Alexandria Mackenzie-Hoff (îles Cook), Kaeden Watts (Nouvelle-Zélande), Hinamoeura Morgant-Cross (Polynésie française), Taivero Mane Strickland (Nouvelle-Zélande) et Jasmine Vaha (Niue).
Tahiti le 3 septembre 2024. Du 20 au 22 août dernier, s’est tenue à Suva (Fidji) une conférence sur la thématique du développement durable organisée par “Young Pacific Leaders”, les jeunes leaders du Pacifique. Hironui Johnston et Hinamoeura Morgant-Cross y représentaient la Polynésie française.
Parrainée par le Département d'État des États-Unis, le consulat des États-Unis à Auckland et Wellington et Cultural Vistas, une conférence a réuni des membres du Young Pacific Leaders (YPL) Program de toute la région du Pacifique, du 20 au 22 août dernier à Fidji, afin d’y acquérir de nouvelles compétences et connaissances sur le thème du développement durable et ainsi pouvoir aider à améliorer leurs communautés, pays et régions.
La communauté YPL est composée de jeunes leaders, âgés de 25 à 35 ans, originaires d'Australie, des îles Cook, de Fidji, des États fédérés de Micronésie, de la Polynésie française, de Kiribati, des îles Marshall, de Nauru, de Nouvelle-Calédonie, de Nouvelle-Zélande, de Niue, de Palau, de Papouasie-Nouvelle Guinée, de Samoa, des îles Salomon, de Tonga, de Tuvalu, du Vanuatu, de Wallis-et-Futuna, et le Pacifique affilié aux États-Unis, y compris les Samoa américaines, Guam, le Commonwealth des îles Mariannes du Nord et Hawaii.
Cette réunion offre de renforcer les liens entre les leaders émergents du Pacifique et des États-Unis. Cela permet également de mettre en relation cette jeune génération de dirigeants gouvernementaux, civiques et commerciaux qui, durant cette conférence, peuvent travailler ensemble sur les défis cruciaux de la région et élargir les possibilités de développement.
Pour y participer, les jeunes du Pacifique, dont l’âge avait été étendu à 40 ans pour cette thématique, étaient invités à candidater en répondant à plusieurs questions et également à motiver leur souhait de participer à cet atelier de travail.
Deux Polynésiens qui ont candidaté ont été sélectionnés pour représenter la Polynésie française durant cet atelier régional des jeunes leaders du Pacifique 2024 : Hironui Johnston et Hinamoeura Morgant-Cross.
Pendant trois jours, de nombreuses thématiques ont été explorées : “Responsabilisation et développement durable”, “Automatisation économique et développement durable” ou encore la présentation de “Blue Prosperity Fiji”, un projet de développement des petits États insulaires de l'océan Pacifique devant parvenir à une prospérité bleue durable et résiliente dans leur environnement isolé.
À son retour, Hinamoeura Morgant Cross s’est dite “très reconnaissante d’avoir eu l’opportunité de participer à cet atelier sur le développement durable”. “Les échanges ont été tellement riches à la fois sur l’histoire de nos pays respectifs, nos cultures, nos connaissances et plus précisément en lien avec le thème de cet événement : les efforts que chacun de nos pays fait en matière de gestion de l’environnement et de développement durable”, poursuit-elle.
“J'ai réalisé également que le développement d’une société doit commencer par la connaissance de son identité, de sa culture, de son héritage et de ses valeurs. (…) Nous devons travailler ensemble, nous soutenir les uns les autres pour notre objectif commun : le développement économique de notre cher Pacifique”, a-t-elle conclu.
Parrainée par le Département d'État des États-Unis, le consulat des États-Unis à Auckland et Wellington et Cultural Vistas, une conférence a réuni des membres du Young Pacific Leaders (YPL) Program de toute la région du Pacifique, du 20 au 22 août dernier à Fidji, afin d’y acquérir de nouvelles compétences et connaissances sur le thème du développement durable et ainsi pouvoir aider à améliorer leurs communautés, pays et régions.
La communauté YPL est composée de jeunes leaders, âgés de 25 à 35 ans, originaires d'Australie, des îles Cook, de Fidji, des États fédérés de Micronésie, de la Polynésie française, de Kiribati, des îles Marshall, de Nauru, de Nouvelle-Calédonie, de Nouvelle-Zélande, de Niue, de Palau, de Papouasie-Nouvelle Guinée, de Samoa, des îles Salomon, de Tonga, de Tuvalu, du Vanuatu, de Wallis-et-Futuna, et le Pacifique affilié aux États-Unis, y compris les Samoa américaines, Guam, le Commonwealth des îles Mariannes du Nord et Hawaii.
Cette réunion offre de renforcer les liens entre les leaders émergents du Pacifique et des États-Unis. Cela permet également de mettre en relation cette jeune génération de dirigeants gouvernementaux, civiques et commerciaux qui, durant cette conférence, peuvent travailler ensemble sur les défis cruciaux de la région et élargir les possibilités de développement.
Pour y participer, les jeunes du Pacifique, dont l’âge avait été étendu à 40 ans pour cette thématique, étaient invités à candidater en répondant à plusieurs questions et également à motiver leur souhait de participer à cet atelier de travail.
Deux Polynésiens qui ont candidaté ont été sélectionnés pour représenter la Polynésie française durant cet atelier régional des jeunes leaders du Pacifique 2024 : Hironui Johnston et Hinamoeura Morgant-Cross.
Pendant trois jours, de nombreuses thématiques ont été explorées : “Responsabilisation et développement durable”, “Automatisation économique et développement durable” ou encore la présentation de “Blue Prosperity Fiji”, un projet de développement des petits États insulaires de l'océan Pacifique devant parvenir à une prospérité bleue durable et résiliente dans leur environnement isolé.
À son retour, Hinamoeura Morgant Cross s’est dite “très reconnaissante d’avoir eu l’opportunité de participer à cet atelier sur le développement durable”. “Les échanges ont été tellement riches à la fois sur l’histoire de nos pays respectifs, nos cultures, nos connaissances et plus précisément en lien avec le thème de cet événement : les efforts que chacun de nos pays fait en matière de gestion de l’environnement et de développement durable”, poursuit-elle.
“J'ai réalisé également que le développement d’une société doit commencer par la connaissance de son identité, de sa culture, de son héritage et de ses valeurs. (…) Nous devons travailler ensemble, nous soutenir les uns les autres pour notre objectif commun : le développement économique de notre cher Pacifique”, a-t-elle conclu.