Tahiti, le 25 mars 2025 - Les travaux de réaménagement du débarcadère de Reao, aux Tuamotu, ont débuté la semaine dernière. Ce chantier de 500 millions de francs vise à améliorer la sécurité des usagers et à protéger la darse des houles.
Le débarcadère de Reao, dans les Tuamotu, s'apprête à faire peau neuve. Situé à moins d’un kilomètre du village de Rapuarava, le débarcadère principal de l’atoll entre en phase de réaménagement, un chantier porté par le ministère des Grands travaux. Les travaux ont débuté la semaine dernière.
Ce projet, d’un coût estimé à 500 millions F CFP, financé conjointement par l’État et le Pays via le 3ème instrument financier (3IF), s’étalera sur 17 mois. Il prévoit l’agrandissement du bassin, l’élargissement du chenal, la reconstruction des infrastructures d’accostage (quai et cale de mise à l'eau) et la mise en place de murs chasse-mer profilés, destinés à atténuer l’agitation des eaux.
Au-delà de l’amélioration de la sécurité maritime, cette opération s’appuie sur une étude du récif de Reao, modélisé en "canal à houle". "L’objectif de cette opération est d’améliorer la sécurité des usagers en protégeant plus efficacement la darse des houles. À cet effet, une étude a été réalisée afin de définir les caractéristiques physiques du récif de Reao, puis de le modéliser en canal à houle" écrit le ministère dans un communiqué.
Une expérience qui pourrait servir de référence pour d'autres sites vulnérables comme Niau ou Fakahina, dans le cadre de futurs travaux de mises en sécurité de débarcadères qui constituent, selon le ministère, "une priorité du gouvernement en matière d’infrastructures maritimes".
Le débarcadère de Reao, dans les Tuamotu, s'apprête à faire peau neuve. Situé à moins d’un kilomètre du village de Rapuarava, le débarcadère principal de l’atoll entre en phase de réaménagement, un chantier porté par le ministère des Grands travaux. Les travaux ont débuté la semaine dernière.
Ce projet, d’un coût estimé à 500 millions F CFP, financé conjointement par l’État et le Pays via le 3ème instrument financier (3IF), s’étalera sur 17 mois. Il prévoit l’agrandissement du bassin, l’élargissement du chenal, la reconstruction des infrastructures d’accostage (quai et cale de mise à l'eau) et la mise en place de murs chasse-mer profilés, destinés à atténuer l’agitation des eaux.
Au-delà de l’amélioration de la sécurité maritime, cette opération s’appuie sur une étude du récif de Reao, modélisé en "canal à houle". "L’objectif de cette opération est d’améliorer la sécurité des usagers en protégeant plus efficacement la darse des houles. À cet effet, une étude a été réalisée afin de définir les caractéristiques physiques du récif de Reao, puis de le modéliser en canal à houle" écrit le ministère dans un communiqué.
Une expérience qui pourrait servir de référence pour d'autres sites vulnérables comme Niau ou Fakahina, dans le cadre de futurs travaux de mises en sécurité de débarcadères qui constituent, selon le ministère, "une priorité du gouvernement en matière d’infrastructures maritimes".