l’assurance pour aller plus loin dans mes projets.
Comment vois tu l’avenir?
J'ai pleinement confiance en l'avenir et je pense que ce n'est qu'à cette condition qu'on peut s'améliorer et avancer dans les projets qu'on entreprend.
Quels souvenirs garderas-tu de l’UPF?
D'agréables souvenirs, pour sûr ! Je m'y suis senti rapidement à l'aise, j'ai participé à la rédaction d'un numéro du Te u'i mata [NDLR: le journal du campus] et à la mise en place du club théâtre, grâce auquel j'ai rencontré mes meilleurs amis. Les professeurs m'ont chacun à leur manière enseigné bien plus que de la littérature, ils m'ont appris à voir au delà de simples notes pour me concentrer sur quelque chose de plus essentiel : les enseignements que l'on retient au-delà de la connaissance pure.
Major de la licence de lettres
Que vas-tufaire de l’aide financière de l’entreprise qui te
parraine ?
Pour la poursuite de mes études en master, mon choix s'est arrêté sur Paris IV. L'installation et le coût de la vie étant quelque peu plus délicats à gérer dans la capitale, cette aide sera la bienvenue : elle me permettra, en plus d'alléger mon budget, de jouir de la pléthore de prestations culturelles qui rendent Paris si attrayante pour qui s'y installe, tout désireux qu'il serait de se cultiver et de cultiver une vie intérieure riche.
Quels sont tes projets pour 2012/2013 ?
Partir étudier à Paris, c'est pour moi l'occasion de m'ouvrir, de découvrir et de m'enrichir dans une ville au confluent de (presque) tout ! Au-delà de la réussite de ma première année en master recherche de littérature comparée à la Sorbonne, ma priorité est surtout de m'épanouir aussi bien dans mes études que personnellement en suivant un cursus qui me plaît, en profitant de la richesse colossale de Paris en termes d'accès à la culture.
Quelle profession envisages-tu ?
La première année de master achevée, je souhaite préparer l'agrégation de lettres pour enseigner dans le secondaire. Je n'exclus pas pour autant les autres débouchés auxquels conduit une solide formation en lettres, mais que l'on néglige souvent, par exemple les « littéraires » embauchés pour redonner du sens aux messages que véhiculent les grandes entreprises...
Quels sont tes hobbies ?
Je n'ai pas envie de dire la lecture, c’est tellement convenu comme réponse... J'aime le théâtre comme j'aime la science-fiction bon marché ou l'audace des surréalistes... De manière générale, j'aime voir l'imagination d'un auteur se déployer et former un tout cohérent. Puis voir de ce dernier émerger certains liens qui peuvent le rattacher à d'autres univers et les faire entrer en résonance. Sinon... j'aime bien la course à pieds, certains jeux vidéo (ceux avec des histoires intéressantes), la musique instrumentale, la belote et le tarot, écrire, voyager dans les australes pour vivre avec ma famille le quotidien des îles et réentendre parler tahitien.
Quelles sont tes impressions sur le dispositif du parrainage ?
C'est un plus non négligeable de recevoir de si loin une aide de la part d'une entreprise locale ! C’est motivant et ça me donne de l’assurance pour aller plus loin dans mes projets.
Comment vois tu l’avenir?
J'ai pleinement confiance en l'avenir et je pense que ce n'est qu'à cette condition qu'on peut s'améliorer et avancer dans les projets qu'on entreprend.
Quels souvenirs garderas-tu de l’UPF?
D'agréables souvenirs, pour sûr ! Je m'y suis senti rapidement à l'aise, j'ai participé à la rédaction d'un numéro du Te u'i mata [NDLR: le journal du campus] et à la mise en place du club théâtre, grâce auquel j'ai rencontré mes meilleurs amis. Les professeurs m'ont chacun à leur manière enseigné bien plus que de la littérature, ils m'ont appris à voir au delà de simples notes pour me concentrer sur quelque chose de plus essentiel : les enseignements que l'on retient au-delà de la connaissance pure.
