Jeudi 28 mars 2013. La fédération tahitienne de surf avait convié l’ensemble des médias pour une conférence de presse au sujet de l’organisation de trois compétitions Pro junior : La Rangiroa Pro Junior (1-8 avril), la Tahiti Nui Pro junior et la Vahine Pro junior (à Papara les 10-12 avril).
Tout récemment, lors du bilan 2012 fait par le gouvernement, la Billabong Pro avait été prise pour exemple pour l’excellent rapport investissement/retombées économiques pour le Pays.
Pour cette 4ème édition de la Rangi Pro junior et au vu du succès médiatique de l’année dernière, la fédération était dans l’optique de continuer dans cette voie en tentant de créer un 2ème événement incontournable dans le monde du surf international.
Malheureusement elle a dû faire face à des restrictions budgétaires et au retrait de partenaires à la dernière minute. Le « prize money » a été réduit, la compétition passe de 5 étoiles à 3 étoiles puisque la dotation financière directement liée est passée de 2,5 Mcp à 1,5Mcp. (une étoile = 500 000 fcp)
L’optimisme reste de mise, la compétition ayant tout de même frôlé l’annulation.
Tout récemment, lors du bilan 2012 fait par le gouvernement, la Billabong Pro avait été prise pour exemple pour l’excellent rapport investissement/retombées économiques pour le Pays.
Pour cette 4ème édition de la Rangi Pro junior et au vu du succès médiatique de l’année dernière, la fédération était dans l’optique de continuer dans cette voie en tentant de créer un 2ème événement incontournable dans le monde du surf international.
Malheureusement elle a dû faire face à des restrictions budgétaires et au retrait de partenaires à la dernière minute. Le « prize money » a été réduit, la compétition passe de 5 étoiles à 3 étoiles puisque la dotation financière directement liée est passée de 2,5 Mcp à 1,5Mcp. (une étoile = 500 000 fcp)
L’optimisme reste de mise, la compétition ayant tout de même frôlé l’annulation.
Pascal Luciani, conseiller auprès du président de la fédération tahitienne de surf :
« Trois étoiles restent un grade important dans le monde du surf professionnel. Cela nous permet de maintenir un événement local et de permettre à un grand nombre de surfeurs tahitiens de se mesurer aux surfeurs étrangers. »
« L’autre particularité est la mise en place d’une compétition pour les ondines. On est contents car cela va permettre à nos jeunes ondines de se mesurer à l’élite internationale. »
« On espère que les conditions seront favorables car la vague de Rangiroa est assez spéciale, pour que cela marche il faut de la houle nord/nord-est. Quand cela n’est pas le cas le surf devient plus difficile voire dangereux. »
« C’est une année particulière, les championnats du monde de beach soccer ont pratiquement avalé l’ensemble des sponsors et des moyens du pays mais on a un challenge à relever, on veut développer notre discipline, mettre en place des évènements et les pérenniser. »
« On fait les choses avec les moyens que l’on a. Malgré les difficultés on arrive à faire de belles choses et à faire revenir les gens chez nous. »
Claudino Mahaa chargé de mission jeunesse :
« Le ministre Tauhiti Nena a pu aider cette manifestation organisée par la fédération donc cette compétition aura lieu encore cette année. Nous connaissons les difficultés que rencontre le pays actuellement, le gouvernement a quand même tenu à aider la compétition de Rangi ainsi que celle de Papara. »
« Tous les sports sont importants mais effectivement la Billabong Pro c’est mondial, c’est évident qu’il fait soutenir le surf, cela ne peut être que bénéfique. Il faut aider toutes les fédérations mais le surf fait aussi partie de notre milieu culturel. »
« C’est vrai que c’est rétrogradé de deux étoiles mais l’important est que cela se fasse, c’est rare d’avoir de la médiatisation aux Tuamotu et à Rairoa, c’est bon touristiquement et on ne peut que dire aux organisateurs un grand fa’a ito ito ! » (bon courage).
SB
« Trois étoiles restent un grade important dans le monde du surf professionnel. Cela nous permet de maintenir un événement local et de permettre à un grand nombre de surfeurs tahitiens de se mesurer aux surfeurs étrangers. »
« L’autre particularité est la mise en place d’une compétition pour les ondines. On est contents car cela va permettre à nos jeunes ondines de se mesurer à l’élite internationale. »
« On espère que les conditions seront favorables car la vague de Rangiroa est assez spéciale, pour que cela marche il faut de la houle nord/nord-est. Quand cela n’est pas le cas le surf devient plus difficile voire dangereux. »
« C’est une année particulière, les championnats du monde de beach soccer ont pratiquement avalé l’ensemble des sponsors et des moyens du pays mais on a un challenge à relever, on veut développer notre discipline, mettre en place des évènements et les pérenniser. »
« On fait les choses avec les moyens que l’on a. Malgré les difficultés on arrive à faire de belles choses et à faire revenir les gens chez nous. »
Claudino Mahaa chargé de mission jeunesse :
« Le ministre Tauhiti Nena a pu aider cette manifestation organisée par la fédération donc cette compétition aura lieu encore cette année. Nous connaissons les difficultés que rencontre le pays actuellement, le gouvernement a quand même tenu à aider la compétition de Rangi ainsi que celle de Papara. »
« Tous les sports sont importants mais effectivement la Billabong Pro c’est mondial, c’est évident qu’il fait soutenir le surf, cela ne peut être que bénéfique. Il faut aider toutes les fédérations mais le surf fait aussi partie de notre milieu culturel. »
« C’est vrai que c’est rétrogradé de deux étoiles mais l’important est que cela se fasse, c’est rare d’avoir de la médiatisation aux Tuamotu et à Rairoa, c’est bon touristiquement et on ne peut que dire aux organisateurs un grand fa’a ito ito ! » (bon courage).
SB
