16 stagiaires suivant la formation intitulée KAYAK’ANIM sur une période de 5 jours, se sont vus remettre une attestation leur permettant désormais d’encadrer et organiser la pratique de l’activité kayak, de manière professionnelle et sûre. Cela s’était déroulée au centre Tarevareva de Pa’ea, ce lundi 1 er juillet.
Une formation intensive de 35 heures réparties sur 5 jours, c’est ce qui attendait 16 stagiaires qui avaient décidé d’opter pour une professionnalisation de leur activité en vue ou en cours. Les modules d’apprentissage avaient pour objectif d’être capables de mobiliser les connaissances générales propres à la découverte de l’activité (5 heures), d’encadrer une séance d’animation « kayak » pour des mineurs (19 heures) puis de garantir les conditions de sécurité dans le cadre de ses prérogatives d’exercice (11 heures).
Ils étaient encadrés par des spécialistes de ce sport : Nati Pita, titulaire d’un B.A.F.D, directeur de la session, de Patrice Lamarzelle, titulaire d’un B.E.E.S.3 canoë-kayak et Sylvie Auger, titulaire d’un monitorat fédéral de canoë-kayak. La remise des attestations, faite en présence des représentants du ministre des sports Sylvain Pauwels et Louis Provost, du chef du service jeunesse et sports, du chef de mission de la MAAT et d’autres autorités, fut l’occasion idéale pour Maé Lhopital ,responsable du département formation de l’Institut de la Jeunesse et des Sports de la Polynésie Française, d’effectuer un bilan de cette formation. Elle a mis en exergue les aspects qui permettront à terme de renforcer, voire de développer des compétences au profit de la jeunesse polynésienne.
L’attestation KAYAK’ANIM est une qualification non professionnelle qui reconnaît à son titulaire l’aptitude à organiser et à encadrer l’activité en toute sécurité et donc « à communiquer aux pratiquants les consignes nécessaires, à surveiller le bon déroulement de la pratique et à veiller à la sécurité des mineurs », a-t-elle estimé, « est devenue, plus qu'une option, un impératif dans une démarche de loisirs éducatifs, de sensibilisation et de découverte de l’activité « kayak » dans les centres de vacances, les centres de loisirs sans hébergement (CLSH), les structures scolaires et périscolaires ».
Les efforts de chacun des stagiaires a fini par payer : 100% de réussite. Ces hommes et femmes ont donc reçu leur précieux sésame et cela, autour d’un cocktail largement mérité. Fa’aitoito.
TP
Une formation intensive de 35 heures réparties sur 5 jours, c’est ce qui attendait 16 stagiaires qui avaient décidé d’opter pour une professionnalisation de leur activité en vue ou en cours. Les modules d’apprentissage avaient pour objectif d’être capables de mobiliser les connaissances générales propres à la découverte de l’activité (5 heures), d’encadrer une séance d’animation « kayak » pour des mineurs (19 heures) puis de garantir les conditions de sécurité dans le cadre de ses prérogatives d’exercice (11 heures).
Ils étaient encadrés par des spécialistes de ce sport : Nati Pita, titulaire d’un B.A.F.D, directeur de la session, de Patrice Lamarzelle, titulaire d’un B.E.E.S.3 canoë-kayak et Sylvie Auger, titulaire d’un monitorat fédéral de canoë-kayak. La remise des attestations, faite en présence des représentants du ministre des sports Sylvain Pauwels et Louis Provost, du chef du service jeunesse et sports, du chef de mission de la MAAT et d’autres autorités, fut l’occasion idéale pour Maé Lhopital ,responsable du département formation de l’Institut de la Jeunesse et des Sports de la Polynésie Française, d’effectuer un bilan de cette formation. Elle a mis en exergue les aspects qui permettront à terme de renforcer, voire de développer des compétences au profit de la jeunesse polynésienne.
L’attestation KAYAK’ANIM est une qualification non professionnelle qui reconnaît à son titulaire l’aptitude à organiser et à encadrer l’activité en toute sécurité et donc « à communiquer aux pratiquants les consignes nécessaires, à surveiller le bon déroulement de la pratique et à veiller à la sécurité des mineurs », a-t-elle estimé, « est devenue, plus qu'une option, un impératif dans une démarche de loisirs éducatifs, de sensibilisation et de découverte de l’activité « kayak » dans les centres de vacances, les centres de loisirs sans hébergement (CLSH), les structures scolaires et périscolaires ».
Les efforts de chacun des stagiaires a fini par payer : 100% de réussite. Ces hommes et femmes ont donc reçu leur précieux sésame et cela, autour d’un cocktail largement mérité. Fa’aitoito.
TP
