Tahiti le 6 février 2023 - Un appel à la mobilisation a été lancé par l’ensemble des syndicats FO de la fonction publique d'État, par la CSTP FO, et la CFDT interco justice. Les différents syndicats organisent un ‘sit-in’ à partir de 8 heures au monument aux morts devant le haut-commissariat. À l’image des deux précédentes manifestations du 19 et 31 janvier, une partie des établissements scolaires du fenua ne recevront pas leurs élèves mardi. Le point sur la fermeture des écoles.
L’ensemble des syndicats FO de la fonction publique d'État en Polynésie lancent un appel à la grève ce mardi pour lutter contre la réforme nationale des retraites. Portées par l’intersyndicale nationale, les syndicats de la FSU (SNUIPP-SNES-SNUEP-SNEP-SNETAP) et les syndicats de FO éducation, (SNETAA-FO, SPEEP-FO, FNEC-FP-FO) appelle à faire un ‘sit-in’ au monument aux morts devant le haut-commissariat. La CSTP FO soutient le mouvement et demande aussi à tous ses membres du secteur de l’éducation de manifester devant leur établissement scolaire. Toujours pour lutter contre la réforme des retraites, la CFDT interco-justice organise un rassemblement sur les marches du Palais de Justice de Papeete à partir de 12h15. L’UNSA laisse le choix à ses adhérents de se mobiliser ou pas et organisera le samedi 11 février une journée de mobilisation.
La première manifestation du 19 janvier contre la réforme nationale des retraites avait réuni plus de 1 000 partisans dans les rues de Papeete, la seconde le 31, en avait réuni presque 400 de moins. Bénédicte Renaud, juriste au sein du syndicat CSTP FO, reste confiante pour la première mobilisation de février 2023. “On n'a pas de boule de cristal, on ne peut pas prévoir combien on sera, mais on attend tout le monde. On a préféré faire un communiqué pour rappeler qu’on continue de suivre le mouvement de lutte contre la réforme nationale des retraites”, explique-t-elle. Après avoir suivi les deux premières journées de mobilisation, l’UNSA n’a quant à elle pas relayé l’appel de grève nationale. Ces deux mêmes journées de contestation avaient entraîné la fermeture d’une partie des établissements scolaires du fenua.
L’ensemble des syndicats FO de la fonction publique d'État en Polynésie lancent un appel à la grève ce mardi pour lutter contre la réforme nationale des retraites. Portées par l’intersyndicale nationale, les syndicats de la FSU (SNUIPP-SNES-SNUEP-SNEP-SNETAP) et les syndicats de FO éducation, (SNETAA-FO, SPEEP-FO, FNEC-FP-FO) appelle à faire un ‘sit-in’ au monument aux morts devant le haut-commissariat. La CSTP FO soutient le mouvement et demande aussi à tous ses membres du secteur de l’éducation de manifester devant leur établissement scolaire. Toujours pour lutter contre la réforme des retraites, la CFDT interco-justice organise un rassemblement sur les marches du Palais de Justice de Papeete à partir de 12h15. L’UNSA laisse le choix à ses adhérents de se mobiliser ou pas et organisera le samedi 11 février une journée de mobilisation.
La première manifestation du 19 janvier contre la réforme nationale des retraites avait réuni plus de 1 000 partisans dans les rues de Papeete, la seconde le 31, en avait réuni presque 400 de moins. Bénédicte Renaud, juriste au sein du syndicat CSTP FO, reste confiante pour la première mobilisation de février 2023. “On n'a pas de boule de cristal, on ne peut pas prévoir combien on sera, mais on attend tout le monde. On a préféré faire un communiqué pour rappeler qu’on continue de suivre le mouvement de lutte contre la réforme nationale des retraites”, explique-t-elle. Après avoir suivi les deux premières journées de mobilisation, l’UNSA n’a quant à elle pas relayé l’appel de grève nationale. Ces deux mêmes journées de contestation avaient entraîné la fermeture d’une partie des établissements scolaires du fenua.
Le point sur les écoles fermées mardi 7 février
Voici la liste non exhaustive et susceptible d’évoluer des écoles qui seront fermées ce mardi à l’occasion de la lutte contre la réforme nationale des retraites.
Papeete : l’école de Paofai (avec 67% de grévistes annoncés), l’école de Mamao (75%), l’école de Pinai (80%), l’école de Raitam (100%).
Pirae : l’école primaire Val Fautaua, l’école primaire Pirae Taaone, l’école maternelle et élémentaire Tuterai Tane. La commune enregistre un taux moyen de 62% de gréviste.
Punaauia : le CJA de Outumaoro, l’école élémentaire Maehaa Nuil, l’école élémentaire 2+2=4.
Papara : l’école Apea enregistre 90% de gréviste, seul un professeur continuera de donner cours. La commune ne dispose pas d’informations pour les autres établissements.
Moorea-Maiao : école primaire de Afareaitu, école primaire de Teavaro, école maternelle de Paopao, école élémentaire de Paopao, école primaire de Haapiti.
Les établissements scolaires des communes de Arue, Mahina, Faa’a, Paea, Taiarapu-Est et Taiarapu-Ouest n’ont pas annoncé de fermeture.
Papeete : l’école de Paofai (avec 67% de grévistes annoncés), l’école de Mamao (75%), l’école de Pinai (80%), l’école de Raitam (100%).
Pirae : l’école primaire Val Fautaua, l’école primaire Pirae Taaone, l’école maternelle et élémentaire Tuterai Tane. La commune enregistre un taux moyen de 62% de gréviste.
Punaauia : le CJA de Outumaoro, l’école élémentaire Maehaa Nuil, l’école élémentaire 2+2=4.
Papara : l’école Apea enregistre 90% de gréviste, seul un professeur continuera de donner cours. La commune ne dispose pas d’informations pour les autres établissements.
Moorea-Maiao : école primaire de Afareaitu, école primaire de Teavaro, école maternelle de Paopao, école élémentaire de Paopao, école primaire de Haapiti.
Les établissements scolaires des communes de Arue, Mahina, Faa’a, Paea, Taiarapu-Est et Taiarapu-Ouest n’ont pas annoncé de fermeture.