La délégation du SPC PF (Syndicat pour la Promotion des communes de Polynésie française), composée d'élus et de cadres communaux, à laquelle se sont joints quelques élus de l'Assemblée de Polynésie française, a participé aux 2è Rencontres des Collectivités d'outre-mer, organisées par le CNFPT(Centre national de la fonction publique territoriale). Cette manifestation, qui s'est déroulée du 6 au 10 juin à Angers, avait pour thème cette année "L'Outre-Mer face aux enjeux de gouvernance : stratégies locales, nationales et européennes".
Des représentants de Nouvelle-Calédonie, Mayotte, Saint Pierre et Miquelon, Saint Barthélémy, Saint Martin,Martinique, Guadeloupe, Réunion et Polynésie française ont pu profiter de ces rencontres pour conforter leur réseau d'échanges et partager leurs expériences et leurs difficultés sur les thèmes croisés de "la gouvernance et du développement durable".
Un évènement qui vient à point nommer alors que les 48 communes polynésiennes sont confrontées à des défis énormes, a estimé Armelle Merceron dans un communiqué : baisse de leurs ressources, exigences légales en matière de gestion des déchets et assainissement, de fourniture d'eau potable et
d'équilibres financiers des services publics de base, mise en place de la fonction publique communale, ...
Jeudi soir, les membres de la délégation polynésienne ont profité de leur passage à Angers pour rencontrer une partie des étudiants polynésiens de la ville. Ces derniers ont pu poser leurs questions aux élus, notamment sur les difficultés du pays et les opportunités d'emploi à leur retour.
Des représentants de Nouvelle-Calédonie, Mayotte, Saint Pierre et Miquelon, Saint Barthélémy, Saint Martin,Martinique, Guadeloupe, Réunion et Polynésie française ont pu profiter de ces rencontres pour conforter leur réseau d'échanges et partager leurs expériences et leurs difficultés sur les thèmes croisés de "la gouvernance et du développement durable".
Un évènement qui vient à point nommer alors que les 48 communes polynésiennes sont confrontées à des défis énormes, a estimé Armelle Merceron dans un communiqué : baisse de leurs ressources, exigences légales en matière de gestion des déchets et assainissement, de fourniture d'eau potable et
d'équilibres financiers des services publics de base, mise en place de la fonction publique communale, ...
Jeudi soir, les membres de la délégation polynésienne ont profité de leur passage à Angers pour rencontrer une partie des étudiants polynésiens de la ville. Ces derniers ont pu poser leurs questions aux élus, notamment sur les difficultés du pays et les opportunités d'emploi à leur retour.
